La rentrée scolaire demeure toujours un moment particulier, aussi bien pour les élèves que pour les familles. Des milliers d'enfants, jeunes et moins jeunes, ont repris hier matin les chemins de l'école, après de longues semaines de vacances. Vêtus exceptionnellement de leurs beaux habits de l'Aïid, les élèves étaient autorisés en ce premier jour de classe de se passer du tablier scolaire, tandis que le cartable a été remplacé par un stylo et un cahier, histoire de prendre note du nouvel emploi du temps des matières et autres listes des affaires scolaires à fournir. A proximité des écoles de la capitale, l'ambiance était joyeuse aux environs de 8h du matin. Visages souriants, les garçons et filles étaient tous contents de retrouver les vieux copains. Des clans se sont vite formés et les discussions se sont enchaînées. En revanche, du coté des écoles primaires, l'atmosphère était un peu tendue. Les nouveaux inscrits en première année primaire affichaient des signes d'inquiétude. Accompagnés de leurs mamans, la séparation était dure pour certains bambins. Il y a lieu de souligner que ce premier jour a consisté en la prise de contact entre les élèves et leurs professeurs. D'autre part, nous avons constaté que la couleur du tablier ne semble plus faire l'actualité. C'est donc sous de bons auspices que les parents ont accueilli ce nouveau dispositif, soulignant que le plus important est d'assurer la meilleure scolarité pour leurs enfants. Une fois la cloche de 11h retentie, les écoles ont déversé tout ce beau monde, créant un florilège de couleurs avec leurs vêtements neufs. « Ce premier jour s'est bien passé. Nous avons fait connaissance avec nos nouveaux professeurs et camarades de classes. L'ambiance est agréable, j'espère que ça durera », a confié une jeune collégienne, en quatrième année moyenne, approchée à proximité du CEM Pasteur à Alger-Centre. Or, une seule préoccupation a été exprimée par l'ensemble des élèves des lycées et collèges, notamment ceux des classes d'examens. Cela concerne les menaces de grèves lancées d'ores et déjà, par les syndicats autonomes. Chose qui n'este pas passé inaperçue pour les élèves. Ces derniers redoutent fort les répercussions négatives de ces mouvements de protestation et autres perturbations sur le cours de l'année scolaire, comme ce fut le cas l'année précédente. « Tout ce que nous souhaitons, c'est un année calme et stable. Nous en avons marre de payer les pots cassés du conflit entre nos enseignants et leur tutelle », a déclaré un lycéen, appelé à passer son baccalauréat cette année. Pour rappel, plusieurs mouvements de grève ont eu lieu l'année précédente. Des mois entiers sans cours ont accusé un retard dans les programmes pédagogiques, particulièrement, pour les classes d'examen du bac et Bem. Cette situation complexe a contraint les élèves à sortir dans les rues, exprimant leur désarroi auprès des pouvoirs publics. « S'il vous plait, on ne veut pas de grève cette année, laissez-nous étudier en toute tranquillité », a lancé un groupe de lycéens. Une chose est sûre, il faut attendre la tenue des conseils nationaux des syndicats, prévu à la fin de ce mois, pour éventuellement connaître la nature de la protestation des enseignants. La rentrée scolaire demeure toujours un moment particulier, aussi bien pour les élèves que pour les familles. Des milliers d'enfants, jeunes et moins jeunes, ont repris hier matin les chemins de l'école, après de longues semaines de vacances. Vêtus exceptionnellement de leurs beaux habits de l'Aïid, les élèves étaient autorisés en ce premier jour de classe de se passer du tablier scolaire, tandis que le cartable a été remplacé par un stylo et un cahier, histoire de prendre note du nouvel emploi du temps des matières et autres listes des affaires scolaires à fournir. A proximité des écoles de la capitale, l'ambiance était joyeuse aux environs de 8h du matin. Visages souriants, les garçons et filles étaient tous contents de retrouver les vieux copains. Des clans se sont vite formés et les discussions se sont enchaînées. En revanche, du coté des écoles primaires, l'atmosphère était un peu tendue. Les nouveaux inscrits en première année primaire affichaient des signes d'inquiétude. Accompagnés de leurs mamans, la séparation était dure pour certains bambins. Il y a lieu de souligner que ce premier jour a consisté en la prise de contact entre les élèves et leurs professeurs. D'autre part, nous avons constaté que la couleur du tablier ne semble plus faire l'actualité. C'est donc sous de bons auspices que les parents ont accueilli ce nouveau dispositif, soulignant que le plus important est d'assurer la meilleure scolarité pour leurs enfants. Une fois la cloche de 11h retentie, les écoles ont déversé tout ce beau monde, créant un florilège de couleurs avec leurs vêtements neufs. « Ce premier jour s'est bien passé. Nous avons fait connaissance avec nos nouveaux professeurs et camarades de classes. L'ambiance est agréable, j'espère que ça durera », a confié une jeune collégienne, en quatrième année moyenne, approchée à proximité du CEM Pasteur à Alger-Centre. Or, une seule préoccupation a été exprimée par l'ensemble des élèves des lycées et collèges, notamment ceux des classes d'examens. Cela concerne les menaces de grèves lancées d'ores et déjà, par les syndicats autonomes. Chose qui n'este pas passé inaperçue pour les élèves. Ces derniers redoutent fort les répercussions négatives de ces mouvements de protestation et autres perturbations sur le cours de l'année scolaire, comme ce fut le cas l'année précédente. « Tout ce que nous souhaitons, c'est un année calme et stable. Nous en avons marre de payer les pots cassés du conflit entre nos enseignants et leur tutelle », a déclaré un lycéen, appelé à passer son baccalauréat cette année. Pour rappel, plusieurs mouvements de grève ont eu lieu l'année précédente. Des mois entiers sans cours ont accusé un retard dans les programmes pédagogiques, particulièrement, pour les classes d'examen du bac et Bem. Cette situation complexe a contraint les élèves à sortir dans les rues, exprimant leur désarroi auprès des pouvoirs publics. « S'il vous plait, on ne veut pas de grève cette année, laissez-nous étudier en toute tranquillité », a lancé un groupe de lycéens. Une chose est sûre, il faut attendre la tenue des conseils nationaux des syndicats, prévu à la fin de ce mois, pour éventuellement connaître la nature de la protestation des enseignants.