aLes initiateurs tenteront de sensibiliser les écoliers sur les dangers de la route, notamment au niveau des points noirs du réseau routier de la capitale. Un seul objectif y est tracé, celui de réduire le nombre d'accidents touchant les écoliers et les enfants en bas âge, et ce, en les informant sur les précautions à prendre pour traverser la chaussée. aLes initiateurs tenteront de sensibiliser les écoliers sur les dangers de la route, notamment au niveau des points noirs du réseau routier de la capitale. Un seul objectif y est tracé, celui de réduire le nombre d'accidents touchant les écoliers et les enfants en bas âge, et ce, en les informant sur les précautions à prendre pour traverser la chaussée. Les écoliers, étant les victimes les plus vulnérables des accidents de la route, font ces jours-ci, objet d'une campagne de sensibilisation et d'information sur la sécurité routière. Le but est d'enseigner à ces bambins les règles de « bonne conduite » sur la chaussée, les sensibiliser sur les dangers de la voie publique et les précautions à prendre lors de l'usage de l'espace routier. Cette noble initiative revient à la Direction de la protection sociale, de la solidarité et de l'enfance de la wilaya d'Alger, qui approchera au cours de cette semaine, les écoles de la capitale. Dans un premier temps, trois communes ont été désignées pour le trafic dense qu'elles enregistrent, ce qui augmente les risques d'accidents, particulièrement, aux alentours des écoles. Il s'agit des communes de Bologhine, Raïs Hamidou et Hammamet. Ceci dit, la capitale a été choisie pour abriter cette opération pilote, avant qu'elle ne soit élargie par la suite aux autres régions du pays. En effet, coïncidant avec la rentrée scolaire 2010-2011, les initiateurs tenteront de sensibiliser les écoliers sur les dangers de la route, notamment, au niveau des points noirs du réseau routier de la capitale. Un seul objectif y est tracé, celui de réduire le nombre d'accidents touchant les écoliers et les enfants en bas âge, et ce, en les informant sur les précautions à prendre pour traverser la chaussée. Un simple geste qui vaut toute une vie. Face à l'absence flagrante d'une éducation scolaire relative à la prévention routière, et aux mauvais exemples donnés par les adultes, à commencer par les parents, les initiateurs de ladite campagne auront pour mission d'apprendre aux enfants ce qu'il faut faire une fois à l'extérieur des écoles. La première cause de la mortalité des enfants sur les routes, souligne-t-on, est due à une mauvaise traversée des chaussées. De ce fait, les enfants doivent apprendre à attendre devant un passage-piétons jusqu'à ce que les véhicules arrivant soient complètement arrêtés. Donc, les conducteurs, de leur côté, doivent ralentir, voire stopper leurs voitures, devant les passage-piétons à proximité des écoles. En outre, la campagne interpelle également les parents d'élèves sur leur rôle clef dans l'éducation de leurs enfants, les incitant à adopter un comportement permettant de réduire le nombre d'enfants victimes d'accidents graves de la route en évolution constante. L'implication des parents reste la meilleure garantie d'une bonne éducation en la matière. Ils doivent néanmoins montrer aux enfants la manière la plus sûre de traverser la route, tout en leur montrant le chemin de l'école le plus sûr. A ce titre, dans l'attente d'une éventuelle implication des responsables de l'Education nationale, les campagnes de sensibilisation sur les accidents de la route demeurent menées par les associations et les services de la Protection civile et la Gendarmerie nationale et autres directions de wilaya, qui recourent « seuls » à une intensification des opérations de sensibilisation. Les écoliers, étant les victimes les plus vulnérables des accidents de la route, font ces jours-ci, objet d'une campagne de sensibilisation et d'information sur la sécurité routière. Le but est d'enseigner à ces bambins les règles de « bonne conduite » sur la chaussée, les sensibiliser sur les dangers de la voie publique et les précautions à prendre lors de l'usage de l'espace routier. Cette noble initiative revient à la Direction de la protection sociale, de la solidarité et de l'enfance de la wilaya d'Alger, qui approchera au cours de cette semaine, les écoles de la capitale. Dans un premier temps, trois communes ont été désignées pour le trafic dense qu'elles enregistrent, ce qui augmente les risques d'accidents, particulièrement, aux alentours des écoles. Il s'agit des communes de Bologhine, Raïs Hamidou et Hammamet. Ceci dit, la capitale a été choisie pour abriter cette opération pilote, avant qu'elle ne soit élargie par la suite aux autres régions du pays. En effet, coïncidant avec la rentrée scolaire 2010-2011, les initiateurs tenteront de sensibiliser les écoliers sur les dangers de la route, notamment, au niveau des points noirs du réseau routier de la capitale. Un seul objectif y est tracé, celui de réduire le nombre d'accidents touchant les écoliers et les enfants en bas âge, et ce, en les informant sur les précautions à prendre pour traverser la chaussée. Un simple geste qui vaut toute une vie. Face à l'absence flagrante d'une éducation scolaire relative à la prévention routière, et aux mauvais exemples donnés par les adultes, à commencer par les parents, les initiateurs de ladite campagne auront pour mission d'apprendre aux enfants ce qu'il faut faire une fois à l'extérieur des écoles. La première cause de la mortalité des enfants sur les routes, souligne-t-on, est due à une mauvaise traversée des chaussées. De ce fait, les enfants doivent apprendre à attendre devant un passage-piétons jusqu'à ce que les véhicules arrivant soient complètement arrêtés. Donc, les conducteurs, de leur côté, doivent ralentir, voire stopper leurs voitures, devant les passage-piétons à proximité des écoles. En outre, la campagne interpelle également les parents d'élèves sur leur rôle clef dans l'éducation de leurs enfants, les incitant à adopter un comportement permettant de réduire le nombre d'enfants victimes d'accidents graves de la route en évolution constante. L'implication des parents reste la meilleure garantie d'une bonne éducation en la matière. Ils doivent néanmoins montrer aux enfants la manière la plus sûre de traverser la route, tout en leur montrant le chemin de l'école le plus sûr. A ce titre, dans l'attente d'une éventuelle implication des responsables de l'Education nationale, les campagnes de sensibilisation sur les accidents de la route demeurent menées par les associations et les services de la Protection civile et la Gendarmerie nationale et autres directions de wilaya, qui recourent « seuls » à une intensification des opérations de sensibilisation.