Le renouvellement des bureaux des kasmas a enregistré d'importants retards dans plusieurs mouhafadha. Et c'est sans doute pour faire le point que le secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem, a convoqué une réunion des mouhafadhs qui se tiendra dans la soirée de samedi prochain. Le renouvellement des bureaux des kasmas a enregistré d'importants retards dans plusieurs mouhafadha. Et c'est sans doute pour faire le point que le secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem, a convoqué une réunion des mouhafadhs qui se tiendra dans la soirée de samedi prochain. Le FLN sera-t-il au rendez vous avec l'opération de renouvellement des structures ? Rien n'est moins sûr car cette opération, engagée à partir du 1er juin et devant s'achever le 31 octobre semble piétiner. Le renouvellement des bureaux des kasmas a enregistré d'importants retards dans plusieurs mouhafadha. Et c'est sans doute pour faire le point sur cette opération, après trois mois de son lancement, que le secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem, a convoqué une réunion des mouhafadhs qui se tiendra dans la soirée de samedi prochain au siège du parti à Hydra. « Cette réunion, qui coïncide avec la rentrée sociale, sera en partie consacrée à l'examen de la situation politique globale du pays où il sera question du pan quinquennal 2010/2014, déjà débattu lors de l'université d'été organisée au début du mois d'août à Mostaganem, mais la principale question à l'ordre du jour a trait à l'opération de renouvellement des structures » a indiqué Kassa Aissi, membre du bureau politique chargé de l'information. Notre interlocuteur, joint hier par téléphone, a reconnu que si dans certaines mouhafadha l'opération se déroule dans de bonnes conditions puisqu'elle a été achevée dans sa première phase, ce n'est pas le cas dans d'autres où elle piétine encore. Ce membre du bureau politique, qui n'a pas voulu préciser le nombre exact de mouhafadha où l'opération n'a même pas démarré, a toutefois cité, à titre d'exemple, Bouira, Tizi-Ouzou et Msila. Selon des informations rapportées par la presse nationale presque plus d'une dizaine de mouhafadha sont concernées par ces retards relatifs au renouvellement des bureaux de kasma. Car ce n'est qu'après le renouvellement des bureaux de kasmas, qui constitue la première phase, que sera entamée la seconde phase qui permettra le renouvellement du bureau de la mouhafadha. Kassa Aissi a aussi indiqué que dans d'autres mouhafadha, à l'image de Tamanrasset, Biskra, Tipasa ou Batna, plus de la moitié des kasmas ont renouvelé leurs bureaux. Souvent depuis le début de l'opération des militants et cadres locaux ont pris position contre les «superviseurs» désignés par le secrétaire général obligeant ce dernier à procéder à de constants changements. Ces superviseurs, qui sont suspectés par la majorité des militants d'avoir des affinités avec quelques parties locales, sont très souvent des membres du comité central du parti. Abdelaziz Belkhadem est souvent interpellé par un abondant courrier lui demandant d'intervenir en vue de débloquer des situations pour le moins inextricables. Selon Kassa Aissi ces difficultés sont d'abord dues à l'attitude de ceux qui sont à la commande et de ceux qui veulent y accéder. « Ceux qui sont au sommet des structures veulent y rester et ceux qui n'y sont pas veulent y accéder. Tous les moyens sont bons pour parvenir à ces fins » a affirmé ce membre du bureau politique. Il estimé par ailleurs que tout ce monde s'inscrit dans la perspective des élections législatives et locales de 2012. Il fait donc référence à cette guerre de positions tant tout militant aspire à être dans les meilleures loges en perspective des élections à venir. En d'autres termes occuper une bonne place dans les structures locales peut ouvrir les portes de la députation en 2012. Cependant Kassa Aissi admet aussi que ces difficultés viennent aussi du fait que « le fonctionnement normal des structures a été sérieusement altéré lors des années précédentes et la crise qu'a connue le parti, ce qui a engendré l'affaiblissement des mécanismes de contrôle et de suivi ». Il est peut-être vrai que cette situation de confusion et de crise a favorisé la mainmise de certains mouhafadhs sur les structures du parti, ce qui les amène, lors des opérations de renouvellement des structures, à placer leurs fidèles dans l'espoir de bénéficier de