Dans un rapport récent de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) sur l'investissement mondial en 2010, destiné notamment aux pays en développement et aux pays méditerranéens, dont l'Algérie, le Maroc et la Tunisie, l'analyse des tendances et perspectives de l'Investissement direct étranger (IDE) mondial montre qu'il existe un fort déclin des IDE au niveau international durant l'année 2009. Dans un rapport récent de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) sur l'investissement mondial en 2010, destiné notamment aux pays en développement et aux pays méditerranéens, dont l'Algérie, le Maroc et la Tunisie, l'analyse des tendances et perspectives de l'Investissement direct étranger (IDE) mondial montre qu'il existe un fort déclin des IDE au niveau international durant l'année 2009. En effet, cette étude de l'institution onusienne indique que « 1.114 milliards de dollars ont été injectés dans des projets d'investissement contre 1.771 milliards de dollars en 2008, soit une diminution de 37% après la contraction de 16% en 2008 ». Selon le site d'Anima qui reprend le rapport, « les flux de IDE ont toutefois cessé de diminuer au cours du second semestre 2009, et un timide redressement a été enregistré au premier semestre 2010. La Cnuced prévoit une hausse des flux des investissements directs étrangers plus vigoureuse en 2011 et 2012 ». L'analyse du la Cnuced fait ressortir que les pays MED ont, pour leur part, attiré des flux totaux de 42,1 milliards de dollars (soit 30,2 milliards d'euros) en 2009, contre 64,2 milliards en 2008, c'est-à-dire une baisse de 32%. La part des pays MED dans les IDE mondiaux repasse en dessous de la barre des 3%. Les données chiffrées d'Anima Mipo dans les pays méditerranéens sont bien reliées à celles de la Cnucd et enregistrent des flux réels des IDE. Les pays en voie de développement et les pays (émergents) en transition sont les principaux pays qui attirent le plus d'IDE. En effet, en 2009, ces pays ont absorbé près de la moitié de ces investissements tout en émettant le quart, selon l'institution de l'Onu qui précise que « leur poids en tant que source d'IDE devrait continuer d'augmenter ». Pour le continent africain, la Cnuced évoque de nouvelles sources d'IDE. Il s'agit, en fait, selon le rapport « des multinationales des pays en développement essentiellement, mais également les investissements directs étrangers intra-régionaux qui continuent de connaître une hausse. Le Maroc et la Tunisie ont orienté respectivement 55 % et 84 % de leurs IDE vers l'Afrique du Nord l'année précédente ». Les indices montrent que le Maroc a attiré plus d'IDE que ses voisins du Maghreb, l'Algérie et la Tunisie durant l'année 2009, précisant que les investissements étrangers dans cette région d'Afrique du Nord sont évalués à 8,5 milliards de dollars dont 2,5 milliards pour l'Algérie. Des spécialistes de la finance et des responsables politiques en charge de l'économie algérienne soulignent que «l'Algérie attend un accroissement des IDE européens en Algérie car les flux actuels sont en deçà de ses attentes, en particulier ceux destinés à promouvoir la diversification de son économie et de ses exportations». Par ailleurs, le Forum euro-méditerranéen des instituts de sciences économiques (Femise) rapporte que les investissements directs étrangers dans les pays du sud de la Méditerranée, notamment en Algérie, ont tendance à faiblir, et ce en raison du manque de transparence dans la législation régissant les IDE et du climat des affaires. En effet, cette étude de l'institution onusienne indique que « 1.114 milliards de dollars ont été injectés dans des projets d'investissement contre 1.771 milliards de dollars en 2008, soit une diminution de 37% après la contraction de 16% en 2008 ». Selon le site d'Anima qui reprend le rapport, « les flux de IDE ont toutefois cessé de diminuer au cours du second semestre 2009, et un timide redressement a été enregistré au premier semestre 2010. La Cnuced prévoit une hausse des flux des investissements directs étrangers plus vigoureuse en 2011 et 2012 ». L'analyse du la Cnuced fait ressortir que les pays MED ont, pour leur part, attiré des flux totaux de 42,1 milliards de dollars (soit 30,2 milliards d'euros) en 2009, contre 64,2 milliards en 2008, c'est-à-dire une baisse de 32%. La part des pays MED dans les IDE mondiaux repasse en dessous de la barre des 3%. Les données chiffrées d'Anima Mipo dans les pays méditerranéens sont bien reliées à celles de la Cnucd et enregistrent des flux réels des IDE. Les pays en voie de développement et les pays (émergents) en transition sont les principaux pays qui attirent le plus d'IDE. En effet, en 2009, ces pays ont absorbé près de la moitié de ces investissements tout en émettant le quart, selon l'institution de l'Onu qui précise que « leur poids en tant que source d'IDE devrait continuer d'augmenter ». Pour le continent africain, la Cnuced évoque de nouvelles sources d'IDE. Il s'agit, en fait, selon le rapport « des multinationales des pays en développement essentiellement, mais également les investissements directs étrangers intra-régionaux qui continuent de connaître une hausse. Le Maroc et la Tunisie ont orienté respectivement 55 % et 84 % de leurs IDE vers l'Afrique du Nord l'année précédente ». Les indices montrent que le Maroc a attiré plus d'IDE que ses voisins du Maghreb, l'Algérie et la Tunisie durant l'année 2009, précisant que les investissements étrangers dans cette région d'Afrique du Nord sont évalués à 8,5 milliards de dollars dont 2,5 milliards pour l'Algérie. Des spécialistes de la finance et des responsables politiques en charge de l'économie algérienne soulignent que «l'Algérie attend un accroissement des IDE européens en Algérie car les flux actuels sont en deçà de ses attentes, en particulier ceux destinés à promouvoir la diversification de son économie et de ses exportations». Par ailleurs, le Forum euro-méditerranéen des instituts de sciences économiques (Femise) rapporte que les investissements directs étrangers dans les pays du sud de la Méditerranée, notamment en Algérie, ont tendance à faiblir, et ce en raison du manque de transparence dans la législation régissant les IDE et du climat des affaires.