Les étudiants, affiliés aux facultés ou aux instituts ne décolèrent pas et le font savoir quotidiennement. Le malaise qui y prévaut est porté publiquement, à coup de communiqués, par les organisations estudiantines dont certaines sont très actives. Les étudiants, affiliés aux facultés ou aux instituts ne décolèrent pas et le font savoir quotidiennement. Le malaise qui y prévaut est porté publiquement, à coup de communiqués, par les organisations estudiantines dont certaines sont très actives. Les différents campus composant l'université des frères Mentouri connaissent un bouillonnement depuis le coup d'envoi de l'année universitaire 2010-2011. Les étudiants, affiliés aux facultés ou aux instituts ne décolèrent pas et le font savoir quotidiennement. Le malaise qui y prévaut est porté publiquement, à coup de communiqués, par les organisations estudiantines dont certaines sont très actives. De guerre lasse, et devant l'absence de résultats à leurs actions menées séparément, ces dernières ont, finalement, décidé d'unir leurs rangs, seul rempart pour faire face à une situation socio-pédagogique qualifiée de chaotique. C'est ainsi que l'Union nationale des étudiants algeriens, l'Union générale des étudiants libres, l'Union générale des étudiants et la Ligue nationale des étudiants, mettant de côté leurs divergences, ont créé la coordination de wilaya, qui veut s'élever d'une même voix contre les conditions déplorables auxquelles sont soumis les étudiants. L'urgence étant d'aplanir les innombrables difficultés que la communauté universitaire dénonce depuis déjà des années et particulièrement depuis cette rentrée. D'ailleurs, autant l'UNEA que l'UGEL n'ont eu de cesse de mettre le doigt sur des manquements et défaillances relevées en matière d'hébergement, de restauration, de transport et du cursus universitaires dans certaines filières. A Constantine, il ne se passe pas un jour sans qu'un mouvement de protestation soit déclenché. Le boycott des cours, les sit-in, le blocage des entrée des résidences « U » sont devenues légion depuis le mois de septembre, qui a coïncidé avec la session des rattrapages. La contestation gagne chaque jour du terrain à telle enseigne que les pronostics concernant une paralysie de l'université sont déjà lancés. Ne voyant aucune dynamique mise en place pour une prise en charge des préoccupations élémentaires des étudiants, la coordination, fraichement installée, affiche sa ferme détermination « à agir de concert pour solutionner ces problèmes récurrents ». Dans son premier communiqué, elle interpelle le ministère de tutelle et laisse deviner son action future dans le cas où aucune décantation n'aura lieu. PARKING La commune revoit leur gestion Le collège élu de la ville du Vieux Rocher a revu récemment le dossier des parkings dont dispose la commune. Le problème du stationnement dans une ville connue pour son exiguïté et son espace réduit revient tel un leitmotiv, tant ce secteur est à vau-l'eau. Enfin, la commune a décidé de prendre les choses en main et s'attaquer à la gabegie qui règne au niveau des parkings. Elle déclare disposer de 12 aires de stationnement payant dont les contrats d'exploitation sont désormais revus. Il a fallu d'ailleurs une nouvelle délibération pour rendre la décision viable. Plus concrètement, les contrats de location usuels étendent la période d'exploitation à trois années consécutives et fixent le prix du ticket de stationnement à 20 dinars. Sur le terrain, la situation évolue autrement. La tarification est majorée et les exploitants s'abstiennent d'honorer les traites restantes du prix initial de la location annuelle, laquelle est de 30 mille dinars. Les nouvelles dispositions stipulent un bail d'une année seulement et l'affichage du prix du stationnement. La question qui triture l'esprit de l'automobiliste constantinois reste la suivante : où sont situés ces douze parkings dont parle l'APC ? Pour le commun des mortels, il n'existe dans la ville des Ponts que quelques