Les habitants, qui revendiquent l'alimentation en eau potable de leur quartier ont exprimé leur mécontentement en barricadant la route et en fermant l'antenne de l'Algérienne des eaux, de même que les commerçants s'élèvent contre l'organisation d'une foire commerciale qui leur cause un important manque à gagner. Les habitants, qui revendiquent l'alimentation en eau potable de leur quartier ont exprimé leur mécontentement en barricadant la route et en fermant l'antenne de l'Algérienne des eaux, de même que les commerçants s'élèvent contre l'organisation d'une foire commerciale qui leur cause un important manque à gagner. Chaque jour la grogne gagne du terrain et la contestation trouve son expression à travers des actions de rue. Les citoyens se trouvent toujours face à un mutisme total de la partie adverse. Depuis quelques jours plusieurs actions ont été organisées par des citoyens. Les travailleurs de l'EPTB de Béjaïa dénoncent, en effet, la dissolution de leur entreprise et son "absorption" par une autre entreprise située à Sétif. Les travailleurs ont observé plusieurs sit in devant la wilaya et devant l'entreprise pour exprimer leur rejet catégorique de cette décision et exigent le maintien et la mise à niveau de leur entreprise. A Dar Ennaser, c'est les habitants qui revendiquent l'alimentation en eau potable de leur quartier. Ils ont exprimé leur mécontentement en barricadant la route et en procédant à la fermeture de l'antenne de l'Algérienne des eaux. En effet, depuis deux mois les robinets sont à sec et les conduites vétustes ne répondent plus à une demande de plus en plus élevée des familles. Les services des eaux, quant à eux, affirment que l'actuelle conduite a été réalisée, il y a plusieurs années au moment où le quartier ne comptait que quelques habitations. Ces dernières années, il y a des maisons nouvellement construites et le débit d'eau ne suffit plus à alimenter l'ensemble des résidants. La solution, dit-on, c'est attendre qu'une nouvelle conduite soit réalisée prochainement. Dans d'autres communes de la wilaya, les conditions de vie déplorables des habitants et l'absence d'une prise en charge efficientes des préoccupations des citoyens ont mené, ces derniers jours, à plusieurs actions de rue. Les communes de Barbacha, Darguina, Aokas et autres ont connu les mêmes actions pour différents problèmes. Manque d'eau, réseau routier détérioré, absence de gaz de ville... étant les principales revendications de ces citoyens qui se heurtent toujours à l'absence de dialogue avec les élus et surtout l'incapacité de ces dernier à apporter la solution qui s'impose. Lundi dernier, ce sont les commerçants de la ville de Béjaïa, qui ont observé une grève générale et un sit in devant le siège de la wilaya en fermant durant toute la journée la rue de la Liberté. Ces contestataires exigent l'annulation de l'organisation d'une foire commerciale qui devait se dérouler du 20 de ce mois au 3 aout prochain à la surface du lac d'Ihaddadene. L'APC de Béjaïa, qui a autorisé l'organisation de cette foire, dite «Foire de la mariée» rejette totalement cette action et déclare que la commune a le droit d'organiser deux foires commerciales annuelles, mêmes conclusions au terme de la réunion de l'Union des commerçants de Béjaïa et des membres de l'APC. Les commerçants ne l'entendent pas de cette oreille et déclarent que l'organisation de ces foires causent un manque à gagner important sur leurs chiffres d'affaires et dénoncent la vente à bas prix des produits exposés dans ces foires. Les Béjaouis, qui observent chaque jour ces actions de terrain, jugent les choses autrement, car il est inconcevable que ces gens barrent la route, un lieu public qui appartient à tous, pour s'exprimer et pénaliser toute une population à se déplacer. Alors, il est certainement temps pour les élus locaux, de concrétiser leurs promesses électorales et d'être à l'écoute des citoyens qui aspirent à un cadre de vie meilleur. Chaque jour la grogne gagne du terrain et la contestation trouve son expression à travers des actions de rue. Les citoyens se trouvent toujours face à un mutisme total de la partie adverse. Depuis quelques jours plusieurs actions ont été organisées par des citoyens. Les travailleurs de l'EPTB de Béjaïa dénoncent, en effet, la dissolution de leur entreprise et son "absorption" par une autre entreprise située à Sétif. Les travailleurs ont observé plusieurs sit in devant la wilaya et devant l'entreprise pour exprimer leur rejet catégorique de cette décision et exigent le maintien et la mise à niveau de leur entreprise. A Dar Ennaser, c'est les habitants qui revendiquent l'alimentation en eau potable de leur quartier. Ils ont exprimé leur mécontentement en barricadant la route et en procédant à la fermeture de l'antenne de l'Algérienne des eaux. En effet, depuis deux mois les robinets sont à sec et les conduites vétustes ne répondent plus à une demande de plus en plus élevée des familles. Les services des eaux, quant à eux, affirment que l'actuelle conduite a été réalisée, il y a plusieurs années au moment où le quartier ne comptait que quelques habitations. Ces dernières années, il y a des maisons nouvellement construites et le débit d'eau ne suffit plus à alimenter l'ensemble des résidants. La solution, dit-on, c'est attendre qu'une nouvelle conduite soit réalisée prochainement. Dans d'autres communes de la wilaya, les conditions de vie déplorables des habitants et l'absence d'une prise en charge efficientes des préoccupations des citoyens ont mené, ces derniers jours, à plusieurs actions de rue. Les communes de Barbacha, Darguina, Aokas et autres ont connu les mêmes actions pour différents problèmes. Manque d'eau, réseau routier détérioré, absence de gaz de ville... étant les principales revendications de ces citoyens qui se heurtent toujours à l'absence de dialogue avec les élus et surtout l'incapacité de ces dernier à apporter la solution qui s'impose. Lundi dernier, ce sont les commerçants de la ville de Béjaïa, qui ont observé une grève générale et un sit in devant le siège de la wilaya en fermant durant toute la journée la rue de la Liberté. Ces contestataires exigent l'annulation de l'organisation d'une foire commerciale qui devait se dérouler du 20 de ce mois au 3 aout prochain à la surface du lac d'Ihaddadene. L'APC de Béjaïa, qui a autorisé l'organisation de cette foire, dite «Foire de la mariée» rejette totalement cette action et déclare que la commune a le droit d'organiser deux foires commerciales annuelles, mêmes conclusions au terme de la réunion de l'Union des commerçants de Béjaïa et des membres de l'APC. Les commerçants ne l'entendent pas de cette oreille et déclarent que l'organisation de ces foires causent un manque à gagner important sur leurs chiffres d'affaires et dénoncent la vente à bas prix des produits exposés dans ces foires. Les Béjaouis, qui observent chaque jour ces actions de terrain, jugent les choses autrement, car il est inconcevable que ces gens barrent la route, un lieu public qui appartient à tous, pour s'exprimer et pénaliser toute une population à se déplacer. Alors, il est certainement temps pour les élus locaux, de concrétiser leurs promesses électorales et d'être à l'écoute des citoyens qui aspirent à un cadre de vie meilleur.