Le président de la République, Mohamed Abdelaziz, a souligné lors des débats de la 15e session ordinaire de la conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union africaine (UA) qui s'est tenue à Kampala (Ouganda), "la nécessité impérieuse" de l'adhésion de l'Afrique en tant que partenaire puissant au processus de décolonisation du Sahara Occidental. «Il est d'une nécessité impérieuse que l'UA adhère en tant que partenaire de l'ONU aux efforts visant à imposer l'application des résolutions de la légalité internationale à travers l'organisation d'un référendum libre, juste et transparent pour l'autodétermination du peuple sahraoui» en vue de la décolonisation de la dernière colonie d'Afrique, a-t-il dit, selon l'Agence sahraouie de presse. Le processus de négociations supervisé par l'envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies, Christopher Ross, «bute sur cette entrave due au manque de volonté politique chez l'autre partie et son obstination à rejeter l'option démocratique qu'est le référendum d'autodétermination», a-t-il affirmé, exprimant «la préoccupation» de l'Etat sahraoui quant à «l'inertie» qui caractérise le processus politique en raison de l'intransigeance de l'autre partie qui s'est soustraite aux engagements internationaux conclus par les deux parties du conflit, à savoir le Front Polisario et le Maroc. Le président sahraoui a également déploré la situation au Sahara Occidental, une situation «qui ne répond nullement aux aspirations visant à faire de l'année 2010 l'année de la paix et de la sécurité en Afrique» affirmant que la paix aussi bien que la sécurité, la liberté et la démocratie étaient «gravement menacées» au Sahara Occidental. Saluant le rôle de l'UA à travers ses observateurs membres de la Mission pour le référendum au Sahara Occidental (MINURSO), et les actions de l'Algérie et de la Mauritanie en tant que pays observateurs du processus de règlement du conflit au Sahara Occidental, Mohamed Abdelaziz rappelle le rôle de l'Organisation de l'unité africaine (OUA) dans l'élaboration du plan de règlement et son approbation par la décision du sommet de Tripoli. Par ailleurs, le président de la Commission de l'Union africaine, Jean Ping a réitéré la position ferme de l'UA vis-à-vis de la question du Sahara Occidental, dernière colonie en Afrique. Il a souligné que la solution du conflit passe par le plein respect de la volonté du peuple sahraoui à travers un référendum d'autodétermination, expliquant que «la position de l'Union africaine sur la question du Sahara Occidental est une position ferme, fondée sur la Résolution 104 de l'Organisation de l'unité africaine de 1983 et le plan d'action émanant du sommet de Tripoli de 2009». Dans ce cadre, Jean Ping appelle à «la tenue d'un référendum d'autodétermination au Sahara Occidental», précisant que «l'Union africaine poursuivra ses consultations avec le Secrétaire général des Nations unies et les parties concernées conformément aux orientations du Plan d'action du Tripoli». Le président de la République, Mohamed Abdelaziz, a souligné lors des débats de la 15e session ordinaire de la conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union africaine (UA) qui s'est tenue à Kampala (Ouganda), "la nécessité impérieuse" de l'adhésion de l'Afrique en tant que partenaire puissant au processus de décolonisation du Sahara Occidental. «Il est d'une nécessité impérieuse que l'UA adhère en tant que partenaire de l'ONU aux efforts visant à imposer l'application des résolutions de la légalité internationale à travers l'organisation d'un référendum libre, juste et transparent pour l'autodétermination du peuple sahraoui» en vue de la décolonisation de la dernière colonie d'Afrique, a-t-il dit, selon l'Agence sahraouie de presse. Le processus de négociations supervisé par l'envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies, Christopher Ross, «bute sur cette entrave due au manque de volonté politique chez l'autre partie et son obstination à rejeter l'option démocratique qu'est le référendum d'autodétermination», a-t-il affirmé, exprimant «la préoccupation» de l'Etat sahraoui quant à «l'inertie» qui caractérise le processus politique en raison de l'intransigeance de l'autre partie qui s'est soustraite aux engagements internationaux conclus par les deux parties du conflit, à savoir le Front Polisario et le Maroc. Le président sahraoui a également déploré la situation au Sahara Occidental, une situation «qui ne répond nullement aux aspirations visant à faire de l'année 2010 l'année de la paix et de la sécurité en Afrique» affirmant que la paix aussi bien que la sécurité, la liberté et la démocratie étaient «gravement menacées» au Sahara Occidental. Saluant le rôle de l'UA à travers ses observateurs membres de la Mission pour le référendum au Sahara Occidental (MINURSO), et les actions de l'Algérie et de la Mauritanie en tant que pays observateurs du processus de règlement du conflit au Sahara Occidental, Mohamed Abdelaziz rappelle le rôle de l'Organisation de l'unité africaine (OUA) dans l'élaboration du plan de règlement et son approbation par la décision du sommet de Tripoli. Par ailleurs, le président de la Commission de l'Union africaine, Jean Ping a réitéré la position ferme de l'UA vis-à-vis de la question du Sahara Occidental, dernière colonie en Afrique. Il a souligné que la solution du conflit passe par le plein respect de la volonté du peuple sahraoui à travers un référendum d'autodétermination, expliquant que «la position de l'Union africaine sur la question du Sahara Occidental est une position ferme, fondée sur la Résolution 104 de l'Organisation de l'unité africaine de 1983 et le plan d'action émanant du sommet de Tripoli de 2009». Dans ce cadre, Jean Ping appelle à «la tenue d'un référendum d'autodétermination au Sahara Occidental», précisant que «l'Union africaine poursuivra ses consultations avec le Secrétaire général des Nations unies et les parties concernées conformément aux orientations du Plan d'action du Tripoli».