aires destationnement connus où l'usager reçoit un ticket de la part du gardien. Il s'agit du parking des « S » du côté du coudiat, de celui de la rue Tatache (ex-rue de tiers), de celui en face du CHU ou celui de Bardo. Reste les parkings illégaux improvisés par des jeunes qui « rackettent » les automobilistes sans la moindre inquiétude. Ceux là foisonnent au niveau de tous les quartiers, et à chaque coin de la ville. Les élus, qui sont restés aphones devant ce phénomène, devront s'y intéresser d'un peu plus près. Maladies neurologiques Une quarantaine recensée par jour La wilaya de Constantine enregistre, chaque jour, 40 cas d'attaques vasculaire cerébrale. Une statistique, parmi plusieurs, communiquée lors des troisièmes journées médicales consacrées aux maladies neurologiques. Organisée par l'association des neurologues, cette manifestation a apporté moult informations sur cette pathologie qui touche, annuellement, cinquante mille personnes dans notre pays. Pour les spécialistes participants, la prévention demeure le seul frein à la courbe ascendante de cette maladie aux fins de pourvoir à une prise en charge médicale plus efficace et moins onéreuse. Actuellement, le traitement revient à 3 mille dinars par jour et par malade et nécessite, selon les intervenants, une thérapie pluridisciplinaire qui rassemble autour des neurologues, des cardiologues, des diabétologues et des médecins généralistes. La corporation des neurologues a apporté sa contribution, dans le débat sur un pan de la santé publique, en chiffres, en diagnostics et en recommandations. Une manière d'interpeller les pouvoirs publics et le citoyen sur l'AVC qui entraîne la mort sinon, de sérieuses séquelles physiques. Les facteurs qui la favorisent sont identiques à ceux d'autres pathologies, à l'exemple du tabac, l'hypertension, le diabète, l'absence d'une bonne hygiène de vie. Programme « Averroès » Des dizaines de bourses universitaires Hier se sont clôturés les travaux des 8es rencontres universitaires euro-méditerranéennes du programme de mobilité et d'échange universitaires « Averroès ». Ce programme regroupe des partenaires de huit pays et de vingt universités dont quatre algériennes, en l'occurrence celles de Constantine, Bejaïa, Oran et Tlemcen. Pourvu d'un budget annuel de 5,2 millions d'euros, ce programme est destiné au financement des étudiants les plus émérites, leur offrant de meilleures perspectives d'optimisation des compétences et de réussites. Instauré en 2008, il prévoit, entre autres, l'octroi de bourses aux étudiants du système LMD. Pour cette année, l'université de Constantine bénéficiera de 24 bourses. Tri sélectif des déchets ménagers Vers le lancement d'une opération-pilote Les services de l'environnement et de l'assainissement de l'APC ambitionnent de réaliser un projet de collecte sélective des déchets menagers.Cette opération-pilote dont la généralisation est prévue sur le long terme, portera, en premier lieu, sur l'un des trois quartiers ciblés, à savoir la cité El Hayet, implantée sur les hauteurs de Constantine. Deux autres quartiers, Les-Combattants et Ezzaouche, des quartiers pavillonnaires mais différents l'un de l'autre d'un point de vue urbanistique, en seront aussi concernés dans un avenir proche. En attendant l'étendue de cette action aux 52 autres secteurs de collecte de la ville,18 d'entre eux seront concédés pour une durée de cinq ans à l'entreprise publique communale pluridisciplinaire des travaux de Constantine (EPC PTC). L'opération consiste à « procéder à un tri en amont jusqu'au recyclage effectif, après la réinjection des déchets triés, carton et verre, plastique, et aluminium dans les processus de fabrication ». Dans un premier temps, ces déchets ménagers seront récupérés pêle-mêle dans des bacs installés à cet effet. Une fois « les bons gestes » acquis par le citoyen, la récupération sera davantage ciblée et singularisée avec la mise en place de bacs appropriés au tri. Entièrement financée par le