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Les distributeurs automatiques de billets de banque aux... «a-monnaie» absents
Publié dans Le Midi Libre le 26 - 07 - 2010

Les quatre ou cinq distributeurs automatiques de billets (DAB) installés depuis quelques années à l'entrée des établissements financiers de la ville de Jijel affichent presque régulièrement leur "incapacité" à répondre à la demande des usagers de la carte interbancaire (CIB). Exhibant le plus souvent l'insupportable mention "hors-service" ou simplement frappés d'une croix rouge sur leurs écrans vides, ces appareils censés rendre service sont constamment en panne, au grand dam des usagers de cartes magnétiques. L'un des DAB les plus sollicités est celui de la Grande poste, mais il fonctionne en dents de scie ou selon son "humeur", pour reprendre l'expression de citoyens dépités. Ces pannes à répétition sont souvent imputées à l'absence ou à la défaillance du réseau par les responsables de la poste qui tentent d'y remédier. En attendant, les cartes introduites mettent trop de temps à ressortir sans que les précieux billets de banque sollicités montrent le bout de leur nez. Certains citoyens avancent que ces équipements ne sont pas alimentés en liquidités, allégations rejetée par les responsables des banques et de la poste. Mais il y a aussi des anomalies et des erreurs dénoncées par des détenteurs de cartes CIB qui signalent parfois un "décalage" (évidemment à la baisse!) entre la somme demandée et celle effectivement libérée par ces équipements, sophistiqués en apparence. Ces désagréments surprise peuvent durer plusieurs heures, voire des jours entiers. Un utilisateur affirme avoir retiré 4.000 dinars dans un DAB, mais lors du retrait des billets, il n'a reçu que 3.000 DA, le ticket mentionnant, lui, 500 euros ! La banque étant fermée ce jour-là (vendredi), le citoyen en question n'a pu faire constater l'erreur provenant de l'automate. Il dit avoir introduit un recours pour être remboursé du différentiel et prend, pendant ce temps, son mal en patience. Les personnes qui se sentent lésées par ces dérèglements, pudiquement appelées "fausses manipulations", se munissent du ticket, de la carte et d'une pièce d'identité pour introduire une réclamation auprès de l'organisme détenteur du DAB incriminé. Que de temps perdu pour des sommes modiques le plus souvent. Logiquement, des erreurs de caisse sont décelées et le journal des retraits permettra d'identifier la "victime" de cet impondérable informatique, qui pourra obtenir son dû après un certain temps. Le comble de ces "défectuosités" est qu'elles surviennent très souvent en période estivale, marquée par un rush considérable de visiteurs qui ne peuvent que s'en remettre, en cas de "panne sèche", à ce procédé moderne pour des retraits de sommes d'argent indispensables à leur séjour dans la région. Désappointés, les clients recourent au traditionnel chéquier de secours ou à leur propre chéquier, s'ils en sont munis, pour ne pas rester "en rade" dans une ville réputée par la frénésie des prix en période estivale. "Personnellement, je ne fais pas trop confiance à ces trucs souvent inopérants", glisse un visiteur de passage dans la ville, fulminant devant un DAB qui refusait de lui donner son dû malgré un compte bien provisionné. Il exprime, hélas, un avis quasi général sur ces nouvelles technologies ou, plus correctement, sur l'usage qui en est fait. En fait, il n'y a pas que ces automates qui soient de "faux compagnons". Le réseau informatique Internet aussi en sait quelque chose avec la qualité du débit tant décriée par les internautes de la région. Les responsables locaux des télécoms n'ont de cesse, pour leur part, de se plaindre des coupures accidentelles de la fibre optique, à cause de travaux effectués sur des tronçons routiers où des engins mastodontes semblent faire fi de ces fils en verre ou en plastique, de la taille d'un cheveu mais par lesquels transite un important trafic de télécommunications.
APS
Les quatre ou cinq distributeurs automatiques de billets (DAB) installés depuis quelques années à l'entrée des établissements financiers de la ville de Jijel affichent presque régulièrement leur "incapacité" à répondre à la demande des usagers de la carte interbancaire (CIB). Exhibant le plus souvent l'insupportable mention "hors-service" ou simplement frappés d'une croix rouge sur leurs écrans vides, ces appareils censés rendre service sont constamment en panne, au grand dam des usagers de cartes magnétiques. L'un des DAB les plus sollicités est celui de la Grande poste, mais il fonctionne en dents de scie ou selon son "humeur", pour reprendre l'expression de citoyens dépités. Ces pannes à répétition sont souvent imputées à l'absence ou à la défaillance du réseau par les responsables de la poste qui tentent d'y remédier. En attendant, les cartes introduites mettent trop de temps à ressortir sans que les précieux billets de banque sollicités montrent le bout de leur nez. Certains citoyens avancent que ces équipements ne sont pas alimentés en liquidités, allégations rejetée par les responsables des banques et de la poste. Mais il y a aussi des anomalies et des erreurs dénoncées par des détenteurs de cartes CIB qui signalent parfois un "décalage" (évidemment à la baisse!) entre la somme demandée et celle effectivement libérée par ces équipements, sophistiqués en apparence. Ces désagréments surprise peuvent durer plusieurs heures, voire des jours entiers. Un utilisateur affirme avoir retiré 4.000 dinars dans un DAB, mais lors du retrait des billets, il n'a reçu que 3.000 DA, le ticket mentionnant, lui, 500 euros ! La banque étant fermée ce jour-là (vendredi), le citoyen en question n'a pu faire constater l'erreur provenant de l'automate. Il dit avoir introduit un recours pour être remboursé du différentiel et prend, pendant ce temps, son mal en patience. Les personnes qui se sentent lésées par ces dérèglements, pudiquement appelées "fausses manipulations", se munissent du ticket, de la carte et d'une pièce d'identité pour introduire une réclamation auprès de l'organisme détenteur du DAB incriminé. Que de temps perdu pour des sommes modiques le plus souvent. Logiquement, des erreurs de caisse sont décelées et le journal des retraits permettra d'identifier la "victime" de cet impondérable informatique, qui pourra obtenir son dû après un certain temps. Le comble de ces "défectuosités" est qu'elles surviennent très souvent en période estivale, marquée par un rush considérable de visiteurs qui ne peuvent que s'en remettre, en cas de "panne sèche", à ce procédé moderne pour des retraits de sommes d'argent indispensables à leur séjour dans la région. Désappointés, les clients recourent au traditionnel chéquier de secours ou à leur propre chéquier, s'ils en sont munis, pour ne pas rester "en rade" dans une ville réputée par la frénésie des prix en période estivale. "Personnellement, je ne fais pas trop confiance à ces trucs souvent inopérants", glisse un visiteur de passage dans la ville, fulminant devant un DAB qui refusait de lui donner son dû malgré un compte bien provisionné. Il exprime, hélas, un avis quasi général sur ces nouvelles technologies ou, plus correctement, sur l'usage qui en est fait. En fait, il n'y a pas que ces automates qui soient de "faux compagnons". Le réseau informatique Internet aussi en sait quelque chose avec la qualité du débit tant décriée par les internautes de la région. Les responsables locaux des télécoms n'ont de cesse, pour leur part, de se plaindre des coupures accidentelles de la fibre optique, à cause de travaux effectués sur des tronçons routiers où des engins mastodontes semblent faire fi de ces fils en verre ou en plastique, de la taille d'un cheveu mais par lesquels transite un important trafic de télécommunications.
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