La septième édition du prix international d'Algérie du Saint Coran s'est ouvert, hier, à Dar El Imam à Alger sous l'égide du ministre des Affaires religieuses et des wakf M. Bouabdallah Ghlamallah. La septième édition du prix international d'Algérie du Saint Coran s'est ouvert, hier, à Dar El Imam à Alger sous l'égide du ministre des Affaires religieuses et des wakf M. Bouabdallah Ghlamallah. Le ministre a indiqué, dans son allocution d'ouverture, que 43 pays ont confirmé la participation de leurs candidats à ce concours, affirmant que « le but n'est pas tant de gagner, mais de rassembler les jeunes pour qu'ils fassent connaissance avec comme point commun le Saint Coran". La nouveauté cette année, a-t-il poursuivi, est la participation de deux jeunes filles l'une d'Algérie et l'autre de la République arabe d'Egypte. Les trois premiers recevront des sommes d''argent évaluées à 1 million DA, 800 mille DA et 600 mille DA. Le concours sera encadré par un jury international, composé de cinq membres, Mortada Sadat Fatimi, de la République islamique d'Iran, Mohamed Makhzoum Houkouma de la Djamahirya arabe libyenne, Dr Amer Larabi de l'université de Batna, Dr Kamal Kada de l'Université d'El Oued , le Pr Mohamed Cheikh du ministère des Aaffaires religieuses et des Wakfs. Pour M. Ghlamallah, cette édition verra la participation de pays qui n'avaient pas participé à la précédente, en l'occurrence la Russie et le Burundi, soulignant que trois pays prennent part à cet évènement avec des candidats de moins de 15 ans à savoir le Bengladesh, le Pakistan et l'Egypte. Le concours se déroulera dans la journée durant une semaine jusqu'au 26 du mois de Ramadhan. Des séances du soir seront organisées qui débuteront après les prières des Taraouih, a-t-il dit, saluant les concurrents qui ne parlent pas l'arabe "mais que Dieu a prédisposés à l'assimilation du Livre, à la récitation et à la compréhension de Ses Saintes Paroles et même à répondre aux questions spécifiques du Livre". Parallèlement à ce concours, 15 enfants d'Algérie dont l'âge ne dépasse pas 15 ans participeront au Concours national d'encouragement des jeunes récitants du Saint Coran. En marge de cet évènement, la galerie de Dar El Imam abritera une exposition sur la calligraphie arabe qui traduit "l'intérêt des musulmans contemporains pour le Coran", et ce, avec la collaboration du Centre culturel islamique d'Alger et des représentants du département culturel d'Iran, a encore déclaré le ministre. Le concours sera sanctionné par une cérémonie à l'occasion de Leilat El Kadr (La nuit du destin). L'ouverture des travaux auxquels ont pris part des responsables du gouvernement et des membres du corps diplomatique islamique, accrédité en Algérie, a été marquée par une communication présentée par Dr Kamal Youcef intitulée "Le Coran et la science" dans laquelle il a mis en relief la nécessité de s'inspirer du Livre sacré pour acquérir la force, l'esprit d'émulation et de recherche et la quête de la connaissance. Le ministre a indiqué, dans son allocution d'ouverture, que 43 pays ont confirmé la participation de leurs candidats à ce concours, affirmant que « le but n'est pas tant de gagner, mais de rassembler les jeunes pour qu'ils fassent connaissance avec comme point commun le Saint Coran". La nouveauté cette année, a-t-il poursuivi, est la participation de deux jeunes filles l'une d'Algérie et l'autre de la République arabe d'Egypte. Les trois premiers recevront des sommes d''argent évaluées à 1 million DA, 800 mille DA et 600 mille DA. Le concours sera encadré par un jury international, composé de cinq membres, Mortada Sadat Fatimi, de la République islamique d'Iran, Mohamed Makhzoum Houkouma de la Djamahirya arabe libyenne, Dr Amer Larabi de l'université de Batna, Dr Kamal Kada de l'Université d'El Oued , le Pr Mohamed Cheikh du ministère des Aaffaires religieuses et des Wakfs. Pour M. Ghlamallah, cette édition verra la participation de pays qui n'avaient pas participé à la précédente, en l'occurrence la Russie et le Burundi, soulignant que trois pays prennent part à cet évènement avec des candidats de moins de 15 ans à savoir le Bengladesh, le Pakistan et l'Egypte. Le concours se déroulera dans la journée durant une semaine jusqu'au 26 du mois de Ramadhan. Des séances du soir seront organisées qui débuteront après les prières des Taraouih, a-t-il dit, saluant les concurrents qui ne parlent pas l'arabe "mais que Dieu a prédisposés à l'assimilation du Livre, à la récitation et à la compréhension de Ses Saintes Paroles et même à répondre aux questions spécifiques du Livre". Parallèlement à ce concours, 15 enfants d'Algérie dont l'âge ne dépasse pas 15 ans participeront au Concours national d'encouragement des jeunes récitants du Saint Coran. En marge de cet évènement, la galerie de Dar El Imam abritera une exposition sur la calligraphie arabe qui traduit "l'intérêt des musulmans contemporains pour le Coran", et ce, avec la collaboration du Centre culturel islamique d'Alger et des représentants du département culturel d'Iran, a encore déclaré le ministre. Le concours sera sanctionné par une cérémonie à l'occasion de Leilat El Kadr (La nuit du destin). L'ouverture des travaux auxquels ont pris part des responsables du gouvernement et des membres du corps diplomatique islamique, accrédité en Algérie, a été marquée par une communication présentée par Dr Kamal Youcef intitulée "Le Coran et la science" dans laquelle il a mis en relief la nécessité de s'inspirer du Livre sacré pour acquérir la force, l'esprit d'émulation et de recherche et la quête de la connaissance.