L'expert recommande plus de visibilité pour développer le marché national de la sous-traitance, estimé à plus de 3,5 milliards de dollars. Or, la plupart des entreprises qu'il a visitées lors de son enquête n'ont pas de sites sur le Net. Ce qui est très handicapant, selon son analyse, en termes de développement du marché de la sous-traitance en Algérie et à l'international. « On peut réaliser un très bon partenariat selon la règle de 49% et de 51% » a declaré, hier, Jean-Jacques Rechenmann, expert Formatex en charge de l'information internationale, lors de la présentation de son exposé sur « Le panorama à l'international de la filière de la sous-traitance », à l'occasion d'un séminaire d'information et de formation, organisé par le programme Optimexport au siège d'Algex (Mohammedia) en présence de ses différents partenaires tels que la Caci, Cagex et Anexa. L'auteur de l'Internet et l'exportateur n'a pas manqué de mettre en évidence son enquête sur l'offre algérienne réalisée dans le domaine de la sous-traitance industrielle. « Les opérateurs algériens dont j'ai visité les sites de production ou de services ont réalisé de grandes prouesses en termes de qualité de produits fabriqués et de leur conformité aux standards internationaux » a-t-il ajouté. Ils sont en mesure, dit-il, de fabriquer et de sous-traiter des produits, selon les normes internationales, si seulement ils se faisaient connaître sur le marché international. « Il est regrettable néanmoins que la plupart de ces entreprises n'aient pas encore crée leurs sites Web, ce qui est très handicapant de nos jours, quand on sait que les donneurs d'ordre consultent souvent Internet pour trouver des sous-traitants à leurs produits », a-t-il souligné. C'est ainsi que les performances réalisées par les entreprises Afric-Moules et Ferrovial sont mises en valeur par l'expert. « Les chefs d'entreprise que j'ai rencontrés regrettent souvent l'absence d'un tissu industriel en mesure de répondre à leurs besoins en termes de sous-traitants » a-t-il indiqué, mettant en exergue les potentialités algériennes de la sous-traitance qui semblent méconnues par les grandes entreprises qui ne sous-traitent pas certains composants pour s'occuper de l'activité principale. C'est pourquoi l'expert recommande, dans ce sens, plus de visibilité pour développer le marché national de la sous-traitance, estimé à 3,5 milliards de dollars. Les entreprises internationales qui sont versées dans la sous-traitance ou la délocalisation de certaines activités cherchent souvent, dit-il, des partenaires de proximité dans le sens de la rentabilité en termes notamment du coût énergétique, de main d'œuvre et de fIscalité. «L'Algérie est bien classée dans la région du Maghreb et de la Méditerranée, selon ces critères de sélection des pays attractifs d'investissements» soutient l'expert français en conseils, assistance et formation au profit des entreprises exportatrices de hautes technologies. L'Algérie se trouve actuellement, précise-t-il, au même rang que la France et la Tunisie en termes notamment de protection des investissements et du coût du travail. Mais le cadre réglementaire de la sous- traitance doit être amélioré, dit-il à la fin de sa sixième communication présentée dans le cadre du programme de formation et d'information Optimexport qui prendra fin le 31 décembre prochain. C'est ce qu'a annoncé son chef de projet Marc Martinant, en fin de mission en Algérie. Des entrepreneurs et des industriels algériens participeront au Salon international de la sous-traitance, prévu en octobre prochain au Palais des Expositions de Paris où ils pourront tisser des formes de partenariat avec des investisseurs étrangers, notamment français. L'expert recommande plus de visibilité pour développer le marché national de la sous-traitance, estimé à plus de 3,5 milliards de dollars. Or, la plupart des entreprises qu'il a visitées lors de son enquête n'ont pas de sites sur le Net. Ce qui est très handicapant, selon son analyse, en termes de développement du marché de la sous-traitance en Algérie et à l'international. « On peut réaliser un très bon partenariat selon la règle de 49% et de 51% » a declaré, hier, Jean-Jacques Rechenmann, expert Formatex en charge de l'information internationale, lors de la présentation de son exposé sur « Le panorama à l'international de la filière de la sous-traitance », à l'occasion d'un séminaire d'information et de formation, organisé par le programme Optimexport au siège d'Algex (Mohammedia) en présence de ses différents partenaires tels que la Caci, Cagex et Anexa. L'auteur de l'Internet et l'exportateur n'a pas manqué de mettre en évidence son enquête sur l'offre algérienne réalisée dans le domaine de la sous-traitance industrielle. « Les opérateurs algériens dont j'ai visité les sites de production ou de services ont réalisé de grandes prouesses en termes de qualité de produits fabriqués et de leur conformité aux standards internationaux » a-t-il ajouté. Ils sont en mesure, dit-il, de fabriquer et de sous-traiter des produits, selon les normes internationales, si seulement ils se faisaient connaître sur le marché international. « Il est regrettable néanmoins que la plupart de ces entreprises n'aient pas encore crée leurs sites Web, ce qui est très handicapant de nos jours, quand on sait que les donneurs d'ordre consultent souvent Internet pour trouver des sous-traitants à leurs produits », a-t-il souligné. C'est ainsi que les performances réalisées par les entreprises Afric-Moules et Ferrovial sont mises en valeur par l'expert. « Les chefs d'entreprise que j'ai rencontrés regrettent souvent l'absence d'un tissu industriel en mesure de répondre à leurs besoins en termes de sous-traitants » a-t-il indiqué, mettant en exergue les potentialités algériennes de la sous-traitance qui semblent méconnues par les grandes entreprises qui ne sous-traitent pas certains composants pour s'occuper de l'activité principale. C'est pourquoi l'expert recommande, dans ce sens, plus de visibilité pour développer le marché national de la sous-traitance, estimé à 3,5 milliards de dollars. Les entreprises internationales qui sont versées dans la sous-traitance ou la délocalisation de certaines activités cherchent souvent, dit-il, des partenaires de proximité dans le sens de la rentabilité en termes notamment du coût énergétique, de main d'œuvre et de fIscalité. «L'Algérie est bien classée dans la région du Maghreb et de la Méditerranée, selon ces critères de sélection des pays attractifs d'investissements» soutient l'expert français en conseils, assistance et formation au profit des entreprises exportatrices de hautes technologies. L'Algérie se trouve actuellement, précise-t-il, au même rang que la France et la Tunisie en termes notamment de protection des investissements et du coût du travail. Mais le cadre réglementaire de la sous- traitance doit être amélioré, dit-il à la fin de sa sixième communication présentée dans le cadre du programme de formation et d'information Optimexport qui prendra fin le 31 décembre prochain. C'est ce qu'a annoncé son chef de projet Marc Martinant, en fin de mission en Algérie. Des entrepreneurs et des industriels algériens participeront au Salon international de la sous-traitance, prévu en octobre prochain au Palais des Expositions de Paris où ils pourront tisser des formes de partenariat avec des investisseurs étrangers, notamment français.