La filière spécialisée dans le trafic et la falsification de documents administratifs, qui serait derrière l'affaire mise à nu par la police tout récemment concernant les documents scannés de carnets de chauffeurs et de cartes violettes portant les cachets de la direction des transports est, selon des sources proches de l'enquête, en voie d'être démantelée. En effet, deux jeunes ex-étudiants en informatique, habitant la cité Menadia, ont été interpellés chez eux hier par les éléments de la brigade des contre-façons, suite à des informations faisant état de l'existence d'un atelier clandestin spécialisé dans la falsification et le maquillage de documents administratifs, au niveau du quartier sus cité. La célérité des services de police a permis la saisie d'un important matériel et de pseudo documents officiels prêts à être commercialisés dans la filière mise en place par cette pègre qui serait le fournisseur principal des faux taxieurs. La police ainsi que le syndicat des chauffeurs de taxi sont convaincus que les deux cas relevés et découverts par hasard lors d'un barrage routier ne représentent que la face visible d'un vaste trafic clandestin qui impliquerait des dizaines de faux taxieurs qui circulent avec des documents trafiqués. Par ailleurs, l'enquête ouverte suite à la découverte de cartes violettes et de carnets de chauffeurs trafiqués continue au niveau de la direction des transports d'Annaba dont les agents et l'actuel chef de service division taxis ont été entendus. La filière spécialisée dans le trafic et la falsification de documents administratifs, qui serait derrière l'affaire mise à nu par la police tout récemment concernant les documents scannés de carnets de chauffeurs et de cartes violettes portant les cachets de la direction des transports est, selon des sources proches de l'enquête, en voie d'être démantelée. En effet, deux jeunes ex-étudiants en informatique, habitant la cité Menadia, ont été interpellés chez eux hier par les éléments de la brigade des contre-façons, suite à des informations faisant état de l'existence d'un atelier clandestin spécialisé dans la falsification et le maquillage de documents administratifs, au niveau du quartier sus cité. La célérité des services de police a permis la saisie d'un important matériel et de pseudo documents officiels prêts à être commercialisés dans la filière mise en place par cette pègre qui serait le fournisseur principal des faux taxieurs. La police ainsi que le syndicat des chauffeurs de taxi sont convaincus que les deux cas relevés et découverts par hasard lors d'un barrage routier ne représentent que la face visible d'un vaste trafic clandestin qui impliquerait des dizaines de faux taxieurs qui circulent avec des documents trafiqués. Par ailleurs, l'enquête ouverte suite à la découverte de cartes violettes et de carnets de chauffeurs trafiqués continue au niveau de la direction des transports d'Annaba dont les agents et l'actuel chef de service division taxis ont été entendus.