Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, a énergiquement déploré les pannes répétitives que touchent les équipements médicaux des centres hospitaliers du pays. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, a énergiquement déploré les pannes répétitives que touchent les équipements médicaux des centres hospitaliers du pays. Les chiffres hospitaliers indiquent, à cet effet, que pas moins de 73 mille équipements médicaux, dont 10 mille de qualité élevée demeurent non utilisés, tandis que plus de 5 mille équipements sont constamment en panne. Une situation, selon Ould Abbès qui ne cadre pas avec les objectifs de performance, tracés par son secteur. «Dorénavant, l'acquisition de nouveaux équipements sera soumise à un contrôle et à un suivi rigoureux », a-t-il martelé, lors d'une visite de travail, effectuée hier dans la wilaya de Annaba. Les appareils de soins sont constamment en panne dans les hôpitaux, une perturbation qui affecte énormément les malades déjà souffrants et affaiblis psychiquement. Pour faire face à cette situation, le ministre a annoncé que le gouvernement a pris des mesures pour faire face à la rareté de certains médicaments sensibles. En outre, l'Etat a réservé un budget important, a-t-il poursuivi, pour lutter contre la pénurie de produits pharmaceutiques. Dans ce même contexte, le même responsable a précisé que les établissements hospitaliers publics sont « normalement » approvisionnés en produits pharmaceutiques courants. D'autre part, et au cours de sa tournée dans la wilaya de l'Est, le premier responsable de la Santé s'est rendu à l'hôpital d'El Hadjar, qui vient d'être baptisé du nom du chahid le docteur Benaouda Benzerdjeb, premier médecin tombé au champ d'honneur durant la glorieuse Révolution, dans le Nord constantinois en 1956. Cet établissement de 120 lits, opérationnel depuis cette année, dispose d'un service de chirurgie équipé de matériels modernes. Le ministre a instruit le personnel quant à la maintenance et à l'entretien de ces acquis précieux pour les patients. Au centre hospitalo-universitaire (CHU) Ibn Rochd, au chef-lieu de wilaya, Ould Abbès a visité une nouvelle unité d'imagerie médicale, ainsi que le projet du Centre régional anti-cancer, en cours de construction sur le même site. Ce projet, d'un coût de 3 milliards de dinars, devant être réceptionné au cours du premier trimestre 2011, dispose de 150 lits et de quatre structures de prise en charge, dont une unité de médecine nucléaire et une unité de rayons X. Par ailleurs, le ministre a toujours insisté sur la rationalisation de la gestion des hôpitaux, devenue une nécessité pour valoriser les acquis du secteur de la santé. Il a estimé qu'aujourd'hui, il est demandé au secteur de remplir les conditions de performance dans la gestion et d'améliorer la qualité du service et des prestations fournies aux citoyens, étant donné que la santé dispose d'un soutien financier remarquable, dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014, avec 280 milliards de dinars. A. B. Les chiffres hospitaliers indiquent, à cet effet, que pas moins de 73 mille équipements médicaux, dont 10 mille de qualité élevée demeurent non utilisés, tandis que plus de 5 mille équipements sont constamment en panne. Une situation, selon Ould Abbès qui ne cadre pas avec les objectifs de performance, tracés par son secteur. «Dorénavant, l'acquisition de nouveaux équipements sera soumise à un contrôle et à un suivi rigoureux », a-t-il martelé, lors d'une visite de travail, effectuée hier dans la wilaya de Annaba. Les appareils de soins sont constamment en panne dans les hôpitaux, une perturbation qui affecte énormément les malades déjà souffrants et affaiblis psychiquement. Pour faire face à cette situation, le ministre a annoncé que le gouvernement a pris des mesures pour faire face à la rareté de certains médicaments sensibles. En outre, l'Etat a réservé un budget important, a-t-il poursuivi, pour lutter contre la pénurie de produits pharmaceutiques. Dans ce même contexte, le même responsable a précisé que les établissements hospitaliers publics sont « normalement » approvisionnés en produits pharmaceutiques courants. D'autre part, et au cours de sa tournée dans la wilaya de l'Est, le premier responsable de la Santé s'est rendu à l'hôpital d'El Hadjar, qui vient d'être baptisé du nom du chahid le docteur Benaouda Benzerdjeb, premier médecin tombé au champ d'honneur durant la glorieuse Révolution, dans le Nord constantinois en 1956. Cet établissement de 120 lits, opérationnel depuis cette année, dispose d'un service de chirurgie équipé de matériels modernes. Le ministre a instruit le personnel quant à la maintenance et à l'entretien de ces acquis précieux pour les patients. Au centre hospitalo-universitaire (CHU) Ibn Rochd, au chef-lieu de wilaya, Ould Abbès a visité une nouvelle unité d'imagerie médicale, ainsi que le projet du Centre régional anti-cancer, en cours de construction sur le même site. Ce projet, d'un coût de 3 milliards de dinars, devant être réceptionné au cours du premier trimestre 2011, dispose de 150 lits et de quatre structures de prise en charge, dont une unité de médecine nucléaire et une unité de rayons X. Par ailleurs, le ministre a toujours insisté sur la rationalisation de la gestion des hôpitaux, devenue une nécessité pour valoriser les acquis du secteur de la santé. Il a estimé qu'aujourd'hui, il est demandé au secteur de remplir les conditions de performance dans la gestion et d'améliorer la qualité du service et des prestations fournies aux citoyens, étant donné que la santé dispose d'un soutien financier remarquable, dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014, avec 280 milliards de dinars. A. B.