Au moins 710 hectares de végétation, toutes espèces confondues, ont été détruits depuis le début du mois de juillet dans la wilaya de Béjaïa par plusieurs incendies provoqués essentiellement par la canicule régnante et favorisés par des facteurs aggravants, notamment la sécheresse et le vent, a-t-on appris auprès de la protection civile. Ces incendies ont été ardents et récurrents dans la semaine du 18 au 25 juillet, affectant, tout particulièrement la région boisée du massif d'Adekar, à l'intérieur duquel les flammes ont parcouru 378 hectares de végétation, composée de plusieurs espèces forestières (pin d'Alep, chêne vert et zen, entre autres espèces) et 80 hectares d'oliveraies, a-t-on précisé. Les feux les plus funestes à la végétation ont été déplorés dans la journée du 22 juillet, ayant accablé notamment la localité de Taghrasset (Chemini) occasionnant 220 hectares de dégâts et une multitude d'oliveraies. L'incendie, déclaré en milieu de journée, n'a pu être circonscrit qu'au prix d'un engagement de grands moyens, notamment ceux de la colonne mobile, ceux des APC riveraines et le concours soutenu des habitants des régions environnantes outre une mobilisation générale qui a duré près de 12H00 de temps, a-t-on signalé. Les secours ont progressé difficilement du fait du relief montagneux de la région, d'accès ardu, du manque de points d'eaux et des effets désavantageux du vent, a-t-on expliqué. Depuis le début du mois, les éléments de la protection civile sont intervenus 149 fois pour éteindre des feux, dont l'ampleur dépasse habituellement deux hectares de dégâts. Outre la superficie générale détruite (710 hectares), il est déploré dans ce bilan également, 80 hectares d'oliviers, 3,2 hectares de chaumes, 123 bottes de paille, 3300 arbres fruitiers et 42 ruches d'abeilles. Ces deux derniers jours, aucun incendie important n'a été signalé, s'est-on réjouit. APS Au moins 710 hectares de végétation, toutes espèces confondues, ont été détruits depuis le début du mois de juillet dans la wilaya de Béjaïa par plusieurs incendies provoqués essentiellement par la canicule régnante et favorisés par des facteurs aggravants, notamment la sécheresse et le vent, a-t-on appris auprès de la protection civile. Ces incendies ont été ardents et récurrents dans la semaine du 18 au 25 juillet, affectant, tout particulièrement la région boisée du massif d'Adekar, à l'intérieur duquel les flammes ont parcouru 378 hectares de végétation, composée de plusieurs espèces forestières (pin d'Alep, chêne vert et zen, entre autres espèces) et 80 hectares d'oliveraies, a-t-on précisé. Les feux les plus funestes à la végétation ont été déplorés dans la journée du 22 juillet, ayant accablé notamment la localité de Taghrasset (Chemini) occasionnant 220 hectares de dégâts et une multitude d'oliveraies. L'incendie, déclaré en milieu de journée, n'a pu être circonscrit qu'au prix d'un engagement de grands moyens, notamment ceux de la colonne mobile, ceux des APC riveraines et le concours soutenu des habitants des régions environnantes outre une mobilisation générale qui a duré près de 12H00 de temps, a-t-on signalé. Les secours ont progressé difficilement du fait du relief montagneux de la région, d'accès ardu, du manque de points d'eaux et des effets désavantageux du vent, a-t-on expliqué. Depuis le début du mois, les éléments de la protection civile sont intervenus 149 fois pour éteindre des feux, dont l'ampleur dépasse habituellement deux hectares de dégâts. Outre la superficie générale détruite (710 hectares), il est déploré dans ce bilan également, 80 hectares d'oliviers, 3,2 hectares de chaumes, 123 bottes de paille, 3300 arbres fruitiers et 42 ruches d'abeilles. Ces deux derniers jours, aucun incendie important n'a été signalé, s'est-on réjouit. APS