Alors que la rentrée sociale commence déjà à pointer du nez, une petite rétrospective permet de constater que l'été cette année a été d'un caractère très particulier. D'abord absorbé, dans sa majeure partie, par le mois sacré de ramadhan, il est ensuite dépourvu de loisirs et de détente estivale et marqué par une activité réduite quasiment dans tous les domaines de la vie nationale. Sur le plan officiel, les ministres, à quelques exceptions près, ont pris leurs congés plutôt que d'habitude et certains d'entre eux n'ont pas encore repris du service. Il faut dire également que le mois de ramadhan, survenu cette année au beau milieu de la saison estivale, a chamboulé totalement la donne. Les vacances se sont estompées à la fin juillet. Les travailleurs qui ont pris leurs congés ont dû l'écourter et reprendre aussitôt leurs postes , calendrier estival oblige. Idem pour les partis politiques. C'est pratiquement l'immobilisme. Hormis le Front de libération nationale et le Mouvement de la société pour la paix, les autres formations politiques nationales se sont abstenues cette année d'organiser leurs universités d'été, autrefois sacrée. Ni le RND, ni le FFS ou encore le RCD, Nahdha et le Mouvement Islah n'ont daigné organiser les leurs. Si le FLN et le MSP se sont déplacés dans l'ouest du pays, dans les wilayas de Mostaganem et Tlemcen, où ils ont organisé leurs universités, les autres formations se sont contentées de simples conférences ou rencontres, à l'instar du mouvement Islah. C'est dire l'immobilisme qui a sévi sur la scène nationale durant l'été qui consomme ses dernières volontés. Concernant l'activité de l'Exécutif, force est de constater qu'elle s'est arrêtée depuis le dernier remaniement ministériel, soit le 28 mai dernier. Et depuis, rares étaient les ministres qui ont investi le terrain. L'activité présidentielle elle a repris avec ces traditionnelles auditions ramadanesques, suivies, il y a peu, d'un Conseil des ministres, qui s'est soldé par la signature de la Loi de Finances complémentaire 2010, ainsi que quatre autres ordonnances. C'est justement cette réunion du président qui a rompu le long congé de certains ministres. Les activités culturelles ne sont pas en reste, puisque des initiatives timides ont été constatées durant cet été, n'étaient-ce les activités avec l'avènement du mois sacré du ramadan. Il est de même pour les activités sportives qui ont marqué une longue trêve cet été. La fin de la Coupe du Monde en Afrique du Sud a marqué la fin de la majorité des compétitions. Même la reprise du championnat professionnel de football cette année a été renvoyée jusqu'au 23 septembre prochain. C'est dire que l'été qui tire à sa fin aura chômé en événements, et la tendance générale était plutôt à la paresse marquant un vide cette année. Alors que la rentrée sociale commence déjà à pointer du nez, une petite rétrospective permet de constater que l'été cette année a été d'un caractère très particulier. D'abord absorbé, dans sa majeure partie, par le mois sacré de ramadhan, il est ensuite dépourvu de loisirs et de détente estivale et marqué par une activité réduite quasiment dans tous les domaines de la vie nationale. Sur le plan officiel, les ministres, à quelques exceptions près, ont pris leurs congés plutôt que d'habitude et certains d'entre eux n'ont pas encore repris du service. Il faut dire également que le mois de ramadhan, survenu cette année au beau milieu de la saison estivale, a chamboulé totalement la donne. Les vacances se sont estompées à la fin juillet. Les travailleurs qui ont pris leurs congés ont dû l'écourter et reprendre aussitôt leurs postes , calendrier estival oblige. Idem pour les partis politiques. C'est pratiquement l'immobilisme. Hormis le Front de libération nationale et le Mouvement de la société pour la paix, les autres formations politiques nationales se sont abstenues cette année d'organiser leurs universités d'été, autrefois sacrée. Ni le RND, ni le FFS ou encore le RCD, Nahdha et le Mouvement Islah n'ont daigné organiser les leurs. Si le FLN et le MSP se sont déplacés dans l'ouest du pays, dans les wilayas de Mostaganem et Tlemcen, où ils ont organisé leurs universités, les autres formations se sont contentées de simples conférences ou rencontres, à l'instar du mouvement Islah. C'est dire l'immobilisme qui a sévi sur la scène nationale durant l'été qui consomme ses dernières volontés. Concernant l'activité de l'Exécutif, force est de constater qu'elle s'est arrêtée depuis le dernier remaniement ministériel, soit le 28 mai dernier. Et depuis, rares étaient les ministres qui ont investi le terrain. L'activité présidentielle elle a repris avec ces traditionnelles auditions ramadanesques, suivies, il y a peu, d'un Conseil des ministres, qui s'est soldé par la signature de la Loi de Finances complémentaire 2010, ainsi que quatre autres ordonnances. C'est justement cette réunion du président qui a rompu le long congé de certains ministres. Les activités culturelles ne sont pas en reste, puisque des initiatives timides ont été constatées durant cet été, n'étaient-ce les activités avec l'avènement du mois sacré du ramadan. Il est de même pour les activités sportives qui ont marqué une longue trêve cet été. La fin de la Coupe du Monde en Afrique du Sud a marqué la fin de la majorité des compétitions. Même la reprise du championnat professionnel de football cette année a été renvoyée jusqu'au 23 septembre prochain. C'est dire que l'été qui tire à sa fin aura chômé en événements, et la tendance générale était plutôt à la paresse marquant un vide cette année.