L'apport de l'entreprise GESI-BAT en tant que secteur public est des plus performants du fait des études et des réalisations de nombreux échangeurs de routes, d'extension et d'élargissement de routes nationales et de la construction d'ouvrages d'art à travers les wilayas d'Annaba, Skikda, Constantine, Souk-Ahras, M'Sila… L'apport de l'entreprise GESI-BAT en tant que secteur public est des plus performants du fait des études et des réalisations de nombreux échangeurs de routes, d'extension et d'élargissement de routes nationales et de la construction d'ouvrages d'art à travers les wilayas d'Annaba, Skikda, Constantine, Souk-Ahras, M'Sila… Le secteur public du bâtiment et du géni civil, qui était vu par le système comme étant un dossier brûlant durant la course folle des privatisations des années 90, entamées par le ministère des Privatisations, posait effectivement problème de par la complexité et l'absence de plans de charge. Les entreprises publiques du bâtiment étaient considérées comme un lourd fardeau à charge de l'Etat. Des entreprises ont été alors dissoutes et des ouvriers de toutes catégories ont été, par conséquent, mis au chômage. L'on se rappelle encore la défunte DNC-ANP, cette gigantesque entreprise de bâtiment qui employait à l'époque quelque 45 mille travailleurs éparpillés à travers tout le territoire national, et dont la restructuration avait amené à sa liquidation. Une situation de crise d'emploi s'est alors installée à tous les niveaux. S'ajoutent à cela les importants retards engendrés dans les différents programmes lancés par les autorités locales et sectorielles du fait de l'absence d'entreprises de gabarit répondant à l'offre. Heureusement que la démarche de privatisation avait épargné certaines d'entre elles qui disposaient d'un certain savoir-faire et d'une expérience solide, dont la portée prête à concurrence. Ces entreprises, nées du poil de la bête, sont aujourd'hui présentes sur le terrain et engagées dans la relève du défi que s'est assigné l'Algérie pour la réalisation du million de logements et des multiples ouvrages d'art et autres grandes réalisations de travaux publics et hydrauliques. Parmi ces entreprises, on note la présence sur terrain de l'une d'entre elles qui avait échappé de justesse à la privatisation et qui démontre, de par son vécu, la réussite et la force d'exister du secteur public. Une entreprise qui est issue de la restructuration de la défunte Geni-Sider, cette entreprise mère, elle-même née du grand pôle sidérurgique, appelé autrefois Société nationale de sidérurgie (SNS). La dernière visite du président de la République à Annaba témoigne de l'intérêt que porte M. Abdelaziz Bouteflika à l'épanouissement du secteur public. Ainsi, sa visite qui avait débuté par l'inspection de cet important ouvrage d'art avec des voies d'accès et la suppression d'un point noir pour la circulation routière au niveau de l'accès de l'aéroport Rabah-Bitat, réalisé par l'entreprise GESI-BAT d'Annaba (entreprise de géni civil industriel et bâtiment. C'est d'elle qu'il s'agit) au coût de 300 millions de dinars, l'ouvrage d'art de Boukhadra pour presque la même enveloppe, le dédoublement de la RN 16 et le programme AADL de la colline rose… avaient montré au président la capacité de l'entreprise publique à pouvoir rivaliser avec n'importe quelle technologie, pour peu que les moyens lui soient donnés. Contacté, le responsable de cette entreprise nous a fait part, avec un franc-parler qui lui sied aisément, des différentes stratégies de son entreprise et aussi de ses préoccupations. «Nous sommes présents en tout lieu par notre savoir-faire et nos moyens pour répondre à la demande des autorités locales en matière de réalisation de bâtiments et d'ouvrages d'art. Nous disposons d'une carte de visite assez riche en matière de réalisations et d'un plan de charge assez important. Nous sommes liés avec nos partenaires par un capital confiance», nous a dit notre interlocuteur, le Docteur. Cheïkh-Zouaoui Mostefa, Directeur général de GESI-BAT. «Notre entreprise est certifiée selon le référentiel ISO 9001 et œuvre pour une stratégie de développement de sa technologie de par la qualité du personnel dont elle dispose. Un personnel jeune et universitaire. Nous sommes soutenus dans notre démarche par notre hiérarchie qui ne lésine pas sur les moyens à mettre pour la réalisation de nos objectifs. Nous avons opéré pas mal d'investissements pour moderniser l'outil de production avec un impact très positif sur la qualité de nos multiples réalisations», nous a encore dit Dr Cheïkh-Aouaoui qui affirme que l'ère n'est plus au bricolage et la concurrence est vraiment rude entre professionnels du métier, mais… «ce qui parasite notre élan ce sont les intervenants déloyaux dans les soumissions des marchés. On se heurte le plus souvent à des soumissionnaires casseurs de prix au détriment de la qualité et des délais de