Trois plages, Saket, Tigheremt et Oued Ass de la côte ouest du littoral de Béjaïa sont interdites à la baignade depuis déjà trois jours, cela suite au dégazage des cuves d'un pétrolier près du littoral. C'est jeudi après-midi que les baigneurs de ces trois plages ont constaté la couleur rougeâtre de l'eau de mer et des détritus qui flottaient à la surface de l'eau. Cette couleur s'est rapidement étendue sur un grand périmètre rendant la baignade impossible et dangereuse. Les baigneurs, qui commençaient à paniquer, ont aussitôt rejoint la rive et ont alerté les services de la Protection civile sur les lieux. 48 heures après cet "incident" que certains ont pris pour une simple rumeur, aucun secteur n'était en mesure de nous donner une information exacte. Ce n'est qu'hier qu'une commission, composée des éléments de la Protection civile, du tourisme, de la santé et de l'environnement, s'est déplacée sur les lieux du sinistre pour déterminer l'ampleur des dégâts. Ainsi, selon les informations en notre possession, le bateau qui n'a pas été identifie aurait vidé les ballasts d'eau de mer à moins de 2 mille mètres de la côte, alors que la réglementation définit les zones où ces bateaux doivent procéder au remplissage et au vidange de leurs ballasts. Autre point à éclaircir, comment se fait-il qu'un bateau ait pu traverser toute cette zone, sans être identifié par les services concernés. Pour l'heure aucun signe de ce pétrolier et la commission dépêchée sur les lieux n'a fait que constater les dégâts. A 13h30, le commandant Souffi de la Protection civile nous confirme effectivement cette pollution où des taches noires sont répandues sur la surface de la mer, occupant une surperficie de 30 mètres du rivage. L'origine de cette pollution reste à déterminer s'il s'agit de pétrole, gasoil ou autres produits chimiques. Des échantillons seront analysés afin de déterminer l'origine de cette pollution. Par précaution ou par peur, les baigneurs évitent, depuis jeudi, de se baigner, d'autant que des vents faibles ont facilité la progression de cette pollution. Trois plages, Saket, Tigheremt et Oued Ass de la côte ouest du littoral de Béjaïa sont interdites à la baignade depuis déjà trois jours, cela suite au dégazage des cuves d'un pétrolier près du littoral. C'est jeudi après-midi que les baigneurs de ces trois plages ont constaté la couleur rougeâtre de l'eau de mer et des détritus qui flottaient à la surface de l'eau. Cette couleur s'est rapidement étendue sur un grand périmètre rendant la baignade impossible et dangereuse. Les baigneurs, qui commençaient à paniquer, ont aussitôt rejoint la rive et ont alerté les services de la Protection civile sur les lieux. 48 heures après cet "incident" que certains ont pris pour une simple rumeur, aucun secteur n'était en mesure de nous donner une information exacte. Ce n'est qu'hier qu'une commission, composée des éléments de la Protection civile, du tourisme, de la santé et de l'environnement, s'est déplacée sur les lieux du sinistre pour déterminer l'ampleur des dégâts. Ainsi, selon les informations en notre possession, le bateau qui n'a pas été identifie aurait vidé les ballasts d'eau de mer à moins de 2 mille mètres de la côte, alors que la réglementation définit les zones où ces bateaux doivent procéder au remplissage et au vidange de leurs ballasts. Autre point à éclaircir, comment se fait-il qu'un bateau ait pu traverser toute cette zone, sans être identifié par les services concernés. Pour l'heure aucun signe de ce pétrolier et la commission dépêchée sur les lieux n'a fait que constater les dégâts. A 13h30, le commandant Souffi de la Protection civile nous confirme effectivement cette pollution où des taches noires sont répandues sur la surface de la mer, occupant une surperficie de 30 mètres du rivage. L'origine de cette pollution reste à déterminer s'il s'agit de pétrole, gasoil ou autres produits chimiques. Des échantillons seront analysés afin de déterminer l'origine de cette pollution. Par précaution ou par peur, les baigneurs évitent, depuis jeudi, de se baigner, d'autant que des vents faibles ont facilité la progression de cette pollution.