Pour se présenter à un concours, postuler à un poste d'emploi, s'inscrire à l'université ou extraire son passeport, le citoyen est confronté à un vrai casse-tête chinois qui envenime sa vie quotidiennement. Il s'agit bien sûr du lot important de pièces qu'il est tenu de présenter à chaque constitution de dossier et dont certaines exigences n'ont, au fait, aucun sens. Pour se présenter à un concours, postuler à un poste d'emploi, s'inscrire à l'université ou extraire son passeport, le citoyen est confronté à un vrai casse-tête chinois qui envenime sa vie quotidiennement. Il s'agit bien sûr du lot important de pièces qu'il est tenu de présenter à chaque constitution de dossier et dont certaines exigences n'ont, au fait, aucun sens. A titre d'exemple, exiger chaque année une attestation de chômage et de non- remariage à une vieille femme de plus de soixante-dix ans pour régulariser son dossier CNAS ou sa pension de chômage, ou exiger un gage par la banque à un jeune postulant à un microcrédit pour créer sa propre entreprise par le biais de l'ANSEJ ou la CNAC, ou pire encore, exiger quelques années d'expérience à un jeune diplômé demandeur d'emploi et à un enseignant qui postule à un poste supérieur des pièces justificatives déjà existantes dans ses dossiers administratifs à l'établissement et à la direction de l'éducation est, en réalité, de la pure bureaucratie. Sinon, comment une grande-mère qui n'a plus la force de faire quelques pas puisse-t-elle travailler ou se remarier ? Et comment un jeune universitaire chômeur puisse-t-il avoir un bien immobilier pour le gager ? Et sans travailler, comment un nouveau diplômé puisse-t-il acquérir de l'expérience ? Nous laisserons le soin aux concernés pour répondre à toutes ces interrogations. Actuellement, les pièces administratives les plus demandées sont le certificat de nationalité et l'extrait de naissance appelé AS12, sans oublier le dossier à fournir par les nécessiteux pour bénéficier des 3 mille DA. Chaque matin, des centaines de jeunes bacheliers, désireux de poursuivre leurs études supérieures, sont entassés devant le palais de justice pour extraire le fameux certificat de nationalité, un travail harassant pour les employés du tribunal obligés d'accomplir des heures supplémentaires pour satisfaire la forte demande, une demande qui vient alourdir celle des passeports biométriques. Or, une telle pièce pouvait être remplacée par une photocopie légalisée de la pièce d'identité ou la nationalité algérienne, à moins que la carte d'identité nationale ne soit pas un document officiel. Les guichets des sièges de l'état civil, de la CNAS ou de la CASNOS ne sont pas épargnés, les exigences de la rentrée scolaire, qui aura lieu dans qulques jours, obligent les parents à se bousculer aux guichets pour fournir les dossiers qui leurs permettent de bénéficier de la fameuse aide de 3 mille DA. Or, or il aurait suffit d'établir un fichier local, voire national, en se basant sur le premier dossier présenté par le demandeur au lieu de le refaire chaque année. Tant de tracasseries qui ne font que freiner le développement de notre pays. Il est temps alors que notre machine administrative soit graissée et mise au diapason de la mondialisation. Sinon, en quoi l'informatique et l'internet sont-ils utiles ? A titre d'exemple, exiger chaque année une attestation de chômage et de non- remariage à une vieille femme de plus de soixante-dix ans pour régulariser son dossier CNAS ou sa pension de chômage, ou exiger un gage par la banque à un jeune postulant à un microcrédit pour créer sa propre entreprise par le biais de l'ANSEJ ou la CNAC, ou pire encore, exiger quelques années d'expérience à un jeune diplômé demandeur d'emploi et à un enseignant qui postule à un poste supérieur des pièces justificatives déjà existantes dans ses dossiers administratifs à l'établissement et à la direction de l'éducation est, en réalité, de la pure bureaucratie. Sinon, comment une grande-mère qui n'a plus la force de faire quelques pas puisse-t-elle travailler ou se remarier ? Et comment un jeune universitaire chômeur puisse-t-il avoir un bien immobilier pour le gager ? Et sans travailler, comment un nouveau diplômé puisse-t-il acquérir de l'expérience ? Nous laisserons le soin aux concernés pour répondre à toutes ces interrogations. Actuellement, les pièces administratives les plus demandées sont le certificat de nationalité et l'extrait de naissance appelé AS12, sans oublier le dossier à fournir par les nécessiteux pour bénéficier des 3 mille DA. Chaque matin, des centaines de jeunes bacheliers, désireux de poursuivre leurs études supérieures, sont entassés devant le palais de justice pour extraire le fameux certificat de nationalité, un travail harassant pour les employés du tribunal obligés d'accomplir des heures supplémentaires pour satisfaire la forte demande, une demande qui vient alourdir celle des passeports biométriques. Or, une telle pièce pouvait être remplacée par une photocopie légalisée de la pièce d'identité ou la nationalité algérienne, à moins que la carte d'identité nationale ne soit pas un document officiel. Les guichets des sièges de l'état civil, de la CNAS ou de la CASNOS ne sont pas épargnés, les exigences de la rentrée scolaire, qui aura lieu dans qulques jours, obligent les parents à se bousculer aux guichets pour fournir les dossiers qui leurs permettent de bénéficier de la fameuse aide de 3 mille DA. Or, or il aurait suffit d'établir un fichier local, voire national, en se basant sur le premier dossier présenté par le demandeur au lieu de le refaire chaque année. Tant de tracasseries qui ne font que freiner le développement de notre pays. Il est temps alors que notre machine administrative soit graissée et mise au diapason de la mondialisation. Sinon, en quoi l'informatique et l'internet sont-ils utiles ?