réalisation», nous a-t-il encore fait savoir. Concernant le développement de la région, l'apport de l'entreprise GESI-BAT en tant que secteur public est des plus performants du fait des études et des réalisations de nombreux échangeurs de routes, d'extension et d'élargissement de routes nationales et de la construction d'ouvrages d'art à travers les wilayas d'Annaba, Skikda, Constantine, Souk-Ahras, M'Sila… «En matière de géni civil industriel, nos clients à Aïn Témouchent, Tiaret, Sétif, Jijel… témoignent de la robustesse de notre outil de réalisation», tenait à préciser le DG de cette entreprise qui ne cesse de vanter les prouesses du secteur public quant il est doté de la liberté d'action et l'autonomie de gestion. Pour ce qui est de la réussite de cette entreprise publique que nous voulons un exemple à suivre pour les autres, le secret réside, selon notre interlocuteur, dans la libération des énergies et la prise d'initiatives à tous les niveaux. «Notre entreprise, qui dispose d'un capital expérience très riche, s'est spécialisée dans les activités de géni civil industriel, les routes, les ouvrages d'art, l'hydraulique, les voiries et réseaux divers en plus du bâtiment pour lequel nous disposons d'un important programme en matière de promotion immobilière, de logements sociaux participatifs et des équipements sociaux éducatifs» a encore ajouté notre interlocuteur. Concernant la politique d'emploi, M. Abdelaziz Boudchiche, ce brillant collaborateur du DG, nous a dit que «l'entreprise qui était en 2005 à 600 travailleurs a vu son effectif presque tripler pour atteindre 1.600. Cet élan est dû certainement à la persévérance de toute une équipe responsable de la moindre évolution de l'entreprise qui se veut créatrice d'emplois». le Directeur général avait également mis l'accent sur l'aspect développement des ressources humaines. A cet effet, il se targue de faire profiter le maximum de travailleurs de formations spécialisées pour garantir la pérennité de l'entreprise et assurer par là, une continuité de la stratégie mise en place. Telle est donc la démarche d'une entreprise du secteur public qui table sur une évolution de ses moyens et d'une conquête assez large de l'espace technique afin de développer l'ensemble des créneaux qui lui sont dévolus. De son côté, le secrétaire général du syndicat d'entreprise affirme soutenir l'élan de développement engagé à tous les niveaux par les responsables concernés. Une stabilité est fortement remarquable au sein de l'entreprise que comité de participation et syndicat se mobilisent pour maintenir afin d'éviter toute sorte de conflits qui serait fatal pour la société. «C'est notre gagne-pain et nous n'avons pas le droit d'y porter atteinte», nous a-t-on fait savoir au sein de l'entreprise. Le secteur public du bâtiment et du géni civil, qui était vu par le système comme étant un dossier brûlant durant la course folle des privatisations des années 90, entamées par le ministère des Privatisations, posait effectivement problème de par la complexité et l'absence de plans de charge. Les entreprises publiques du bâtiment étaient considérées comme un lourd fardeau à charge de l'Etat. Des entreprises ont été alors dissoutes et des ouvriers de toutes catégories ont été, par conséquent, mis au chômage. L'on se rappelle encore la défunte DNC-ANP, cette gigantesque entreprise de bâtiment qui employait à l'époque quelque 45 mille travailleurs éparpillés à travers tout le territoire national, et dont la restructuration avait amené à sa liquidation. Une situation de crise d'emploi s'est alors installée à tous les niveaux. S'ajoutent à cela les importants retards engendrés dans les différents programmes lancés par les autorités locales et sectorielles du fait de l'absence d'entreprises de gabarit répondant à l'offre. Heureusement que la démarche de privatisation avait épargné certaines d'entre elles qui disposaient d'un certain savoir-faire et d'une expérience solide, dont la portée prête à concurrence. Ces entreprises, nées du poil de la bête, sont aujourd'hui présentes sur le terrain et engagées dans la relève du défi que s'est assigné l'Algérie pour la réalisation du million de logements et des multiples ouvrages d'art et autres grandes réalisations de travaux publics et hydrauliques. Parmi ces entreprises, on note la présence sur terrain de l'une d'entre elles qui avait échappé de justesse à la privatisation et qui démontre, de par son vécu, la réussite et la force d'exister du secteur public. Une entreprise qui est issue de la restructuration de la défunte Geni-Sider, cette entreprise mère, elle-même née du grand pôle sidérurgique, appelé autrefois Société nationale de sidérurgie (SNS). La dernière visite du président de la République à Annaba témoigne de l'intérêt que porte M. Abdelaziz Bouteflika à l'épanouissement du secteur public. Ainsi, sa visite qui avait débuté par l'inspection de