Tout le monde crie au vol et au scandale et pourtant nul ne peut arrêter la furia des commerçants car la liberté de la pratique des prix les autorise à vendre sans limite de marge bénéficiaire aussi ils en profitent à satiété aux frais du citoyen. Tout le monde crie au vol et au scandale et pourtant nul ne peut arrêter la furia des commerçants car la liberté de la pratique des prix les autorise à vendre sans limite de marge bénéficiaire aussi ils en profitent à satiété aux frais du citoyen. Les commerçants sont en train s'aiguiser leurs armes et le citoyen lambda, comme toujours, attend de subir leur loi. Ce n'est pas cette année que les prix vont baisser et que les jeûneurs profiteront de la bonté des spéculateurs dont le seul intérêt est et restera le gain facile. La couleur est déjà annoncée avec la hausse subite des prix de la viande blanche, particulièrement le poulet, qui l'espace de deux ou trois jours est passé de 240 DA à 340 DA, une hausse à faire dresser les cheveux. La dinde, la viande du pauvre, a largement dépassé les 450 dinars. Tout le monde crie au vol et au scandale et pourtant nul ne peut arrêter la furia des commerçants car la liberté de la pratique des prix les autorise à vendre sans limite de marge bénéficiaire aussi ils en profitent à satiété aux frais du citoyen. Pour eux, le producteur est le seul responsable des augmentations, ils ne font qu'appliquer une marge qui leur permet à peine de "survivre". Les éléments de la direction du commerce qui aujourd'hui s'appliquent beaucoup plus à contrôler la qualité que les prix ne peuvent rien contre cette folie des hausses. Seuls le lait, le pain et certaines autres denrées sont sujets au contrôle des prix d'où cette arrogance démesurée des vendeurs à l'encontre des contrôleurs et inspecteurs surtout quand leurs registres du commerce et factures sont en règle. De concurrence, il n'y en a point et quand un commerçant fixe le prix d'une denrée c'est tout le reste qui suit. Les fruits et légumes alternent la hausse et la baisse, la chaleur étant généralement à l'origine des bas prix. Il suffit que le climat devienne clément pour que subitement les prix augmentent. Les citoyens accuseront le coup, c'est la coutume. Z. A. Les commerçants sont en train s'aiguiser leurs armes et le citoyen lambda, comme toujours, attend de subir leur loi. Ce n'est pas cette année que les prix vont baisser et que les jeûneurs profiteront de la bonté des spéculateurs dont le seul intérêt est et restera le gain facile. La couleur est déjà annoncée avec la hausse subite des prix de la viande blanche, particulièrement le poulet, qui l'espace de deux ou trois jours est passé de 240 DA à 340 DA, une hausse à faire dresser les cheveux. La dinde, la viande du pauvre, a largement dépassé les 450 dinars. Tout le monde crie au vol et au scandale et pourtant nul ne peut arrêter la furia des commerçants car la liberté de la pratique des prix les autorise à vendre sans limite de marge bénéficiaire aussi ils en profitent à satiété aux frais du citoyen. Pour eux, le producteur est le seul responsable des augmentations, ils ne font qu'appliquer une marge qui leur permet à peine de "survivre". Les éléments de la direction du commerce qui aujourd'hui s'appliquent beaucoup plus à contrôler la qualité que les prix ne peuvent rien contre cette folie des hausses. Seuls le lait, le pain et certaines autres denrées sont sujets au contrôle des prix d'où cette arrogance démesurée des vendeurs à l'encontre des contrôleurs et inspecteurs surtout quand leurs registres du commerce et factures sont en règle. De concurrence, il n'y en a point et quand un commerçant fixe le prix d'une denrée c'est tout le reste qui suit. Les fruits et légumes alternent la hausse et la baisse, la chaleur étant généralement à l'origine des bas prix. Il suffit que le climat devienne clément pour que subitement les prix augmentent. Les citoyens accuseront le coup, c'est la coutume. Z. A.