Dans tous les secteurs économiques, la sous- traitance est devenue une partie intégrante de la vie des entreprises, tant publiques que privées, à l'image de l'industrie pharmaceutique qui q décidé récemment de se doter d'un système de sous- traitance afin de réduire la facture d'importation des médicaments et produire en Algérie. Dans tous les secteurs économiques, la sous- traitance est devenue une partie intégrante de la vie des entreprises, tant publiques que privées, à l'image de l'industrie pharmaceutique qui q décidé récemment de se doter d'un système de sous- traitance afin de réduire la facture d'importation des médicaments et produire en Algérie. Ainsi, un large débat a suscité l'attention de l'Union nationale des opérateurs de la pharmacie (Unop) pour mener à bien la politique de sous-trainance dans ce domaine sensible de la santé publique. L'instruction du Premier ministre Ahmed Ouyahia va dans ce sens en invitant les entreprises à opter pour la préférence nationale. En effet, il insiste sur la nécessité de limiter le recours aux bureaux d'études étrangers pour la préparation des dossiers inhérents aux marchés publics. Car, le recours aux expertises étrangères coûte cher. L'assistance liée à la sous-traitance internationale se traduit par une enveloppe financière de l'ordre de 4 à 11 milliards de dollars à payer par l'Algérie, alors que des industriels de la sous-traitance en Algérie cherchent un partenariat local. Les opérations de sous-traitance en Algérie avec des entreprises et des firmes étrangères dans les années passées, notamment au cours de la période où l'économie nationale était administrée et dirigée, ont nécessité quelque 500 milliards de dollars, sachant qu'à cette époque les usines clés en main étaient dépendantes et la maintenance était assurée par des consultants et techniciens étrangers payés en devises, sans oublier l'approvisionnement onéreux en pièces de rechange des complexes industriels, tels la SNVI, El Hadjar (sidérurgie)… L'entreprise nationale des hydrocarbures Sonatrach a également choisi, actuellement , de se pourvoir d'un système de sous-traitance, notamment dans le domaine de l'automatisme et de la gestion électronique des sites de production nécessitant des technologies avancées et des process de production modernes et rentables. Le président du Conseil national de la petite et moyenne entreprise (CNPME), Zaim Bensaci, nous a déclaré que «le marché national de la sous traitance pourrait dépasser les 3, 5 milliards de dollars tout en se fixant comme objectif essentiel de développer les potentialités importantes dans divers secteurs d'activité, tels que l'énergie, la pétrochimie, l'industrie mécanique, la métallurgie et l'agroalimentaire». Toutefois, en l'absence d'une règlementation et d'un ordonnancement de l'activité et d'une vision claire, ainsi que d'une stratégie, la sous-traitance ne connaît pas une évolution rapide en Algérie, selon les experts sachant que rares sont les entreprises nationales qui sous-traitent localement certaines de leurs activités. Avec la nouvelle donne de la préférence nationale, la majeure partie des entreprises qui se confient aux entreprises étrangères, vont s'intravertir dans la mesure où le savoir- faire existe en Algérie pour bien valoriser les compétences nationales qui ne cherchent que des contrats de coopération. Ainsi, un large débat a suscité l'attention de l'Union nationale des opérateurs de la pharmacie (Unop) pour mener à bien la politique de sous-trainance dans ce domaine sensible de la santé publique. L'instruction du Premier ministre Ahmed Ouyahia va dans ce sens en invitant les entreprises à opter pour la préférence nationale. En effet, il insiste sur la nécessité de limiter le recours aux bureaux d'études étrangers pour la préparation des dossiers inhérents aux marchés publics. Car, le recours aux expertises étrangères coûte cher. L'assistance liée à la sous-traitance internationale se traduit par une enveloppe financière de l'ordre de 4 à 11 milliards de dollars à payer par l'Algérie, alors que des industriels de la sous-traitance en Algérie cherchent un partenariat local. Les opérations de sous-traitance en Algérie avec des entreprises et des firmes étrangères dans les années passées, notamment au cours de la période où l'économie nationale était administrée et dirigée, ont nécessité quelque 500 milliards de dollars, sachant qu'à cette époque les usines clés en main étaient dépendantes et la maintenance était assurée par des consultants et techniciens étrangers payés en devises, sans oublier l'approvisionnement onéreux en pièces de rechange des complexes industriels, tels la SNVI, El Hadjar (sidérurgie)… L'entreprise nationale des hydrocarbures Sonatrach a également choisi, actuellement , de se pourvoir d'un système de sous-traitance, notamment dans le domaine de l'automatisme et de la gestion électronique des sites de production nécessitant des technologies avancées et des process de production modernes et rentables. Le président du Conseil national de la petite et moyenne entreprise (CNPME), Zaim Bensaci, nous a déclaré que «le marché national de la sous traitance pourrait dépasser les 3, 5 milliards de dollars tout en se fixant comme objectif essentiel de développer les potentialités importantes dans divers secteurs d'activité, tels que l'énergie, la pétrochimie, l'industrie mécanique, la métallurgie et l'agroalimentaire». Toutefois, en l'absence d'une règlementation et d'un ordonnancement de l'activité et d'une vision claire, ainsi que d'une stratégie, la sous-traitance ne connaît pas une évolution rapide en Algérie, selon les experts sachant que rares sont les entreprises nationales qui sous-traitent localement certaines de leurs activités. Avec la nouvelle donne de la préférence nationale, la majeure partie des entreprises qui se confient aux entreprises étrangères, vont s'intravertir dans la mesure où le savoir- faire existe en Algérie pour bien valoriser les compétences nationales qui ne cherchent que des contrats de coopération.