L'OPPT (Organisme privé de placement des ravailleurs) est un organisme privé agréé par le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale depuis juillet 2009. Il en existe 6 en Algérie. 3 sont implantés à Batna, Béjaia, et Tiaret, et trois à Alger. L'OPPT (Organisme privé de placement des ravailleurs) est un organisme privé agréé par le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale depuis juillet 2009. Il en existe 6 en Algérie. 3 sont implantés à Batna, Béjaia, et Tiaret, et trois à Alger. «Nous sommes agréés pour participer aux placements des demandeurs d'emploi, au même titre que l'ANEM (Agence nationale de l'emploi) » indique le jeune manager de la boîte de Batna, l'unique dans l'extrême est algérien. Il ajoutera pour plus de précisions : « Nos placements sont intéressants dès lors que nous ciblons des postes vacants de plein emploi, contrairement à l'ANEM qui recourt aux dispositifs DAIP (Dispositif d'aide à l'insertion professionnelle). «Par manque d'informations de la part des médias, les demandeurs d'emploi ignorent l'existence» de ces bureaux déplore le patron, un ancien directeur des ressources humaines au sud du pays revenu s'installer comme partenaire de l'Etat, via l'ANEM. ZIM (Zaaboub intérim management) est le sigle de cette boîte privée qui se situe dans un local privé, face au grand établissement scolaire, le lycée Mustapha Benboulaid. Les chômeurs à la recherche d'un emploi ne se bousculent pas au portillon, «malgré une inscription gratuite et une prise en charge sérieuse de la demande» déplorent le manager et ses collaborateurs, quotidiennement en prospection auprès des opérateurs économiques et autres administrations à la recherche de compétences. A ce jour, 432 demandeurs d'emploi se sont présentés au siège de ZIM et se sont inscrits contre plus de 1.400 autres qui se sont inscrits par Internet : [email protected]. «Les placements, timides au niveau des «chercheurs de main d'œuvre» butent sur l'incompréhension de ces derniers, en dépit des avantages parafiscaux, à l'exemple d'un abattement de la cotisation patronale de 20 à 36 %, conformément au décret exécutif N° 10 -71 incluse dans la LFC 2009» indique le manager Zaaboub. Au titre de la complémentarité dans l'information, les OPPT, partenaires de l'ANEM (Agence nationale de l'emploi), travaillent en étroite collaboration avec l'agence de wilaya, avec cette différence que les OPPT procèdent au recrutement, hors dispositifs d'aide à l'emploi, selon les catégories. Au titre d'information, il faut souligner que l'agrément est subordonné à la signature d'une convention de 18 articles définissant les obligations réciproques entre les deux parties. L'OPPT devra ensuite établir un registre du commerce. En dépit de son caractère commercial, l'OPPT est tenu d'opérer dans la wilaya d'origine, conformément à l'article 12 de la loi N° 04-19 du 25 décembre 2004. L'OPPT, qui est une entité privée soumise aux paiement des taxes et impôts, doit également faire face aux charges de gestion. Ce qui, dans la durée risque de mettre en difficulté cet organisme de service venu en appoint aux ANEM. Pour les régions de la profonde Algérie où les investisseurs ne se bousculent pas au portillon, l'unique OPPT des Aurès risque de mettre la clé sous le paillasson et la seule parade reste la liberté pour l'OPPT un redéploiement national. «Ainsi, les inscrits de ma wilaya seront casés quelque part dans les régions prospères» préconise le patron de ZIM. «Nous sommes agréés pour participer aux placements des demandeurs d'emploi, au même titre que l'ANEM (Agence nationale de l'emploi) » indique le jeune manager de la boîte de Batna, l'unique dans l'extrême est algérien. Il ajoutera pour plus de précisions : « Nos placements sont intéressants dès lors que nous ciblons des postes vacants de plein emploi, contrairement à l'ANEM qui recourt aux dispositifs DAIP (Dispositif d'aide à l'insertion professionnelle). «Par manque d'informations de la part des médias, les demandeurs d'emploi ignorent l'existence» de ces bureaux déplore le patron, un ancien directeur des ressources humaines au sud du pays revenu s'installer comme partenaire de l'Etat, via l'ANEM. ZIM (Zaaboub intérim management) est le sigle de cette boîte privée qui se situe dans un local privé, face au grand établissement scolaire, le lycée Mustapha Benboulaid. Les chômeurs à la recherche d'un emploi ne se bousculent pas au portillon, «malgré une inscription gratuite et une prise en charge sérieuse de la demande» déplorent le manager et ses collaborateurs, quotidiennement en prospection auprès des opérateurs économiques et autres administrations à la recherche de compétences. A ce jour, 432 demandeurs d'emploi se sont présentés au siège de ZIM et se sont inscrits contre plus de 1.400 autres qui se sont inscrits par Internet : [email protected]. «Les placements, timides au niveau des «chercheurs de main d'œuvre» butent sur l'incompréhension de ces derniers, en dépit des avantages parafiscaux, à l'exemple d'un abattement de la cotisation patronale de 20 à 36 %, conformément au décret exécutif N° 10 -71 incluse dans la LFC 2009» indique le manager Zaaboub. Au titre de la complémentarité dans l'information, les OPPT, partenaires de l'ANEM (Agence nationale de l'emploi), travaillent en étroite collaboration avec l'agence de wilaya, avec cette différence que les OPPT procèdent au recrutement, hors dispositifs d'aide à l'emploi, selon les catégories. Au titre d'information, il faut souligner que l'agrément est subordonné à la signature d'une convention de 18 articles définissant les obligations réciproques entre les deux parties. L'OPPT devra ensuite établir un registre du commerce. En dépit de son caractère commercial, l'OPPT est tenu d'opérer dans la wilaya d'origine, conformément à l'article 12 de la loi N° 04-19 du 25 décembre 2004. L'OPPT, qui est une entité privée soumise aux paiement des taxes et impôts, doit également faire face aux charges de gestion. Ce qui, dans la durée risque de mettre en difficulté cet organisme de service venu en appoint aux ANEM. Pour les régions de la profonde Algérie où les investisseurs ne se bousculent pas au portillon, l'unique OPPT des Aurès risque de mettre la clé sous le paillasson et la seule parade reste la liberté pour l'OPPT un redéploiement national. «Ainsi, les inscrits de ma wilaya seront casés quelque part dans les régions prospères» préconise le patron de ZIM.