leur soutien à l'occasion du renouvellement des bureaux de mouhafadhs. Ce sont ainsi ces difficultés qui seront abordées lors de la réunion de samedi et Belkhadem devra certainement «sermonner» ces cadres pour qu'ils aillent de l'avant en privilégiant les pratiques démocratiques et transparentes. Le FLN sera-t-il au rendez vous avec l'opération de renouvellement des structures ? Rien n'est moins sûr car cette opération, engagée à partir du 1er juin et devant s'achever le 31 octobre semble piétiner. Le renouvellement des bureaux des kasmas a enregistré d'importants retards dans plusieurs mouhafadha. Et c'est sans doute pour faire le point sur cette opération, après trois mois de son lancement, que le secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem, a convoqué une réunion des mouhafadhs qui se tiendra dans la soirée de samedi prochain au siège du parti à Hydra. « Cette réunion, qui coïncide avec la rentrée sociale, sera en partie consacrée à l'examen de la situation politique globale du pays où il sera question du pan quinquennal 2010/2014, déjà débattu lors de l'université d'été organisée au début du mois d'août à Mostaganem, mais la principale question à l'ordre du jour a trait à l'opération de renouvellement des structures » a indiqué Kassa Aissi, membre du bureau politique chargé de l'information. Notre interlocuteur, joint hier par téléphone, a reconnu que si dans certaines mouhafadha l'opération se déroule dans de bonnes conditions puisqu'elle a été achevée dans sa première phase, ce n'est pas le cas dans d'autres où elle piétine encore. Ce membre du bureau politique, qui n'a pas voulu préciser le nombre exact de mouhafadha où l'opération n'a même pas démarré, a toutefois cité, à titre d'exemple, Bouira, Tizi-Ouzou et Msila. Selon des informations rapportées par la presse nationale presque plus d'une dizaine de mouhafadha sont concernées par ces retards relatifs au renouvellement des bureaux de kasma. Car ce n'est qu'après le renouvellement des bureaux de kasmas, qui constitue la première phase, que sera entamée la seconde phase qui permettra le renouvellement du bureau de la mouhafadha. Kassa Aissi a aussi indiqué que dans d'autres mouhafadha, à l'image de Tamanrasset, Biskra, Tipasa ou Batna, plus de la moitié des kasmas ont renouvelé leurs bureaux. Souvent depuis le début de l'opération des militants et cadres locaux ont pris position contre les «superviseurs» désignés par le secrétaire général obligeant ce dernier à procéder à de constants changements. Ces superviseurs, qui sont suspectés par la majorité des militants d'avoir des affinités avec quelques parties locales, sont très souvent des membres du comité central du parti. Abdelaziz Belkhadem est souvent interpellé par un abondant courrier lui demandant d'intervenir en vue de débloquer des situations pour le moins inextricables. Selon Kassa Aissi ces difficultés sont d'abord dues à l'attitude de ceux qui sont à la commande et de ceux qui veulent y accéder. « Ceux qui sont au sommet des structures veulent y rester et ceux qui n'y sont pas veulent y accéder. Tous les moyens sont bons pour parvenir à ces fins » a affirmé ce membre du bureau politique. Il estimé par ailleurs que tout ce monde s'inscrit dans la perspective des élections législatives et locales de 2012. Il fait donc référence à cette guerre de positions tant tout militant aspire à être dans les meilleures loges en perspective des élections à venir. En d'autres termes occuper une bonne place dans les structures locales peut ouvrir les portes de la députation en 2012. Cependant Kassa Aissi admet aussi que ces difficultés viennent aussi du fait que « le fonctionnement normal des structures a été sérieusement altéré lors des années précédentes et la crise qu'a connue le parti, ce qui a engendré l'affaiblissement des mécanismes de contrôle et de suivi ». Il est peut-être vrai que cette situation de confusion et de crise a favorisé la mainmise de certains mouhafadhs sur les structures du parti, ce qui les amène, lors des opérations de renouvellement des structures, à placer leurs fidèles dans l'espoir de bénéficier de leur soutien à l'occasion du renouvellement des bureaux de mouhafadhs. Ce sont ainsi ces difficultés qui seront abordées lors de la réunion de samedi et Belkhadem devra certainement «sermonner» ces cadres pour qu'ils aillent de l'avant en privilégiant les pratiques démocratiques et transparentes.