ministère de l'Environnement, cette opération serait actuellement dans sa phase d'étude car, pour ce faire, une multitude de paramètres entrent en considération dont le nombre d'habitants par quartier ciblé et leur production quotidienne de déchets… Les différents campus composant l'université des frères Mentouri connaissent un bouillonnement depuis le coup d'envoi de l'année universitaire 2010-2011. Les étudiants, affiliés aux facultés ou aux instituts ne décolèrent pas et le font savoir quotidiennement. Le malaise qui y prévaut est porté publiquement, à coup de communiqués, par les organisations estudiantines dont certaines sont très actives. De guerre lasse, et devant l'absence de résultats à leurs actions menées séparément, ces dernières ont, finalement, décidé d'unir leurs rangs, seul rempart pour faire face à une situation socio-pédagogique qualifiée de chaotique. C'est ainsi que l'Union nationale des étudiants algeriens, l'Union générale des étudiants libres, l'Union générale des étudiants et la Ligue nationale des étudiants, mettant de côté leurs divergences, ont créé la coordination de wilaya, qui veut s'élever d'une même voix contre les conditions déplorables auxquelles sont soumis les étudiants. L'urgence étant d'aplanir les innombrables difficultés que la communauté universitaire dénonce depuis déjà des années et particulièrement depuis cette rentrée. D'ailleurs, autant l'UNEA que l'UGEL n'ont eu de cesse de mettre le doigt sur des manquements et défaillances relevées en matière d'hébergement, de restauration, de transport et du cursus universitaires dans certaines filières. A Constantine, il ne se passe pas un jour sans qu'un mouvement de protestation soit déclenché. Le boycott des cours, les sit-in, le blocage des entrée des résidences « U » sont devenues légion depuis le mois de septembre, qui a coïncidé avec la session des rattrapages. La contestation gagne chaque jour du terrain à telle enseigne que les pronostics concernant une paralysie de l'université sont déjà lancés. Ne voyant aucune dynamique mise en place pour une prise en charge des préoccupations élémentaires des étudiants, la coordination, fraichement installée, affiche sa ferme détermination « à agir de concert pour solutionner ces problèmes récurrents ». Dans son premier communiqué, elle interpelle le ministère de tutelle et laisse deviner son action future dans le cas où aucune décantation n'aura lieu. PARKING La commune revoit leur gestion Le collège élu de la ville du Vieux Rocher a revu récemment le dossier des parkings dont dispose la commune. Le problème du stationnement dans une ville connue pour son exiguïté et son espace réduit revient tel un leitmotiv, tant ce secteur est à vau-l'eau. Enfin, la commune a décidé de prendre les choses en main et s'attaquer à la gabegie qui règne au niveau des parkings. Elle déclare disposer de 12 aires de stationnement payant dont les contrats d'exploitation sont désormais revus. Il a fallu d'ailleurs une nouvelle délibération pour rendre la décision viable. Plus concrètement, les contrats de location usuels étendent la période d'exploitation à trois années consécutives et fixent le prix du ticket de stationnement à 20 dinars. Sur le terrain, la situation évolue autrement. La tarification est majorée et les exploitants s'abstiennent d'honorer les traites restantes du prix initial de la location annuelle, laquelle est de 30 mille dinars. Les nouvelles dispositions stipulent un bail d'une année seulement et l'affichage du prix du stationnement. La question qui triture l'esprit de l'automobiliste constantinois reste la suivante : où sont situés ces douze parkings dont parle l'APC ? Pour le commun des mortels, il n'existe dans la ville des Ponts que quelques aires destationnement connus où l'usager reçoit un ticket de la part du gardien. Il s'agit du parking des « S » du côté du coudiat, de celui de la rue Tatache (ex-rue de tiers), de celui en face du CHU ou celui de Bardo. Reste les parkings illégaux