cet important ouvrage d'art avec des voies d'accès et la suppression d'un point noir pour la circulation routière au niveau de l'accès de l'aéroport Rabah-Bitat, réalisé par l'entreprise GESI-BAT d'Annaba (entreprise de géni civil industriel et bâtiment. C'est d'elle qu'il s'agit) au coût de 300 millions de dinars, l'ouvrage d'art de Boukhadra pour presque la même enveloppe, le dédoublement de la RN 16 et le programme AADL de la colline rose… avaient montré au président la capacité de l'entreprise publique à pouvoir rivaliser avec n'importe quelle technologie, pour peu que les moyens lui soient donnés. Contacté, le responsable de cette entreprise nous a fait part, avec un franc-parler qui lui sied aisément, des différentes stratégies de son entreprise et aussi de ses préoccupations. «Nous sommes présents en tout lieu par notre savoir-faire et nos moyens pour répondre à la demande des autorités locales en matière de réalisation de bâtiments et d'ouvrages d'art. Nous disposons d'une carte de visite assez riche en matière de réalisations et d'un plan de charge assez important. Nous sommes liés avec nos partenaires par un capital confiance», nous a dit notre interlocuteur, le Docteur. Cheïkh-Zouaoui Mostefa, Directeur général de GESI-BAT. «Notre entreprise est certifiée selon le référentiel ISO 9001 et œuvre pour une stratégie de développement de sa technologie de par la qualité du personnel dont elle dispose. Un personnel jeune et universitaire. Nous sommes soutenus dans notre démarche par notre hiérarchie qui ne lésine pas sur les moyens à mettre pour la réalisation de nos objectifs. Nous avons opéré pas mal d'investissements pour moderniser l'outil de production avec un impact très positif sur la qualité de nos multiples réalisations», nous a encore dit Dr Cheïkh-Aouaoui qui affirme que l'ère n'est plus au bricolage et la concurrence est vraiment rude entre professionnels du métier, mais… «ce qui parasite notre élan ce sont les intervenants déloyaux dans les soumissions des marchés. On se heurte le plus souvent à des soumissionnaires casseurs de prix au détriment de la qualité et des délais de réalisation», nous a-t-il encore fait savoir. Concernant le développement de la région, l'apport de l'entreprise GESI-BAT en tant que secteur public est des plus performants du fait des études et des réalisations de nombreux échangeurs de routes, d'extension et d'élargissement de routes nationales et de la construction d'ouvrages d'art à travers les wilayas d'Annaba, Skikda, Constantine, Souk-Ahras, M'Sila… «En matière de géni civil industriel, nos clients à Aïn Témouchent, Tiaret, Sétif, Jijel… témoignent de la robustesse de notre outil de réalisation», tenait à préciser le DG de cette entreprise qui ne cesse de vanter les prouesses du secteur public quant il est doté de la liberté d'action et l'autonomie de gestion. Pour ce qui est de la réussite de cette entreprise publique que nous voulons un exemple à suivre pour les autres, le secret réside, selon notre interlocuteur, dans la libération des énergies et la prise d'initiatives à tous les niveaux. «Notre entreprise, qui dispose d'un capital expérience très riche, s'est spécialisée dans les activités de géni civil industriel, les routes, les ouvrages d'art, l'hydraulique, les voiries et réseaux divers en plus du bâtiment pour lequel nous disposons d'un important programme en matière de promotion immobilière, de logements sociaux participatifs et des équipements sociaux éducatifs» a encore ajouté notre interlocuteur. Concernant la politique d'emploi, M. Abdelaziz Boudchiche, ce brillant collaborateur du DG, nous a dit que «l'entreprise qui était en 2005 à 600 travailleurs a vu son effectif presque tripler pour atteindre 1.600. Cet élan est dû certainement à la persévérance de toute une équipe responsable de la moindre évolution de l'entreprise qui se veut créatrice d'emplois». le Directeur général avait également mis l'accent sur l'aspect développement des ressources humaines. A cet effet, il se targue de faire profiter le maximum de travailleurs de formations spécialisées pour garantir la pérennité de l'entreprise et assurer par là, une continuité de la stratégie mise en place. Telle est donc la démarche d'une entreprise du secteur public qui table sur une évolution de ses moyens et d'une conquête assez large de l'espace technique afin de développer l'ensemble des créneaux qui lui sont dévolus. De son côté, le secrétaire général du syndicat d'entreprise affirme soutenir l'élan de développement engagé à tous les niveaux par les responsables concernés. Une stabilité est fortement remarquable au sein de l'entreprise que comité de participation et syndicat se mobilisent pour maintenir afin d'éviter toute sorte de conflits qui serait fatal pour la société. «C'est notre gagne-pain et nous n'avons pas le droit d'y porter atteinte», nous a-t-on fait savoir au sein de l'entreprise.