«L'objectif de cette rencontre entre spécialistes de la langue amazighe est de parvenir à publier un manuel référentiel qui fixera les règles de l'écriture de tamazight et sera un outil de base pour tous les utilisateurs, notamment les écoliers, tous paliers confondus, les universitaires et les spécialistes en linguistique berbère.» «L'objectif de cette rencontre entre spécialistes de la langue amazighe est de parvenir à publier un manuel référentiel qui fixera les règles de l'écriture de tamazight et sera un outil de base pour tous les utilisateurs, notamment les écoliers, tous paliers confondus, les universitaires et les spécialistes en linguistique berbère.» «Le colloque a pour objectif de fixer toutes les règles orthographiques et grammaticales de la langue amazighe à base latine et ce dans l'optique de renforcer l'unité d'écriture de tamazight », a déclaré hier, le secrétaire générale du Haut-Commissariat à l'amaziguité en marge du Colloque international sur la standardisation de l'écriture amazighe, qui se tient à la maison de la culture Rachid-Mimouni jusqu'à demain mercredi. « L'objectif de cette rencontre entre spécialistes de la langue amazighe, est de parvenir à publier un manuel référentiel qui fixera les règles de l'écriture de tamazight et sera un outil de base pour tous les utilisateurs notamment les écoliers, tous paliers confondues, les universitaires et les spécialistes en linguistique berbère », a-t-il ajouté. Ce manuel sera disponible, précise notre interlocuteur, en trois langues : tamazight, arabe et français. Cette rencontre se veut, par ailleurs, un cadre théorique afin de trancher sur plusieurs questions relatives à l'usage de tamazight et qui restent en suspens. « Ce colloque est une suite des autres rencontres tenues auparavant notamment l'atelier d'octobre 1998 qui a retenu le principe de la mise en place d'un réseau international pour l'aménagement de la langue berbère au centre de recherche berbère de l'Inalco », ajoute-on encore. L'absence d'une transcription usuelle unique de la langue amazighe, c'est-à-dire, l'alphabet, l'orthographe et la variante à laquelle ses règles sont applicables, a fait que la standardisation de tamazight n'est pas aisée du point de vue de la non généralisation de la notation qui prendra en fin de compte les aspects régionaux, dialectaux et individuels. Cette première journée a été marquée par la présentation de quatre communications. Ainsi, Immarzane Moussa, docteur en linguistique amazigh, a débattu, au cours de son intervention de la variation et de la normalisation de tamazight. Quant au docteur Saïd Chemakh, il a focalisé sa communication sur les réalisations et les problèmes en suspens notamment l'écriture de tamazight et son utilisation phonétique et usuelle. Dans ce sens, l'intervenant a axé sa thèse sur les différences qui existent entre le phonétique et l'usuel par la pratique de la langue. La troisième communication a été présentée par Haddadou Mohand Akli, un spécialiste en linguistiques amazighe. Ce dernier a focalisé son intervention sur les systèmes de transcription de l'alphabet berbère et des considérations techniques et théoriques. La dernière communication s'est focalisée sur le thème : « Le kabyle entre l'usage, l'oral et l'écrit et les principes d'adoption d'une norme orthographique à base latine », elle a été animée par deux maîtres assistants : Hassani Saïd et Haddad Samir à l'université Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. «Le colloque a pour objectif de fixer toutes les règles orthographiques et grammaticales de la langue amazighe à base latine et ce dans l'optique de renforcer l'unité d'écriture de tamazight », a déclaré hier, le secrétaire générale du Haut-Commissariat à l'amaziguité en marge du Colloque international sur la standardisation de l'écriture amazighe, qui se tient à la maison de la culture Rachid-Mimouni jusqu'à demain mercredi. « L'objectif de cette rencontre entre spécialistes de la langue amazighe, est de parvenir à publier un manuel référentiel qui fixera les règles de l'écriture de tamazight et sera un outil de base pour tous les utilisateurs notamment les écoliers, tous paliers confondues, les universitaires et les spécialistes en linguistique berbère », a-t-il ajouté. Ce manuel sera disponible, précise notre interlocuteur, en trois langues : tamazight, arabe et français. Cette rencontre se veut, par ailleurs, un cadre théorique afin de trancher sur plusieurs questions relatives à l'usage de tamazight et qui restent en suspens. « Ce colloque est une suite des autres rencontres tenues auparavant notamment l'atelier d'octobre 1998 qui a retenu le principe de la mise en place d'un réseau international pour l'aménagement de la langue berbère au centre de recherche berbère de l'Inalco », ajoute-on encore. L'absence d'une transcription usuelle unique de la langue amazighe, c'est-à-dire, l'alphabet, l'orthographe et la variante à laquelle ses règles sont applicables, a fait que la standardisation de tamazight n'est pas aisée du point de vue de la non généralisation de la notation qui prendra en fin de compte les aspects régionaux, dialectaux et individuels. Cette première journée a été marquée par la présentation de quatre communications. Ainsi, Immarzane Moussa, docteur en linguistique amazigh, a débattu, au cours de son intervention de la variation et de la normalisation de tamazight. Quant au docteur Saïd Chemakh, il a focalisé sa communication sur les réalisations et les problèmes en suspens notamment l'écriture de tamazight et son utilisation phonétique et usuelle. Dans ce sens, l'intervenant a axé sa thèse sur les différences qui existent entre le phonétique et l'usuel par la pratique de la langue. La troisième communication a été présentée par Haddadou Mohand Akli, un spécialiste en linguistiques amazighe. Ce dernier a focalisé son intervention sur les systèmes de transcription de l'alphabet berbère et des considérations techniques et théoriques. La dernière communication s'est focalisée sur le thème : « Le kabyle entre l'usage, l'oral et l'écrit et les principes d'adoption d'une norme orthographique à base latine », elle a été animée par deux maîtres assistants : Hassani Saïd et Haddad Samir à l'université Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou.