Le village Zaknoun est un village pauvre en ressources agricoles comme il en existe beaucoup en Kabylie, mais qui a su survivre à travers des siècles et des siècles en adoptant un rythme de vie qui s'approprie à ces spécifités. Les habitants de ce village qui comptait déjà 1.200 habitants en 1868, se sont reonvertis en commerçants, soit en vendant leur produits artisanaux dans les autres villages de Kabylie ou en émigrant dans d'autres régions d'Algérie où ils ont fini par faire fortune grâce à leur esprit de lucre. Le village Zaknoun est un village pauvre en ressources agricoles comme il en existe beaucoup en Kabylie, mais qui a su survivre à travers des siècles et des siècles en adoptant un rythme de vie qui s'approprie à ces spécifités. Les habitants de ce village qui comptait déjà 1.200 habitants en 1868, se sont reonvertis en commerçants, soit en vendant leur produits artisanaux dans les autres villages de Kabylie ou en émigrant dans d'autres régions d'Algérie où ils ont fini par faire fortune grâce à leur esprit de lucre. Zaknoun est ce village dense coté d'Ait Abbas, Zahlun, Bouabderrahmane, Tikidount, Tikichourt, Ait Sidi Atmane, Tiguemounine, Zoubga qui composent la commune de Ouacifs. Il trône majestueusement sur les hauteurs du Djurdjura à plus de 900 m d'altitude. Ce village est formé de cinq grands quartiers : At-Abdallah, Adrah, Takaroucht, At Majber et Taddart. Il est entouré par le village Tikichourt, le ruisseau Asif at-ali, le village Ait-Sidi-Atmane et le chef-lieu de la commune (Larbaa). Il surplombe les d'Aith Bouadrar et Ighil Bwammas, et la vue depuis ce village s'étend jusqu'aux I Ath Yenni. Surpeuplé, il ne compte pas moins de 15 000 habitants pour une unique et seule école primaire et une salle de prière. La seule mosquée qui existait a été convertie en poulier par un citoyen du village puis abandonnée par la suite. Ce village est jadis connu par ses sources d'eau, on raconte qu'il y en avait cinq des plus prolifique en eau potable, mais il n'en reste aujourd'hui que trois en bon état: Le3wansar, Tala Aissi et Tala Imedran. Les habitants de Zaknoun, faute de terre propice à l'activité agricole se sont spécialisés dans le commerce. Ils se sont installés depuis l'aire coloniale dans différentes villes et régions d'Algérie notamment l'ouest Algérien : Oran, Tiaret, Chleff… Comme il existe encore dans ce village un artisanat traditionnel spécifique à cette région, il s'agit de la fabrication du tamis, un ustensile essentiel pour rouler le couscous ainsi que la fabrication des cardes pour le tissage des tapis de la laine. Les femmes de Zaknoun sont également d'habiles tisseuse et le nom du village est associé à un type de burnous appelé Avernous Azaknoun qui arrive jusqu'au genou et qui permet une marche plus aisée. Les produits artisanaux de Zaknoun sont ensuite vendus par les hommes de Zaknoun à travers tous les villages de la Kabylie. Il y a à Zaknoun, une Zaouïa, la seule de la daïra de Ouacifs, dont le Saint patron est Cheikh Arezki Nath Ouandlous. Dans Zaknoun, des histoires relevant du domaine du mythe sont souvent relaté à propos de ce saint d'origine noir (Akli) qui dit-on a accompli des miracles! Ce village est aussi le village du célèbre chanteur chaâbi, El Hasnaoui Amechtouh, de son vrai nom Madjid Aït Rahmane, du chanteur Athmani et du célébre cinéaste Belkacem hadjadj. Zaknoun est ce village dense coté d'Ait Abbas, Zahlun, Bouabderrahmane, Tikidount, Tikichourt, Ait Sidi Atmane, Tiguemounine, Zoubga qui composent la commune de Ouacifs. Il trône majestueusement sur les hauteurs du Djurdjura à plus de 900 m d'altitude. Ce village est formé de cinq grands quartiers : At-Abdallah, Adrah, Takaroucht, At Majber et Taddart. Il est entouré par le village Tikichourt, le ruisseau Asif at-ali, le village Ait-Sidi-Atmane et le chef-lieu de la commune (Larbaa). Il surplombe les d'Aith Bouadrar et Ighil Bwammas, et la vue depuis ce village s'étend jusqu'aux I Ath Yenni. Surpeuplé, il ne compte pas moins de 15 000 habitants pour une unique et seule école primaire et une salle de prière. La seule mosquée qui existait a été convertie en poulier par un citoyen du village puis abandonnée par la suite. Ce village est jadis connu par ses sources d'eau, on raconte qu'il y en avait cinq des plus prolifique en eau potable, mais il n'en reste aujourd'hui que trois en bon état: Le3wansar, Tala Aissi et Tala Imedran. Les habitants de Zaknoun, faute de terre propice à l'activité agricole se sont spécialisés dans le commerce. Ils se sont installés depuis l'aire coloniale dans différentes villes et régions d'Algérie notamment l'ouest Algérien : Oran, Tiaret, Chleff… Comme il existe encore dans ce village un artisanat traditionnel spécifique à cette région, il s'agit de la fabrication du tamis, un ustensile essentiel pour rouler le couscous ainsi que la fabrication des cardes pour le tissage des tapis de la laine. Les femmes de Zaknoun sont également d'habiles tisseuse et le nom du village est associé à un type de burnous appelé Avernous Azaknoun qui arrive jusqu'au genou et qui permet une marche plus aisée. Les produits artisanaux de Zaknoun sont ensuite vendus par les hommes de Zaknoun à travers tous les villages de la Kabylie. Il y a à Zaknoun, une Zaouïa, la seule de la daïra de Ouacifs, dont le Saint patron est Cheikh Arezki Nath Ouandlous. Dans Zaknoun, des histoires relevant du domaine du mythe sont souvent relaté à propos de ce saint d'origine noir (Akli) qui dit-on a accompli des miracles! Ce village est aussi le village du célèbre chanteur chaâbi, El Hasnaoui Amechtouh, de son vrai nom Madjid Aït Rahmane, du chanteur Athmani et du célébre cinéaste Belkacem hadjadj.