Katja Hessel a insisté sur la nécessité de la transparence dans les appels d'offres publics concernant les grands projets d'infrastructures susceptibles d'intéresser les investisseurs allemands. A propos du projet des énergies renouvelables «Desertec», elle a affirmé qu'elle a mentionné le sujet avec le secrétaire général du ministère de l'Energie et des Mines et « j'ai l'impression que l'engagement du SG du ministère n'est pas au même niveau que celui apporté par l'économie bavaroise à ce système. Notre position, est par conséquent, claire en attendant des évolutions dans le futur » affirme-t-elle. Concernant les dossiers des gaz industriels, l'entreprise allemande Linde n'a pas été abordée lors de ses discussions avec les responsables du ministère de l'Energie et des Mines, car selon l'oratrice, l'idée provient du ministère de la Santé publique et de la Population. Cependant, la présidente de Linde, estime pour sa part, que « l'affaire date de l'année 2009 et les Gaz Industriels ont un chiffre d'affaires de 2% sur des contrats anciens datant de plusieurs années. Mais, Linde remplit les conditions de contrats et honore toutes ses obligations, notamment pour ce qui est des usines d'épuration d'air dans la région d'Alger avec un investissement de 120 millions d'euros ». « Linde est le plus grand investisseur en Algérie avec un montant de 200 millions d'euros tout en envisageant toujours de développer le marché algérien et local » a-t-elle précisé. Comme l'a préconisé la Chancelière Angela Merkel, Hessel a exhorté les différents responsables chargés de la coopération et du commerce extérieur d'agir dans le sens de l'assouplissement des procédures de partenariat. Elle a notamment parlé « des conséquences négatives pour les investisseurs en Algérie pour les opérations de commerce extérieur tout en précisant que les entreprises allemandes déjà actives en Algérie veulent toujours y investir et nouer un partenariat avec des entreprises algériennes ». Elle ajoute que « la loi de finances complémentaire 2010 est réticente pour faire entrer des entreprises allemandes en Algérie. Il s'agit d'une question de mentalité, les entreprises allemandes sont réticentes et désirent un cadre fiable et transparent et ne cherche pas la formule ‘on va s'arranger'». Hessel dira aussi « qu'il est difficile, cependant, de qualifier le climat des affaires en Algérie et l'Etat algérien a le droit de défendre son économie à travers des lois, néanmoins, les entreprises allemandes et les PME bavaroises ont des difficultés et cela ne leur facilite pas la tâche ». La ministre de l'Economie de la Bavière estime et précise que « la loi de finances complémentaire 2010 ne facilite pas les investissements des PME ‘familiales' bavaroises en Algérie » car ajoute-t-elle, « les entreprises bavaroises n'ont pas d'autorité sur l'argent pour investir en Algérie sur la base de 51% pour le partenaire algérien et 49 % pour la partie allemande ».Selon elle, c'est un grand problème pour les PME bavaroises. Hessel dira que « les PME allemandes sont des propriétés familiales finançant les offres par le crédit. Si elles investissent dans des marchés étrangers et lointains, elles ont des réticences et des équivoques, en tout cas c'est l'avis de la majorité des investisseurs». Elle insiste sur l'orientation des 51% en déclarant que « c'est un problème pour les entreprises allemandes et l'Union européenne également ; car c'est une entrave pour les investissements privés et des risques pour les PME concernant la réalisation des profits potentiels ». A. A. Katja Hessel a insisté sur la nécessité de la transparence dans les appels d'offres publics concernant les grands projets d'infrastructures susceptibles d'intéresser les investisseurs allemands. A propos du projet des énergies renouvelables «Desertec», elle a affirmé qu'elle a mentionné le sujet avec le secrétaire général du ministère de l'Energie et des Mines et « j'ai l'impression que l'engagement du SG du ministère n'est pas au même niveau que celui apporté par l'économie bavaroise à ce système. Notre position, est par conséquent, claire en attendant des évolutions dans le futur » affirme-t-elle. Concernant les dossiers des gaz industriels, l'entreprise allemande Linde n'a pas été abordée lors de ses discussions avec les responsables du ministère de l'Energie et des Mines, car selon l'oratrice, l'idée provient du ministère de la Santé publique et de la Population. Cependant, la présidente de Linde, estime pour sa part, que « l'affaire date de l'année 2009 et les Gaz Industriels ont un chiffre d'affaires de 2% sur des contrats anciens datant de plusieurs années. Mais, Linde remplit les conditions de contrats et honore toutes ses obligations, notamment pour ce qui est des usines d'épuration d'air dans la région d'Alger avec un investissement de 120 millions d'euros ». « Linde est le plus grand investisseur en Algérie avec un montant de 200 millions d'euros tout en envisageant toujours de développer le marché algérien et local » a-t-elle précisé. Comme l'a préconisé la Chancelière Angela Merkel, Hessel a exhorté les différents responsables chargés de la coopération et du commerce extérieur d'agir dans le sens de l'assouplissement des procédures de partenariat. Elle a notamment parlé « des conséquences négatives pour les investisseurs en Algérie pour les opérations de commerce extérieur tout en précisant que les entreprises allemandes déjà actives en Algérie veulent toujours y investir et nouer un partenariat avec des entreprises algériennes ». Elle ajoute que « la loi de finances complémentaire 2010 est réticente pour faire entrer des entreprises allemandes en Algérie. Il s'agit d'une question de mentalité, les entreprises allemandes sont réticentes et désirent un cadre fiable et transparent et ne cherche pas la formule ‘on va s'arranger'». Hessel dira aussi « qu'il est difficile, cependant, de qualifier le climat des affaires en Algérie et l'Etat algérien a le droit de défendre son économie à travers des lois, néanmoins, les entreprises allemandes et les PME bavaroises ont des difficultés et cela ne leur facilite pas la tâche ». La ministre de l'Economie de la Bavière estime et précise que « la loi de finances complémentaire 2010 ne facilite pas les investissements des PME ‘familiales' bavaroises en Algérie » car ajoute-t-elle, « les entreprises bavaroises n'ont pas d'autorité sur l'argent pour investir en Algérie sur la base de 51% pour le partenaire algérien et 49 % pour la partie allemande ».Selon elle, c'est un grand problème pour les PME bavaroises. Hessel dira que « les PME allemandes sont des propriétés familiales finançant les offres par le crédit. Si elles investissent dans des marchés étrangers et lointains, elles ont des réticences et des équivoques, en tout cas c'est l'avis de la majorité des investisseurs». Elle insiste sur l'orientation des 51% en déclarant que « c'est un problème pour les entreprises allemandes et l'Union européenne également ; car c'est une entrave pour les investissements privés et des risques pour les PME concernant la réalisation des profits potentiels ». A. A.