Des entreprises algériennes prendront part à la quatrième édition du forum afro-suisse "Swiss-African Business Exchange'' prévu les 16 et 17 mars 2011 au Centre international des conférences de Genève. En effet l'ambassade d'Algérie à Berne annonce que la préparation de l'Algérie concernant sa participation à cet important évènement se concentre sur la présentation des grands projets de développement et le climat des investissements et d'affaires, ainsi que les grandes lignes du plan quinquennal 2010-2014, sachant que lors de la précédente édition qui a eu lieu au World Trade Center de Zurich où plus de 200 entreprises suisses et étrangères y ont pris part, l'ambassadeur d'Algérie à Berne, El Houès Riache, a mis en relief les grands projets d'infrastructures dans le programme de développement en Algérie. Son intervention devant les investisseurs et entrepreneurs d'Afrique et de la Confédération helvétique entre dans le cadre de la promotion de l'économie nationale et les opportunités offertes aux hommes d'affaires internationaux d'investir en Algérie. S'agissant de la rencontre prochaine de Genève qui s'annonce prometteuse dans la mesure où les investisseurs suisses affichent leur désir de s'implanter en Algérie, à l'image du groupe propriétaire du Centre commercial et de loisirs de Bab Ezzouar, le premier au niveau du Maghreb, elle est qualifiée d'indispensable par les organisateurs. «C'est un évènement international annuel qui réunit le monde du business de Suisse et d'Afrique a pour objectif essentiel de rassembler les entrepreneurs, les investisseurs, les leaders d'opinion, les officiels gouvernementaux et les académiciens, afin de réfléchir ensemble sur les moyens et les voies concrètes de réaliser des échanges et fructifier des projets de développement et de promouvoir des idées de business» ont-ils déclaré. Les entreprises algériennes, qui seront présentes à ce rendez-vous, considéré comme une plate forme de discussion pour l'échange d'expériences de gouvernance d'entreprise entre les sociétés suisses et les entreprises du continent africain, pourront notamment avoir des informations et des données importantes sur le marché existant et réaliser également des réalisations en vue d'un partenariat et d'un nouveau créneau pour l'exportation et la commercialisation de leurs produits. Les entreprises algériennes, spécialisées dans l'agroalimentaire, sont bien placées pour matérialiser des relations d'affaires avec des opérateurs économiques suisses. La première journée de "Swiss-African Business Exchange'' sera particulièrement focalisée sur la présentation de projets structurants concrets et de plans de business, tandis que la seconde journée sera notamment axée sur la mise en relations d'affaires et les rencontres B to B entre les différents participants. Rappelons que Riache a mis l'accent, lors de la précédente édition de ce forum, sur les perspectives de croissance économique en Algérie durant l'année 2010 où le taux atteint 5% tout en soulignant que l'Etat mobilisera 150 milliards de dollars pour les grands projets de construction d'infrastructures. Des entreprises algériennes prendront part à la quatrième édition du forum afro-suisse "Swiss-African Business Exchange'' prévu les 16 et 17 mars 2011 au Centre international des conférences de Genève. En effet l'ambassade d'Algérie à Berne annonce que la préparation de l'Algérie concernant sa participation à cet important évènement se concentre sur la présentation des grands projets de développement et le climat des investissements et d'affaires, ainsi que les grandes lignes du plan quinquennal 2010-2014, sachant que lors de la précédente édition qui a eu lieu au World Trade Center de Zurich où plus de 200 entreprises suisses et étrangères y ont pris part, l'ambassadeur d'Algérie à Berne, El Houès Riache, a mis en relief les grands projets d'infrastructures dans le programme de développement en Algérie. Son intervention devant les investisseurs et entrepreneurs d'Afrique et de la Confédération helvétique entre dans le cadre de la promotion de l'économie nationale et les opportunités offertes aux hommes d'affaires internationaux d'investir en Algérie. S'agissant de la rencontre prochaine de Genève qui s'annonce prometteuse dans la mesure où les investisseurs suisses affichent leur désir de s'implanter en Algérie, à l'image du groupe propriétaire du Centre commercial et de loisirs de Bab Ezzouar, le premier au niveau du Maghreb, elle est qualifiée d'indispensable par les organisateurs. «C'est un évènement international annuel qui réunit le monde du business de Suisse et d'Afrique a pour objectif essentiel de rassembler les entrepreneurs, les investisseurs, les leaders d'opinion, les officiels gouvernementaux et les académiciens, afin de réfléchir ensemble sur les moyens et les voies concrètes de réaliser des échanges et fructifier des projets de développement et de promouvoir des idées de business» ont-ils déclaré. Les entreprises algériennes, qui seront présentes à ce rendez-vous, considéré comme une plate forme de discussion pour l'échange d'expériences de gouvernance d'entreprise entre les sociétés suisses et les entreprises du continent africain, pourront notamment avoir des informations et des données importantes sur le marché existant et réaliser également des réalisations en vue d'un partenariat et d'un nouveau créneau pour l'exportation et la commercialisation de leurs produits. Les entreprises algériennes, spécialisées dans l'agroalimentaire, sont bien placées pour matérialiser des relations d'affaires avec des opérateurs économiques suisses. La première journée de "Swiss-African Business Exchange'' sera particulièrement focalisée sur la présentation de projets structurants concrets et de plans de business, tandis que la seconde journée sera notamment axée sur la mise en relations d'affaires et les rencontres B to B entre les différents participants. Rappelons que Riache a mis l'accent, lors de la précédente édition de ce forum, sur les perspectives de croissance économique en Algérie durant l'année 2010 où le taux atteint 5% tout en soulignant que l'Etat mobilisera 150 milliards de dollars pour les grands projets de construction d'infrastructures.