Les industriels et les investisseurs étrangers porteurs de projets de développement économique destinés aux pays émergents ont une préférence pour les territoires et les nations dans lesquels l'investissement local est déjà en vogue et connaissant une évolution. Les industriels et les investisseurs étrangers porteurs de projets de développement économique destinés aux pays émergents ont une préférence pour les territoires et les nations dans lesquels l'investissement local est déjà en vogue et connaissant une évolution. En effet, selon une étude macroéconomique approfondie et un travail de recherche réalisé par le Fonds méditerranéen des instituts de sciences économiques (Femise), en collaboration avec le Centre algérien de recherche en économie appliquée au développement (Cread), les pays en voie de développement ne sont susceptibles d'attitrer les investissements directs étrangers que s'ils sont dotés d'institutions spécialisées en mesure de fonctionner convenablement et loin de toute entrave bureaucratique, afin de gagner la confiance des investisseurs étrangers. Les chercheurs du Cread, du Femise, de la faculté des sciences économiques et de gestion El-Manar de Tunis, de l'université Paris XII Dauphine, du Centre d'économie de paris-Nord et du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam de Paris) insistent sur la modernisation des institutions en charge de la promotion des investissements pour favoriser l'émergence d'un climat d'affaires propice aux investissements massifs, aussi bien domestiques qu'étrangers. Ils estiment dans une étude qui sera rendue publique que « dans les pays sud-méditerranéens, l'investissement demeure faible et les IDE tardent à venir» et soutiennent que «l'articulation entre les IDE avec l'investissement privé national est indispensable ». En fait, en s'appuyant sur un modèle économétrique touchant 68 pays émergents et en développement, le Femise et ses partenaires de recherche affirment que «la dynamique de l'investissement intérieur provoque un effet d'entraînement significatif et particulièrement robuste sur les IDE et ce, au même titre que le risque pays et le stock d'IDE existant ». Autrement dit, les investisseurs étrangers donnent la primauté à un environnement identique à celui prévalant dans la règlementation des investissements locaux et là, les chercheurs indiquent que « les pays offrant des perspectives de croissance et de profit viables et suffisantes sont mieux placés pour recevoir les IDE ». Mettant en évidence la souplesse de l'administration et l'influence positive des facteurs institutionnels, les chercheurs recommandent la stratégie de dynamisation et de stimulation de l'investissement national, notamment privé, jugé relativement faible dans les pays de la rive sud de la Méditerranée. En matière d'investissement, certains pays avancés et industrialisés, tels que les Etats-Unis d'Amérique, accordent des facilités déconcertantes aux détenteurs de projets d'investissement en leur octroyant, notamment, des opportunités d'investissement dépourvues de tout obstacle bureaucratique. Car, selon le Femise, un bon fonctionnement institutionnel caractérisé par la qualité de ses agents est générateur d'investissements internes, par conséquent, engendrant de la croissance et de la stabilité économique. Pour les experts qui ont décortiqué le cas de l'Algérie, « la rente pétrolière pénalise le pays dans la croissance, notamment par la lenteur et le retard résultant des réformes institutionnelles et le climat d'affaires qui requiert plus de transparence ». L'étude précise, par ailleurs, « qu'un pays dont l'économie est gérée suivant la bonne gouvernance et sans gâchis financier, et en même temps extraverti et internationalement ouvert à l'économie mondiale et ayant un système bancaire et financier moderne, est bien placé pour augmenter l'afflux des investissements nationaux et, par voie de conséquence, les IDE ». En effet, selon une étude macroéconomique approfondie et un travail de recherche réalisé par le Fonds méditerranéen des instituts de sciences économiques (Femise), en collaboration avec le Centre algérien de recherche en économie appliquée au développement (Cread), les pays en voie de développement ne sont susceptibles d'attitrer les investissements directs étrangers que s'ils sont dotés d'institutions spécialisées en mesure de fonctionner convenablement et loin de toute entrave bureaucratique, afin de gagner la confiance des investisseurs étrangers. Les chercheurs du Cread, du Femise, de la faculté des sciences économiques et de gestion El-Manar de Tunis, de l'université Paris XII Dauphine, du Centre d'économie de paris-Nord et du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam de Paris) insistent sur la modernisation des institutions en charge de la promotion des investissements pour favoriser l'émergence d'un climat d'affaires propice aux investissements massifs, aussi bien domestiques qu'étrangers. Ils estiment dans une étude qui sera rendue publique que « dans les pays sud-méditerranéens, l'investissement demeure faible et les IDE tardent à venir» et soutiennent que «l'articulation entre les IDE avec l'investissement privé national est indispensable ». En fait, en s'appuyant sur un modèle économétrique touchant 68 pays émergents et en développement, le Femise et ses partenaires de recherche affirment que «la dynamique de l'investissement intérieur provoque un effet d'entraînement significatif et particulièrement robuste sur les IDE et ce, au même titre que le risque pays et le stock d'IDE existant ». Autrement dit, les investisseurs étrangers donnent la primauté à un environnement identique à celui prévalant dans la règlementation des investissements locaux et là, les chercheurs indiquent que « les pays offrant des perspectives de croissance et de profit viables et suffisantes sont mieux placés pour recevoir les IDE ». Mettant en évidence la souplesse de l'administration et l'influence positive des facteurs institutionnels, les chercheurs recommandent la stratégie de dynamisation et de stimulation de l'investissement national, notamment privé, jugé relativement faible dans les pays de la rive sud de la Méditerranée. En matière d'investissement, certains pays avancés et industrialisés, tels que les Etats-Unis d'Amérique, accordent des facilités déconcertantes aux détenteurs de projets d'investissement en leur octroyant, notamment, des opportunités d'investissement dépourvues de tout obstacle bureaucratique. Car, selon le Femise, un bon fonctionnement institutionnel caractérisé par la qualité de ses agents est générateur d'investissements internes, par conséquent, engendrant de la croissance et de la stabilité économique. Pour les experts qui ont décortiqué le cas de l'Algérie, « la rente pétrolière pénalise le pays dans la croissance, notamment par la lenteur et le retard résultant des réformes institutionnelles et le climat d'affaires qui requiert plus de transparence ». L'étude précise, par ailleurs, « qu'un pays dont l'économie est gérée suivant la bonne gouvernance et sans gâchis financier, et en même temps extraverti et internationalement ouvert à l'économie mondiale et ayant un système bancaire et financier moderne, est bien placé pour augmenter l'afflux des investissements nationaux et, par voie de conséquence, les IDE ».