improvisés par des jeunes qui « rackettent » les automobilistes sans la moindre inquiétude. Ceux là foisonnent au niveau de tous les quartiers, et à chaque coin de la ville. Les élus, qui sont restés aphones devant ce phénomène, devront s'y intéresser d'un peu plus près. Maladies neurologiques Une quarantaine recensée par jour La wilaya de Constantine enregistre, chaque jour, 40 cas d'attaques vasculaire cerébrale. Une statistique, parmi plusieurs, communiquée lors des troisièmes journées médicales consacrées aux maladies neurologiques. Organisée par l'association des neurologues, cette manifestation a apporté moult informations sur cette pathologie qui touche, annuellement, cinquante mille personnes dans notre pays. Pour les spécialistes participants, la prévention demeure le seul frein à la courbe ascendante de cette maladie aux fins de pourvoir à une prise en charge médicale plus efficace et moins onéreuse. Actuellement, le traitement revient à 3 mille dinars par jour et par malade et nécessite, selon les intervenants, une thérapie pluridisciplinaire qui rassemble autour des neurologues, des cardiologues, des diabétologues et des médecins généralistes. La corporation des neurologues a apporté sa contribution, dans le débat sur un pan de la santé publique, en chiffres, en diagnostics et en recommandations. Une manière d'interpeller les pouvoirs publics et le citoyen sur l'AVC qui entraîne la mort sinon, de sérieuses séquelles physiques. Les facteurs qui la favorisent sont identiques à ceux d'autres pathologies, à l'exemple du tabac, l'hypertension, le diabète, l'absence d'une bonne hygiène de vie. Programme « Averroès » Des dizaines de bourses universitaires Hier se sont clôturés les travaux des 8es rencontres universitaires euro-méditerranéennes du programme de mobilité et d'échange universitaires « Averroès ». Ce programme regroupe des partenaires de huit pays et de vingt universités dont quatre algériennes, en l'occurrence celles de Constantine, Bejaïa, Oran et Tlemcen. Pourvu d'un budget annuel de 5,2 millions d'euros, ce programme est destiné au financement des étudiants les plus émérites, leur offrant de meilleures perspectives d'optimisation des compétences et de réussites. Instauré en 2008, il prévoit, entre autres, l'octroi de bourses aux étudiants du système LMD. Pour cette année, l'université de Constantine bénéficiera de 24 bourses. Tri sélectif des déchets ménagers Vers le lancement d'une opération-pilote Les services de l'environnement et de l'assainissement de l'APC ambitionnent de réaliser un projet de collecte sélective des déchets menagers.Cette opération-pilote dont la généralisation est prévue sur le long terme, portera, en premier lieu, sur l'un des trois quartiers ciblés, à savoir la cité El Hayet, implantée sur les hauteurs de Constantine. Deux autres quartiers, Les-Combattants et Ezzaouche, des quartiers pavillonnaires mais différents l'un de l'autre d'un point de vue urbanistique, en seront aussi concernés dans un avenir proche. En attendant l'étendue de cette action aux 52 autres secteurs de collecte de la ville,18 d'entre eux seront concédés pour une durée de cinq ans à l'entreprise publique communale pluridisciplinaire des travaux de Constantine (EPC PTC). L'opération consiste à « procéder à un tri en amont jusqu'au recyclage effectif, après la réinjection des déchets triés, carton et verre, plastique, et aluminium dans les processus de fabrication ». Dans un premier temps, ces déchets ménagers seront récupérés pêle-mêle dans des bacs installés à cet effet. Une fois « les bons gestes » acquis par le citoyen, la récupération sera davantage ciblée et singularisée avec la mise en place de bacs appropriés au tri. Entièrement financée par le ministère de l'Environnement, cette opération serait actuellement dans sa phase d'étude car, pour ce faire, une multitude de paramètres entrent en considération dont le nombre d'habitants par quartier ciblé et leur production quotidienne de déchets…