Le collège élu de la ville du Vieux rocher a traité, lors de sa session tenue le 13 juin dernier, le dossier des parkings dont dispose la commune. Le problème du stationnement dans une ville connue pour son exigüité et son espace réduit revient tel un leitmotiv, tant ce secteur est à vau-l'eau. Enfin, la commune a décidé de prendre les choses en main et s'attaquer à la gabégie qui règne au niveau des parkings. Elle déclare disposer de 12 aires de stationnement payant dont les contrats d'exploitation sont désormais revus. Il a fallu d'ailleurs une nouvelle délibération pour valider la décision. Plus concrètement, les contrats de location usuels étendent la période d'exploitation à trois années consécutives et fixent le prix du ticket de stationnement à 20 dinars. Sur le terrain, la situation évolue autrement. La tarification est majorée et les exploitants s'abstiennent d'honorer les traites restantes du prix initial de la location annuelle, laquelle est de 30 milles dinars. Les nouvelles dispositions stipulent un bail d'une année seulement et l'affichage du prix du stationnement. La question qui triture l'esprit de l'automobiliste constantinois reste la suivante : où sont situés ces douze parkings dont parle l'APC ? Pour le commun des mortels, il n'existe dans la ville des Ponts que quelques aires de stationnement connus où l'usager reçoit un ticket de la part du gardien. Il s'agit du parking des «S» du côté du Coudiat, de celui de la rue Tatache (ex-rue de tiers), de celui en face du CHU ou celui de Bardo. Reste les parkings illégaux improvisés par des jeunes qui «rackettent» les automobilistes sans la moindre inquiétude. Ceux là foisonnent au niveau de tous les quartiers et à chaque coin de la ville. Les élus, qui sont restés aphones devant ce phénomène, devront s'y intéresser d'un peu plus près. N .D. Le collège élu de la ville du Vieux rocher a traité, lors de sa session tenue le 13 juin dernier, le dossier des parkings dont dispose la commune. Le problème du stationnement dans une ville connue pour son exigüité et son espace réduit revient tel un leitmotiv, tant ce secteur est à vau-l'eau. Enfin, la commune a décidé de prendre les choses en main et s'attaquer à la gabégie qui règne au niveau des parkings. Elle déclare disposer de 12 aires de stationnement payant dont les contrats d'exploitation sont désormais revus. Il a fallu d'ailleurs une nouvelle délibération pour valider la décision. Plus concrètement, les contrats de location usuels étendent la période d'exploitation à trois années consécutives et fixent le prix du ticket de stationnement à 20 dinars. Sur le terrain, la situation évolue autrement. La tarification est majorée et les exploitants s'abstiennent d'honorer les traites restantes du prix initial de la location annuelle, laquelle est de 30 milles dinars. Les nouvelles dispositions stipulent un bail d'une année seulement et l'affichage du prix du stationnement. La question qui triture l'esprit de l'automobiliste constantinois reste la suivante : où sont situés ces douze parkings dont parle l'APC ? Pour le commun des mortels, il n'existe dans la ville des Ponts que quelques aires de stationnement connus où l'usager reçoit un ticket de la part du gardien. Il s'agit du parking des «S» du côté du Coudiat, de celui de la rue Tatache (ex-rue de tiers), de celui en face du CHU ou celui de Bardo. Reste les parkings illégaux improvisés par des jeunes qui «rackettent» les automobilistes sans la moindre inquiétude. Ceux là foisonnent au niveau de tous les quartiers et à chaque coin de la ville. Les élus, qui sont restés aphones devant ce phénomène, devront s'y intéresser d'un peu plus près. N .D.