Moins de dix jours après avoir fermé la RN12 à la circulation routière, hier vers 11h, plus de deux cents jeunes, recrutés dans le cadre du Contrat d'insertion et de formation (CFI), ont bloqué la RN12 au niveau de la station d'essence de la ville de Naciria, à une quarantaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès. Ils ont fermé la circulation automobile à l'aide de pierres et ont mie le feu à des pneus afin de réclamer le réglement de leurs salaires du mois de juin dernier. Ils dénoncent, par cette action, les promesses non tenues par les responsables quant au payement de leurs salaires. «La dernière fois, les responsables concernés, nous ont promis de payer nos salaires dans les plus brefs délais, mais voila qu'ils continuent de nous ignorer, et ils nous poussent à sortir dans la rue pour réclamer nos droits», nous dira l'un des protestataires. Les jeunes « chômeurs », dont le contrat vient, selon toute vraisemblance, d'expirer, réclament le réglement de leurs salaires dans les plus brefs délais. Notons que cette action de protestation est la sixième de genre en l'espace de huit mois dans cette localité qui recèle d'importantes potentialités, notamment agricoles. A rappeler que plusieurs jeunes, recrutés dans le cadre dudit dispositif, avaient observé des mouvements de protestation à Si Mustapha, Bordj Ménaïel et aux Issers, toujours pour réclamer le payement de leurs salaires. Les jeunes protestataires n'ont libéré la route qu'après l'intervention des responsables locaux qui ont promis la satisfaction de leurs revendications dans les plus brefs délais. T. O. Moins de dix jours après avoir fermé la RN12 à la circulation routière, hier vers 11h, plus de deux cents jeunes, recrutés dans le cadre du Contrat d'insertion et de formation (CFI), ont bloqué la RN12 au niveau de la station d'essence de la ville de Naciria, à une quarantaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès. Ils ont fermé la circulation automobile à l'aide de pierres et ont mie le feu à des pneus afin de réclamer le réglement de leurs salaires du mois de juin dernier. Ils dénoncent, par cette action, les promesses non tenues par les responsables quant au payement de leurs salaires. «La dernière fois, les responsables concernés, nous ont promis de payer nos salaires dans les plus brefs délais, mais voila qu'ils continuent de nous ignorer, et ils nous poussent à sortir dans la rue pour réclamer nos droits», nous dira l'un des protestataires. Les jeunes « chômeurs », dont le contrat vient, selon toute vraisemblance, d'expirer, réclament le réglement de leurs salaires dans les plus brefs délais. Notons que cette action de protestation est la sixième de genre en l'espace de huit mois dans cette localité qui recèle d'importantes potentialités, notamment agricoles. A rappeler que plusieurs jeunes, recrutés dans le cadre dudit dispositif, avaient observé des mouvements de protestation à Si Mustapha, Bordj Ménaïel et aux Issers, toujours pour réclamer le payement de leurs salaires. Les jeunes protestataires n'ont libéré la route qu'après l'intervention des responsables locaux qui ont promis la satisfaction de leurs revendications dans les plus brefs délais. T. O.