La politique de la solidarité serait en passe de prendre un nouveau cap. C'est ce qu'a laissé entendre, jeudi dernier, à partir de Constantine, Saïd Barkat, qui a pris les rênes du ministère de la Solidarité et de la Famille il y a à peine quelques mois… « Le ministère de la Solidarité n'est pas seulement celui de la chorba et du couffin de Ramadhan » a-t-il, d'emblée, précisé lors de la distribution de 273 bus scolaires sur six wilaya de l'Est, plus Ouargla. Le ministre, et tout au long de son allocution, réitérera la volonté de son département à transcender les sentiers battus de la solidarité, lesquels à ses yeux devront être élargis. La remise entre 36 et 41 bus pour chacune des wilayas concernées s'annonce en prémices d'une action davantage exhaustive et variée. Dans cet esprit, d'autres aspects, d'une aussi grande importance, seront investis, particulièrement dans le système scolaire pour favoriser l'épanouissement des élèves. « Les bonnes conditions faciliteront la scolarisation et l'éducation ».A partir de cette année, a-t-il précisé, le ministère de la Solidarité et de la Famille « ne laissera aucune commune sur le territoire nationale sans bus scolaire».Dévoilant ainsi que les 4.009 bus attribués par son prédécesseur se révèleront être insuffisants. Cette nouvelle approche de l'action de solidarité s'inscrit toutefois dans la droite ligne des directives du président de la République, a rappelé le ministre à plusieurs reprises. D'autres entreprises du même acabit se manifesteront et seront menées dans le secteur de l'éducation. La disponibilité du chauffage, de l'eau potable et de toutes les commodités dont devront normalement jouir tous les écoliers, du nord au sud, le département de Saïd Barkat en fera désormais sa priorité. Même le problème épineux des cartables « trop lourds » qui commence à faire grincer les dents des associations des parents d'élèves paraît avoir trouvé un écho… non auprès du ministère de l'Education nationale, mais de celui de la Solidarité et la Famille. L'installation de casiers sera suggérée pour soulager les enfants scolarisés d'un poids quotidien qui avoisine aisément les dix à onze kilos. La politique de la solidarité serait en passe de prendre un nouveau cap. C'est ce qu'a laissé entendre, jeudi dernier, à partir de Constantine, Saïd Barkat, qui a pris les rênes du ministère de la Solidarité et de la Famille il y a à peine quelques mois… « Le ministère de la Solidarité n'est pas seulement celui de la chorba et du couffin de Ramadhan » a-t-il, d'emblée, précisé lors de la distribution de 273 bus scolaires sur six wilaya de l'Est, plus Ouargla. Le ministre, et tout au long de son allocution, réitérera la volonté de son département à transcender les sentiers battus de la solidarité, lesquels à ses yeux devront être élargis. La remise entre 36 et 41 bus pour chacune des wilayas concernées s'annonce en prémices d'une action davantage exhaustive et variée. Dans cet esprit, d'autres aspects, d'une aussi grande importance, seront investis, particulièrement dans le système scolaire pour favoriser l'épanouissement des élèves. « Les bonnes conditions faciliteront la scolarisation et l'éducation ».A partir de cette année, a-t-il précisé, le ministère de la Solidarité et de la Famille « ne laissera aucune commune sur le territoire nationale sans bus scolaire».Dévoilant ainsi que les 4.009 bus attribués par son prédécesseur se révèleront être insuffisants. Cette nouvelle approche de l'action de solidarité s'inscrit toutefois dans la droite ligne des directives du président de la République, a rappelé le ministre à plusieurs reprises. D'autres entreprises du même acabit se manifesteront et seront menées dans le secteur de l'éducation. La disponibilité du chauffage, de l'eau potable et de toutes les commodités dont devront normalement jouir tous les écoliers, du nord au sud, le département de Saïd Barkat en fera désormais sa priorité. Même le problème épineux des cartables « trop lourds » qui commence à faire grincer les dents des associations des parents d'élèves paraît avoir trouvé un écho… non auprès du ministère de l'Education nationale, mais de celui de la Solidarité et la Famille. L'installation de casiers sera suggérée pour soulager les enfants scolarisés d'un poids quotidien qui avoisine aisément les dix à onze kilos.