Sacs en plastique de fortune, matériaux hétéroclites et autres emballages en cartons jonchent toutes les artères et ruelles des quartiers de la cité, surtout en cette période ramadhanesque où la frénésie d'approvisionnement s'est installée. Sacs en plastique de fortune, matériaux hétéroclites et autres emballages en cartons jonchent toutes les artères et ruelles des quartiers de la cité, surtout en cette période ramadhanesque où la frénésie d'approvisionnement s'est installée. Tous les quartiers de la capitale des Aurès croulent sous les ordures et l'on ne peut incriminer la municipalité de laxisme, dès lors que l'ensemble du parc roulant, renforcé par plus de 26 camions privés, activent inlassablement pour l'enlèvement des ordures, évaluées selon les services concernés à 300 tonnes/jour. "Le citoyen est le premier responsable de cette situation déplorable du fait de son égoïsme et son j'm'enfoutisme", s'indigne un ouvrier de la commune, interrogé sur ce phénomène qui prend de l'ampleur. En effet, sacs en plastique de fortune, matériaux hétéroclites et autres emballages en cartons jonchent toutes les artères et ruelles des quartiers de la cité, surtout en cette période ramadhanesque où la frénésie d'approvisionnement s'est installée. A chaque coin de rue, l'on ne peut éviter ces dépotoirs auxquels il faut ajouter ces amas de bouteilles en plastique vides et autres sachets et papiers volants. "Tout le monde crie au scandale et personne n'y participe pour nettoyer devant sa porte", observe un locataire de la cité Chouhada, en lutte éternelle avec les commerçants grossistes qui jettent en fin de soirée leur emballage vide dans les cuvettes des arbustes en détresse de soif. Le cadre de vie se dégrade dans l'indifférence générale est le constat est unanime, même auprès des "Verts" d'une pathétique association de l'environnement. La lutte contre l'incivisme citoyen doit émaner des imams de mosquées qui, chaque vendredi, reçoivent les pratiquants en nombre pour écouter les prêches. Dans un autre contexte, il est déploré que la ville doit, pour faire face aux immondices qui envahissent l'environnement, instituer une taxe d'enlèvement des ordures proportionnelle aux volumes jetés. Autrement dit, des commerçants qui flouent le fisc, occupent les trottoirs et bloquent la circulation doivent être taxés différemment des simples citoyens. Cependant, dans l'attente d'un sursaut de la collectivité, la situation ne cesse de se dégrader eu égard aux cross connexions au centre-ville, à l'exemple de celle du quartier de la Gare. En dépit des efforts entrepris par la wilaya pour une prévention des risques encourus en cette période estivale, la ville de Batna est sale et est devenue un réservoir potentiel pour le développement de toutes sortes de pathologies, notamment celles allergologiques du fait de l'incinération des centaines de dépôts d'ordures par des citoyens croyant bien faire. Tous les quartiers de la capitale des Aurès croulent sous les ordures et l'on ne peut incriminer la municipalité de laxisme, dès lors que l'ensemble du parc roulant, renforcé par plus de 26 camions privés, activent inlassablement pour l'enlèvement des ordures, évaluées selon les services concernés à 300 tonnes/jour. "Le citoyen est le premier responsable de cette situation déplorable du fait de son égoïsme et son j'm'enfoutisme", s'indigne un ouvrier de la commune, interrogé sur ce phénomène qui prend de l'ampleur. En effet, sacs en plastique de fortune, matériaux hétéroclites et autres emballages en cartons jonchent toutes les artères et ruelles des quartiers de la cité, surtout en cette période ramadhanesque où la frénésie d'approvisionnement s'est installée. A chaque coin de rue, l'on ne peut éviter ces dépotoirs auxquels il faut ajouter ces amas de bouteilles en plastique vides et autres sachets et papiers volants. "Tout le monde crie au scandale et personne n'y participe pour nettoyer devant sa porte", observe un locataire de la cité Chouhada, en lutte éternelle avec les commerçants grossistes qui jettent en fin de soirée leur emballage vide dans les cuvettes des arbustes en détresse de soif. Le cadre de vie se dégrade dans l'indifférence générale est le constat est unanime, même auprès des "Verts" d'une pathétique association de l'environnement. La lutte contre l'incivisme citoyen doit émaner des imams de mosquées qui, chaque vendredi, reçoivent les pratiquants en nombre pour écouter les prêches. Dans un autre contexte, il est déploré que la ville doit, pour faire face aux immondices qui envahissent l'environnement, instituer une taxe d'enlèvement des ordures proportionnelle aux volumes jetés. Autrement dit, des commerçants qui flouent le fisc, occupent les trottoirs et bloquent la circulation doivent être taxés différemment des simples citoyens. Cependant, dans l'attente d'un sursaut de la collectivité, la situation ne cesse de se dégrader eu égard aux cross connexions au centre-ville, à l'exemple de celle du quartier de la Gare. En dépit des efforts entrepris par la wilaya pour une prévention des risques encourus en cette période estivale, la ville de Batna est sale et est devenue un réservoir potentiel pour le développement de toutes sortes de pathologies, notamment celles allergologiques du fait de l'incinération des centaines de dépôts d'ordures par des citoyens croyant bien faire.