L'opération de relogement dans le cadre de l'éradication de l'habitat précaire et des innombrables bidonvilles qui défigurent le visage de la capitale a repris après les fêtes de l'Aïd el-Fitr. Après le relogement, la semaine dernière des familles qui squattaient les cimetières, disputant ainsi l'espace des morts, cette fois-ci ce sont les infrastructures sportives qui ont été rendues à leur vocation première. Ainsi nous apprend l'APS, quatorze familles, qui avaient érigé des habitations précaires au niveau du stade du 20-Août-1955 à El-Annassers (Belouizdad), ont été relogées, hier, à leur grand bonheur dans des appartements neufs et dotés de toutes les commodités à Birtouta. La rentrée scolaire venant à peine d'être entamée la scolarisation de leurs enfants ne sera nullement perturbée puisqu'ils pourront être inscrits et suivre leurs cours dans les écoles de leur nouveau lieu de résidence. C'est la cité des 1680-Logements dans la commune de Birtouta qui a accueilli les quatorze heureuses familles. Le relogement de ces familles entre, comme signalé plus haut, dans le cadre d'une campagne d'assainissement des infrastructures sportives, qui ont ou vont, pour certaines, bénéficier d'opérations de réaménagement et de préparation en adéquation avec le nouveau statut des équipes de football qui entrent, cette saison, de plain-pied dans le professionnalisme, cette nouvelle avanture nécessite des infrastructures de proximité pour la domiciliation de ces équipes, qui pour certaines, sont restées SDF, en raison de l'absence de terrain de domiciliation ou encore pour les raisons soulevées, à savoir le squat des vestiaires et autres locaux par des familles. La wilaya d' Alger a , rappelle-t-on, déjà procédé au relogement des quatres familles qui avaient, indûment, élu domicile au niveau du stade Hamadi de Bologhine et des six familles qui elles avaient jeté leur dévolu sur les locaux du stade du 1er -Novembre de Mohammadia. Ainsi les sportifs seront soulagés de retrouver leurs terrains en espérant que d'autres familles, dans l'espoir de bénéficier de logements ne décident, à leur tour, de squatter les lieux. Croisons les doigts, car il faut le dire le relogement dans la capitale est loin d'être une partie de plaisir et donne même l'impression d'être le tonneau des Danaïdes. R. A. L'opération de relogement dans le cadre de l'éradication de l'habitat précaire et des innombrables bidonvilles qui défigurent le visage de la capitale a repris après les fêtes de l'Aïd el-Fitr. Après le relogement, la semaine dernière des familles qui squattaient les cimetières, disputant ainsi l'espace des morts, cette fois-ci ce sont les infrastructures sportives qui ont été rendues à leur vocation première. Ainsi nous apprend l'APS, quatorze familles, qui avaient érigé des habitations précaires au niveau du stade du 20-Août-1955 à El-Annassers (Belouizdad), ont été relogées, hier, à leur grand bonheur dans des appartements neufs et dotés de toutes les commodités à Birtouta. La rentrée scolaire venant à peine d'être entamée la scolarisation de leurs enfants ne sera nullement perturbée puisqu'ils pourront être inscrits et suivre leurs cours dans les écoles de leur nouveau lieu de résidence. C'est la cité des 1680-Logements dans la commune de Birtouta qui a accueilli les quatorze heureuses familles. Le relogement de ces familles entre, comme signalé plus haut, dans le cadre d'une campagne d'assainissement des infrastructures sportives, qui ont ou vont, pour certaines, bénéficier d'opérations de réaménagement et de préparation en adéquation avec le nouveau statut des équipes de football qui entrent, cette saison, de plain-pied dans le professionnalisme, cette nouvelle avanture nécessite des infrastructures de proximité pour la domiciliation de ces équipes, qui pour certaines, sont restées SDF, en raison de l'absence de terrain de domiciliation ou encore pour les raisons soulevées, à savoir le squat des vestiaires et autres locaux par des familles. La wilaya d' Alger a , rappelle-t-on, déjà procédé au relogement des quatres familles qui avaient, indûment, élu domicile au niveau du stade Hamadi de Bologhine et des six familles qui elles avaient jeté leur dévolu sur les locaux du stade du 1er -Novembre de Mohammadia. Ainsi les sportifs seront soulagés de retrouver leurs terrains en espérant que d'autres familles, dans l'espoir de bénéficier de logements ne décident, à leur tour, de squatter les lieux. Croisons les doigts, car il faut le dire le relogement dans la capitale est loin d'être une partie de plaisir et donne même l'impression d'être le tonneau des Danaïdes. R. A.