Le deuxième acteur mondial en terme de réseaux, Nokia Siemens, vient de proposer 1,2 milliard de dollars pour racheter tous les réseaux d'infrastructures télécoms fixes et mobiles de Motorola. L'équipementier télécom Nokia Siemens veut racheter la division d'infrastructure télécoms fixes et mobiles de Motorola. Il propose pour cette transaction 1,2 milliard de dollars. Selon Rajeev Suri, directeur général de Nokia Siemens Networks, cette acquisition reste intéressante grâce à des avantages significatifs qu'elle pourrait apporter pour les clients, pour les employés et pour les actionnaires de l'équipementier. Il est indiqué auprès de Nokia Siemens que cette acquisition renforcerait les relations avec plus de 50 opérateurs notamment avec China Mobile, Clearwire, KDDI, Sprint, Verizon Wireless et Vodafone et ce sera aussi l'occasion pour lui de s'installer sur 30 réseaux de troisième génération (CDMA) dans 22 pays et sur 41 contrats dans 21 pays pour la technologie de quatrième génération WiMax, dont Motorola est l'un des principaux développeurs. Nokia Siemens attend dans ce contexte la réponse de Motorola qui affirme qu'il ne prévoyait pas de céder d'autres actifs avant la scission programmée l'an prochain. Le deuxième acteur mondial en terme de réseaux, Nokia Siemens, vient de proposer 1,2 milliard de dollars pour racheter tous les réseaux d'infrastructures télécoms fixes et mobiles de Motorola. L'équipementier télécom Nokia Siemens veut racheter la division d'infrastructure télécoms fixes et mobiles de Motorola. Il propose pour cette transaction 1,2 milliard de dollars. Selon Rajeev Suri, directeur général de Nokia Siemens Networks, cette acquisition reste intéressante grâce à des avantages significatifs qu'elle pourrait apporter pour les clients, pour les employés et pour les actionnaires de l'équipementier. Il est indiqué auprès de Nokia Siemens que cette acquisition renforcerait les relations avec plus de 50 opérateurs notamment avec China Mobile, Clearwire, KDDI, Sprint, Verizon Wireless et Vodafone et ce sera aussi l'occasion pour lui de s'installer sur 30 réseaux de troisième génération (CDMA) dans 22 pays et sur 41 contrats dans 21 pays pour la technologie de quatrième génération WiMax, dont Motorola est l'un des principaux développeurs. Nokia Siemens attend dans ce contexte la réponse de Motorola qui affirme qu'il ne prévoyait pas de céder d'autres actifs avant la scission programmée l'an prochain.