Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, est arrivé, hier, à Kampala (Ouganda) pour prendre part aux travaux de la 15e session ordinaire de la conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union africaine qui se tiendra dans la capitale ougandaise, Kampala à partir de demain pour une durée de deux jours. Le thème central de cette session portera, rapporte l'APS, sur "La santé maternelle néonatale et infantile et le développement en Afrique" afin de mesurer les progrès accomplis par le continent en termes de réduction de la mortalité infantile et de promotion de la santé maternelle et qui, tous deux, font partie des huit objectifs du millénaire pour le développement. Le chef de l'Etat prendra part également au travaux du Comité des chefs d'Etat et de gouvernement chargé de l'orientation du Nepad et au Forum du mécanisme d'évaluation par les pairs. Par ailleurs, le conseil exécutif de l'Union africaine (UA) a appelé jeudi dernier à partir de Kampala les Etats membres à "continuer à exhorter les partenaires de l'UA à soutenir pleinement et sans réserve" la décision de criminaliser le paiement des rançons aux groupes terroristes, en adoptant des instruments juridiques spécifiques considérant le paiement de rançon aux groupes terroristes comme un crime et interdisant la libération des terroristes détenus contre la libération des otages. Le rapport du président de la Commission de l'UA, M. Jean Ping, à la 15e conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de l'union, adopté par le conseil exécutif dont les travaux se sont ouverts jeudi à Kampala, a fait siennes les recommandations de la 4e réunion des points focaux nationaux et régionaux du Centre africain d'étude et de recherche sur le terrorisme (CAERT) qui a eu lieu à Alger. Le rapport de M. Ping, adopté par la conférence ministérielle préparatoire au sommet, note que "le suivi de la mise en œuvre de la décision adoptée par la conférence sur la criminalisation du paiement d'une rançon aux groupes terroristes, lors de sa session ordinaire tenue à Syrte, en juillet 2009, a été un des points essentiels de discussion de la réunion d'Alger». Au cours du débat qui a suivi sur la question du terrorisme, le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, a souligné, dans son intervention, que la lutte contre le terrorisme est "l'affaire de tous", soulignant que l'Afrique doit se mobiliser pour "faire face à ce fléau qui met en péril la sécurité et la stabilité du continent". "Nous devons, a ajouté M. Messahel, travailler pour assurer une coordination plus efficiente de nos efforts et de nos moyens et, notamment, renforcer les capacités du Centre africain d'étude et de recherche sur le terrorisme (CAERT)". Le représentant sénégalais a, pour sa part, cité en référence l'exemple algérien."Un pays qui a lutté seul pendant de longues années et qui, grâce à la détermination de son peuple et à l'action de l'Etat fort qu'il s'est donné, a réussi à vaincre le terrorisme", a-t-il dit. Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, est arrivé, hier, à Kampala (Ouganda) pour prendre part aux travaux de la 15e session ordinaire de la conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union africaine qui se tiendra dans la capitale ougandaise, Kampala à partir de demain pour une durée de deux jours. Le thème central de cette session portera, rapporte l'APS, sur "La santé maternelle néonatale et infantile et le développement en Afrique" afin de mesurer les progrès accomplis par le continent en termes de réduction de la mortalité infantile et de promotion de la santé maternelle et qui, tous deux, font partie des huit objectifs du millénaire pour le développement. Le chef de l'Etat prendra part également au travaux du Comité des chefs d'Etat et de gouvernement chargé de l'orientation du Nepad et au Forum du mécanisme d'évaluation par les pairs. Par ailleurs, le conseil exécutif de l'Union africaine (UA) a appelé jeudi dernier à partir de Kampala les Etats membres à "continuer à exhorter les partenaires de l'UA à soutenir pleinement et sans réserve" la décision de criminaliser le paiement des rançons aux groupes terroristes, en adoptant des instruments juridiques spécifiques considérant le paiement de rançon aux groupes terroristes comme un crime et interdisant la libération des terroristes détenus contre la libération des otages. Le rapport du président de la Commission de l'UA, M. Jean Ping, à la 15e conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de l'union, adopté par le conseil exécutif dont les travaux se sont ouverts jeudi à Kampala, a fait siennes les recommandations de la 4e réunion des points focaux nationaux et régionaux du Centre africain d'étude et de recherche sur le terrorisme (CAERT) qui a eu lieu à Alger. Le rapport de M. Ping, adopté par la conférence ministérielle préparatoire au sommet, note que "le suivi de la mise en œuvre de la décision adoptée par la conférence sur la criminalisation du paiement d'une rançon aux groupes terroristes, lors de sa session ordinaire tenue à Syrte, en juillet 2009, a été un des points essentiels de discussion de la réunion d'Alger». Au cours du débat qui a suivi sur la question du terrorisme, le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, a souligné, dans son intervention, que la lutte contre le terrorisme est "l'affaire de tous", soulignant que l'Afrique doit se mobiliser pour "faire face à ce fléau qui met en péril la sécurité et la stabilité du continent". "Nous devons, a ajouté M. Messahel, travailler pour assurer une coordination plus efficiente de nos efforts et de nos moyens et, notamment, renforcer les capacités du Centre africain d'étude et de recherche sur le terrorisme (CAERT)". Le représentant sénégalais a, pour sa part, cité en référence l'exemple algérien."Un pays qui a lutté seul pendant de longues années et qui, grâce à la détermination de son peuple et à l'action de l'Etat fort qu'il s'est donné, a réussi à vaincre le terrorisme", a-t-il dit.