Une monographie de la wilaya de Médéa vient d'être éditée par la direction du tourisme qui entend ainsi mettre en avant les multiples opportunités d'investissement qu'offre la région sur le plan touristique. Une monographie de la wilaya de Médéa vient d'être éditée par la direction du tourisme qui entend ainsi mettre en avant les multiples opportunités d'investissement qu'offre la région sur le plan touristique. L'ancienne capitale du Titteri, un condensé de plusieurs civilisations et cultures ayant vu le passage, tour à tour, des romains, des byzantins puis des ottomans, et l'occupation coloniale, est mise en exergue, à travers ce document, ainsi que les nombreux sites naturels restés à l'état sauvage et susceptibles d'être valorisés et exploités à bon escient. Il s'agit, entre autres, du massif forestier de Tamesguida, l'une des plus importantes réserves naturelles du parc national de Chréa, avec une diversité faunistique et floristique qui en constitue un véritable trésor naturel pour cette partie de l'Atlas Blidéen. Une richesse qu'on retrouve également à l'intérieur des monts boisés de "Fedj-El-haoudine", dans la daïra de Tablat, ou Boghar, à l'autre extrême partie de la wilaya, qui abritent une réserve non négligeable d'essences végétales rares. Les multiples sources thermales, aux vertus curatives avérées, font partie de ce potentiel sous exploité et que la direction du tourisme entend mettre en valeur, à la faveur de son plan promotionnel des activités touristiques dans la région. D'innombrables vestiges et sites historiques ou archéologiques, parmi lesquels l'ancienne résidence d'été de l'Emir Abdelkader, transformée depuis peu en musée des arts populaires, les ruines d'Achir, première capitale du Titteri, édifiée sous la dynastie Zerride, ou encore "Rapidum", "Uzinas", deux anciennes cités romaines situées respectivement à Djouab (Sud-est) et Saneg (Sud) sont autant d'atouts pour le développement d'un tourisme "cultuel". Les zones d'expansion touristique (ZET), au nombre de cinq, sont l'autre principal atout que la direction du tourisme compte concrétiser en arrivant à asseoir les bases d'une activité touristique rentable et durable. Ces ZET sont situées à Tamesguida, Tibhirine, Hammam Salihine, Ouled Antar et El-Haoudine et disposent d'un fort potentiel naturel capable d'intéresser d'éventuels investisseurs versés dans les nombreux créneaux qu'offre le secteur, est-il souligné dans ce document de 70 pages, illustré par des photos de l'ensemble des "trésors cachés" de la région. APS L'ancienne capitale du Titteri, un condensé de plusieurs civilisations et cultures ayant vu le passage, tour à tour, des romains, des byzantins puis des ottomans, et l'occupation coloniale, est mise en exergue, à travers ce document, ainsi que les nombreux sites naturels restés à l'état sauvage et susceptibles d'être valorisés et exploités à bon escient. Il s'agit, entre autres, du massif forestier de Tamesguida, l'une des plus importantes réserves naturelles du parc national de Chréa, avec une diversité faunistique et floristique qui en constitue un véritable trésor naturel pour cette partie de l'Atlas Blidéen. Une richesse qu'on retrouve également à l'intérieur des monts boisés de "Fedj-El-haoudine", dans la daïra de Tablat, ou Boghar, à l'autre extrême partie de la wilaya, qui abritent une réserve non négligeable d'essences végétales rares. Les multiples sources thermales, aux vertus curatives avérées, font partie de ce potentiel sous exploité et que la direction du tourisme entend mettre en valeur, à la faveur de son plan promotionnel des activités touristiques dans la région. D'innombrables vestiges et sites historiques ou archéologiques, parmi lesquels l'ancienne résidence d'été de l'Emir Abdelkader, transformée depuis peu en musée des arts populaires, les ruines d'Achir, première capitale du Titteri, édifiée sous la dynastie Zerride, ou encore "Rapidum", "Uzinas", deux anciennes cités romaines situées respectivement à Djouab (Sud-est) et Saneg (Sud) sont autant d'atouts pour le développement d'un tourisme "cultuel". Les zones d'expansion touristique (ZET), au nombre de cinq, sont l'autre principal atout que la direction du tourisme compte concrétiser en arrivant à asseoir les bases d'une activité touristique rentable et durable. Ces ZET sont situées à Tamesguida, Tibhirine, Hammam Salihine, Ouled Antar et El-Haoudine et disposent d'un fort potentiel naturel capable d'intéresser d'éventuels investisseurs versés dans les nombreux créneaux qu'offre le secteur, est-il souligné dans ce document de 70 pages, illustré par des photos de l'ensemble des "trésors cachés" de la région. APS