La rentrée des classes est synonyme de casse-tête pour les parents. Alors qu'elle a eu lieu officiellement hier sur l'ensemble du territoire et comme à chaque année, à la même période, les parents ayant des enfants scolarisés dans les différents paliers de l'éducation sont confrontés à une lourde facture induite par les divers achats obligatoires des fournitures scolaires. Cette année encore, les familles auront eu à supporter la facture salée du mois de Ramadan, de l'Aïd El Fitr mais aussi celle des achats relatifs à la rentrée, notamment les cahiers, les cartables, les livres, les vêtements, les blouses etc. Il n'en fallait pas moins pour donner le tournis aux ménages algériens. Il suffit seulement de faire un tour dans les différentes librairies généralistes ou ailleurs dans les boutiques spécialisées en papeterie, pour que les familles se rendent compte combien leur pouvoir d'achat est affaibli. Certes les caisse des libraires sont bien pleines, mais le porte monnaie de la clientèle, lui, se rétrécit comme peau de chagrin. D'ailleurs, ils sont nombreux à se plaindre du coût des différentes fournitures scolaires que les parents sont obligés de supporter. A cela s'ajoute donc le poids du cartable, que les enfants subissent, une fois celui-ci chargé. Une situation face à laquelle les parents ne peuvent déroger. N'ayant guère le choix, les familles n'ont pas d'autre alternative que de se plier et accepter bon gré mal gré d'acheter à n'importe quel prix. « Je n'ai pas le choix face à l'entêtement des mes deux enfants je suis dans l'obligation de leur acheter les fournitures, il est claire que ma facture sera salée». Et un autre d'ajouter « j'ai trois enfants, dont un au lycée, je vous assure que mon porte-monnaie en prend un sacré coup ». Les magasins sont pris d'assaut depuis plusieurs jours. Ils sont nombreux à se dépêcher, principalement les retardataires, pour acheter le nécessaire vu que la rentrée s'est effectuée hier. La majorité des fournitures affichent des prix beaucoup trop élevés. Les cahiers de 64, 48 et 96 pages, pour ne citer que ceux là, coûtent entre 35, 30 et 45 DA. Alors que sur le marché de gros, les cahiers de 96 pages sont cédés à 26 Da. L'année dernière, les prix de ces mêmes cahiers de 96, 120, 192 et 288 pages étaient respectivement de 16, 21, 45, 74 DA. Les cahiers grand format de 192 pages, utilisés en principal lieu, dans le secondaire, sont cédés à 170 Da, dans un magasin spécialisé en fournitures scolaires. Les cahiers de 192 et 120 pages sont monnayés à 98 et 50 DA, alors que l'année passée, ils valaient, respectivement 60 et 35 DA. De quoi mettre les parents dans tous leurs états. La hausse considérable de ces fournitures, pourtant nécessaire voire obligatoire, est justifiée par le cours du papier sur le marché international ces derniers temps. « Nous ne pouvons pas faire autrement vu que les prix de bases ne sont pas de notre ressort », explique le propriétaire d'une papeterie à Alger centre. Un autre justifie l'augmentation de ses prix, notamment ceux relatifs aux articles scolaires, à l'instar des stylos, des règles, des gommes et autres, par les prix à la hausse pratiqués par le marché de gros. La rentrée des classes est synonyme de casse-tête pour les parents. Alors qu'elle a eu lieu officiellement hier sur l'ensemble du territoire et comme à chaque année, à la même période, les parents ayant des enfants scolarisés dans les différents paliers de l'éducation sont confrontés à une lourde facture induite par les divers achats obligatoires des fournitures scolaires. Cette année encore, les familles auront eu à supporter la facture salée du mois de Ramadan, de l'Aïd El Fitr mais aussi celle des achats relatifs à la rentrée, notamment les cahiers, les cartables, les livres, les vêtements, les blouses etc. Il n'en fallait pas moins pour donner le tournis aux ménages algériens. Il suffit seulement de faire un tour dans les différentes librairies généralistes ou ailleurs dans les boutiques spécialisées en papeterie, pour que les familles se rendent compte combien leur pouvoir d'achat est affaibli. Certes les caisse des libraires sont bien pleines, mais le porte monnaie de la clientèle, lui, se rétrécit comme peau de chagrin. D'ailleurs, ils sont nombreux à se plaindre du coût des différentes fournitures scolaires que les parents sont obligés de supporter. A cela s'ajoute donc le poids du cartable, que les enfants subissent, une fois celui-ci chargé. Une situation face à laquelle les parents ne peuvent déroger. N'ayant guère le choix, les familles n'ont pas d'autre alternative que de se plier et accepter bon gré mal gré d'acheter à n'importe quel prix. « Je n'ai pas le choix face à l'entêtement des mes deux enfants je suis dans l'obligation de leur acheter les fournitures, il est claire que ma facture sera salée». Et un autre d'ajouter « j'ai trois enfants, dont un au lycée, je vous assure que mon porte-monnaie en prend un sacré coup ». Les magasins sont pris d'assaut depuis plusieurs jours. Ils sont nombreux à se dépêcher, principalement les retardataires, pour acheter le nécessaire vu que la rentrée s'est effectuée hier. La majorité des fournitures affichent des prix beaucoup trop élevés. Les cahiers de 64, 48 et 96 pages, pour ne citer que ceux là, coûtent entre 35, 30 et 45 DA. Alors que sur le marché de gros, les cahiers de 96 pages sont cédés à 26 Da. L'année dernière, les prix de ces mêmes cahiers de 96, 120, 192 et 288 pages étaient respectivement de 16, 21, 45, 74 DA. Les cahiers grand format de 192 pages, utilisés en principal lieu, dans le secondaire, sont cédés à 170 Da, dans un magasin spécialisé en fournitures scolaires. Les cahiers de 192 et 120 pages sont monnayés à 98 et 50 DA, alors que l'année passée, ils valaient, respectivement 60 et 35 DA. De quoi mettre les parents dans tous leurs états. La hausse considérable de ces fournitures, pourtant nécessaire voire obligatoire, est justifiée par le cours du papier sur le marché international ces derniers temps. « Nous ne pouvons pas faire autrement vu que les prix de bases ne sont pas de notre ressort », explique le propriétaire d'une papeterie à Alger centre. Un autre justifie l'augmentation de ses prix, notamment ceux relatifs aux articles scolaires, à l'instar des stylos, des règles, des gommes et autres, par les prix à la hausse pratiqués par le marché de gros.