Les fruits secs connaissent en cette première semaine du Ramadhan, une déstabilisation en matière de prix, des hausses et des baisses de prix subites, selon la disponibilité des produits et selon les commerçants qui semblent être les seuls décideurs en la matière. Dans les marchés de la capitale, les raisin secs sont cédés entre 450 à 480 DA le kilogramme, les pruneaux de 320 à 380 DA le kilogramme. Tandis que les abricots secs, qui constituent l'un des l'ingrédients principaux du «l'ham l'ahlou», un plat incontournable sur la table algérienne durant le mois sacré, semblent avoir disparus du marché et les rares commerçants qui l'ont, le proposent à 1.400 DA le kilogramme. Un prix très exagéré dû, selon les commerçants «à la rareté de ce produit ces derniers jours». Une rareté qui n'est, selon eux, pourtant pas justifiée. Les fruits secs connaissent en cette première semaine du Ramadhan, une déstabilisation en matière de prix, des hausses et des baisses de prix subites, selon la disponibilité des produits et selon les commerçants qui semblent être les seuls décideurs en la matière. Dans les marchés de la capitale, les raisin secs sont cédés entre 450 à 480 DA le kilogramme, les pruneaux de 320 à 380 DA le kilogramme. Tandis que les abricots secs, qui constituent l'un des l'ingrédients principaux du «l'ham l'ahlou», un plat incontournable sur la table algérienne durant le mois sacré, semblent avoir disparus du marché et les rares commerçants qui l'ont, le proposent à 1.400 DA le kilogramme. Un prix très exagéré dû, selon les commerçants «à la rareté de ce produit ces derniers jours». Une rareté qui n'est, selon eux, pourtant pas justifiée.