Depuis l'introduction de l'acte de naissance S12, tous les services de l'état civil des 32 communes de Boumerdès, sont pratiquement pris d'assaut par des citoyens en quête de ce fameux document. Depuis l'introduction de l'acte de naissance S12, tous les services de l'état civil des 32 communes de Boumerdès, sont pratiquement pris d'assaut par des citoyens en quête de ce fameux document. L'état civil dans la wilaya de Boumerdès est quasiment submergé et ce à quelques jours de la rentrée scolaire annoncée pour le 13 septembre prochain. En effet, pour se faire délivrer un document, le citoyen trouve d'énormes difficultés. Depuis l'introduction de l'acte de naissance S12, tous les services de l'état civil des 32 communes de Boumerdès, sont pratiquement pris d'assaut par des citoyens en quête de ce fameux document. «C'est un parcours de combattant», «l'état civil n'est pas en mesure de répondre aux attentes de milliers de citoyens», «l'état civil semble plonger dans la léthargie», ce sont quelques propos tenus, çà et là, par des citoyens en colère. A l'état civil de l'APC de Bordj Menaïel, le citoyen lambda est contraint d'attendre des heures durant et des fois une journée entière pour se faire délivrer un simple document de l'état civil. Le hall réservé à l'état civil est plein de monde. Tous les guichets sont bondés de monde. Le rush commence dès les premières heures de la matinée voire même avant l'ouverture des guichets. Même en ces jours de ramadan, l'affluence des citoyens ne cesse de s'amplifier. De ce fait, des files interminables se forment journellement de citoyens de tous âges.Il décor est le même ainsi dans les en est de même dans les autres services de l'état civil de l'APC des autres communes. «C'est un véritable casse tête, c'est un calvaire de plus», déclare, sur un ton coléreux, un quinquagénaire. «Dans des circonstances pareilles, nous sommes contraints de revenir un autre jour pour se faire délivrer un acte de naissance N12», précise encore un autre citoyen. Au niveau de l'APC de Chabet El Ameur, c'est tout un autre calvaire. Les demandeurs de l'acte de naissance S12, font face à de multiples tracasseries pour se faire délivrer ce nouveau document utilisé pour les documents biométriques. En effet, les citoyens nés avant 1957, ne savent plus à quel saint se vouer. Ils voient leurs demandes refusées par les services de l'état civil en raison de l'absence de registre à leur niveau. Selon une source communale, l'enregistrement se faisait à l'époque à Lakhdaria, car Chabet El Ameur, était une contrée administrativement attachée à Lakhdaria. Le s registres des naissances d'avant 1957 se trouvent actuellement au niveau de l'état civil de la commune de Lakhdaria (Bouira), de ce fait, l'APC de Lakhdaria, est compétente, selon la réglementation en vigueur, pour délivrer le document S12. Par ailleurs, ce climat tendu, est imputé, selon des citoyens, à la mauvaise organisation qui prévaut au niveau des APC. Le manque des guichets et l'incivisme des citoyens sont pour autant sources d'asphyxies de l'état civil. Outre cela, l'incompétence dans l'interprétation des textes par certains agents de guichets est souvent sources de désagréments tant pour les préposés aux guichets que pour les citoyens. Tout le monde est en colère contre les responsables qui ne font rien pour améliorer un tant soit peu les conditions. De même, l'informatisation de l'état civil, qui tarde à venir, rend de plus en plus le quotidien amer. Pourtant, annoncée depuis plusieurs années par le gouvernement et ce à l'horizon 2013, le projet de l'informatisation semble être* tombé dans l'eau. L'état civil dans la wilaya de Boumerdès est quasiment submergé et ce à quelques jours de la rentrée scolaire annoncée pour le 13 septembre prochain. En effet, pour se faire délivrer un document, le citoyen trouve d'énormes difficultés. Depuis l'introduction de l'acte de naissance S12, tous les services de l'état civil des 32 communes de Boumerdès, sont pratiquement pris d'assaut par des citoyens en quête de ce fameux document. «C'est un parcours de combattant», «l'état civil n'est pas en mesure de répondre aux attentes de milliers de citoyens», «l'état civil semble plonger dans la léthargie», ce sont quelques propos tenus, çà et là, par des citoyens en colère. A l'état civil de l'APC de Bordj Menaïel, le citoyen lambda est contraint d'attendre des heures durant et des fois une journée entière pour se faire délivrer un simple document de l'état civil. Le hall réservé à l'état civil est plein de monde. Tous les guichets sont bondés de monde. Le rush commence dès les premières heures de la matinée voire même avant l'ouverture des guichets. Même en ces jours de ramadan, l'affluence des citoyens ne cesse de s'amplifier. De ce fait, des files interminables se forment journellement de citoyens de tous âges.Il décor est le même ainsi dans les en est de même dans les autres services de l'état civil de l'APC des autres communes. «C'est un véritable casse tête, c'est un calvaire de plus», déclare, sur un ton coléreux, un quinquagénaire. «Dans des circonstances pareilles, nous sommes contraints de revenir un autre jour pour se faire délivrer un acte de naissance N12», précise encore un autre citoyen. Au niveau de l'APC de Chabet El Ameur, c'est tout un autre calvaire. Les demandeurs de l'acte de naissance S12, font face à de multiples tracasseries pour se faire délivrer ce nouveau document utilisé pour les documents biométriques. En effet, les citoyens nés avant 1957, ne savent plus à quel saint se vouer. Ils voient leurs demandes refusées par les services de l'état civil en raison de l'absence de registre à leur niveau. Selon une source communale, l'enregistrement se faisait à l'époque à Lakhdaria, car Chabet El Ameur, était une contrée administrativement attachée à Lakhdaria. Le s registres des naissances d'avant 1957 se trouvent actuellement au niveau de l'état civil de la commune de Lakhdaria (Bouira), de ce fait, l'APC de Lakhdaria, est compétente, selon la réglementation en vigueur, pour délivrer le document S12. Par ailleurs, ce climat tendu, est imputé, selon des citoyens, à la mauvaise organisation qui prévaut au niveau des APC. Le manque des guichets et l'incivisme des citoyens sont pour autant sources d'asphyxies de l'état civil. Outre cela, l'incompétence dans l'interprétation des textes par certains agents de guichets est souvent sources de désagréments tant pour les préposés aux guichets que pour les citoyens. Tout le monde est en colère contre les responsables qui ne font rien pour améliorer un tant soit peu les conditions. De même, l'informatisation de l'état civil, qui tarde à venir, rend de plus en plus le quotidien amer. Pourtant, annoncée depuis plusieurs années par le gouvernement et ce à l'horizon 2013, le projet de l'informatisation semble être* tombé dans l'eau.