L'antenne centrale, en plus de la gestion de la demande, locale gère également une demande extra-muros émanant des wilayas limitrophes à cause des naissances enregistrées au niveau des hôpitaux du chef lieu de wilaya". L'antenne centrale, en plus de la gestion de la demande, locale gère également une demande extra-muros émanant des wilayas limitrophes à cause des naissances enregistrées au niveau des hôpitaux du chef lieu de wilaya". "Près de 600.000 demandeurs de fiches d'état civil, c'est énorme, traiter une telle demande dans des conditions difficiles vu le manque criard de moyens et de personnels ce n'est pas une simple sinécure mais nous tenons le coup avec les moyens de bord et une grande discipline dans le travail, nous n'avons pas de toute manière le choix. C'est notre boulot et on doit le faire. En toute bonne foi et correctement surtout pour éviter tout problème inutile, qui se transforme en charges supplémentaires pour nos agents…»résume le chef de service de l'antenne centrale de la mairie d'Annaba, assaillie chaque jour par des dizaines de centaines de personnes en quête de divers documents administratifs. « La demande et surtout focalisée sur les fameux actes de naissance numéro 12, exigée par, pratiquement toutes les administrations (bancaires, civiles, fiscales…) même les établissements scolaires l'exigent…» renchérit un autre agent au niveau de l'antenne centrale. Soumis à rude épreuve quotidiennement, le personnel travaille les nerfs à fleur de peau dans des locaux exigus où règne une ambiance morte et suffocante. « Nous subissons un calvaire quotidien avec une pression qui dure depuis le début de l'été, la demande va paradoxalement en augmentant. C'est que l'antenne centrale, en plus de la gestion de la demande, locale gère également une demande extra-muros émanant des wilayas limitrophes à cause des naissances enregistrées au niveau des hôpitaux du chef lieu de wilaya » déplorent nombre d'agent à bout et excédés par des comportements souvent agressifs des citoyens mal élevés… côté demandeurs, c'est le ras-le-bol avec ces longues attentes devant, les guichets. Certains demandeurs pointent dès 5h du matin, pour avoir une place par la population confrontée au sempiternel problème de transport en commun de la commune. D'autres, par contre, ont trouvé dans cette grande anarchie, un moyen pour se faire de l'argent en monnayant leur place pour 2000 ou 3000 DA souvent. «C'est tout simplement démentiel». Toute cette situation qui est tout de même révélatrice « s'indigne un ingénieur qui n'a obtenu le fameux 5/2 qu'au bout de 2 jours. R. M. "Près de 600.000 demandeurs de fiches d'état civil, c'est énorme, traiter une telle demande dans des conditions difficiles vu le manque criard de moyens et de personnels ce n'est pas une simple sinécure mais nous tenons le coup avec les moyens de bord et une grande discipline dans le travail, nous n'avons pas de toute manière le choix. C'est notre boulot et on doit le faire. En toute bonne foi et correctement surtout pour éviter tout problème inutile, qui se transforme en charges supplémentaires pour nos agents…»résume le chef de service de l'antenne centrale de la mairie d'Annaba, assaillie chaque jour par des dizaines de centaines de personnes en quête de divers documents administratifs. « La demande et surtout focalisée sur les fameux actes de naissance numéro 12, exigée par, pratiquement toutes les administrations (bancaires, civiles, fiscales…) même les établissements scolaires l'exigent…» renchérit un autre agent au niveau de l'antenne centrale. Soumis à rude épreuve quotidiennement, le personnel travaille les nerfs à fleur de peau dans des locaux exigus où règne une ambiance morte et suffocante. « Nous subissons un calvaire quotidien avec une pression qui dure depuis le début de l'été, la demande va paradoxalement en augmentant. C'est que l'antenne centrale, en plus de la gestion de la demande, locale gère également une demande extra-muros émanant des wilayas limitrophes à cause des naissances enregistrées au niveau des hôpitaux du chef lieu de wilaya » déplorent nombre d'agent à bout et excédés par des comportements souvent agressifs des citoyens mal élevés… côté demandeurs, c'est le ras-le-bol avec ces longues attentes devant, les guichets. Certains demandeurs pointent dès 5h du matin, pour avoir une place par la population confrontée au sempiternel problème de transport en commun de la commune. D'autres, par contre, ont trouvé dans cette grande anarchie, un moyen pour se faire de l'argent en monnayant leur place pour 2000 ou 3000 DA souvent. «C'est tout simplement démentiel». Toute cette situation qui est tout de même révélatrice « s'indigne un ingénieur qui n'a obtenu le fameux 5/2 qu'au bout de 2 jours. R. M.