Karim Tabou, premier secrétaire du Front des forces socialistes était, hier, à Tizi Ouzou pour marquer le quarante-septième anniversaire de la création du parti, né le 29 septembre 1963. C'est à la maison de la culture que Karim Tabou s'est exprimé devant ses militants en développant presque le même discours auquel il nous a habitués. Le N°2 du FFS a d'abord adressé des critiques acerbes à l'encontre de son frère ennemi de toujours, à savoir le Rassemblement pour la culture et la démocratie, RCD. Ce dernier est accusé par Tabou de manipuler la religion en créant des conflits et tout cela pour des intérêts personnels. L'orateur, en abordant cette question, a cité l'affaire de la mosquée d'Aghrib qui a fait couler beaucoup d'encre et de salive. Ensuite, Tabou s'est attaqué au Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie le MAK. Il a affirmé que son parti s'oppose farouchement au projet d'autonomie prôné par le mouvement en question. Par ailleurs, Karim Tabou a encore affirmé que « les responsables en place usent de toutes formes de violences pour pousser les citoyens à revendiquer leurs droits». Quant à la situation prévalant dans la région, il a dénoncé le «processus de manipulation et de provocation ayant pour objectif d'empêcher la région de jouer son véritable rôle dans l'instauration de la démocratie». L'orateur a encore déploré « le chantage qui règne dans nos structures publiques qui piège la vie de la société et la prive de son existence». Tabou a estimé qu'il n'y a toujours pas de sécurité en Kabylie. Il a conclu en affirmant que « le FFS est porteur d'un projet national et maghrébin». La commémoration de l'anniversaire du FFS, bien qu'ayant eu lieu à Tizi Ouzou, a vu la présence des militants des autres wilayas du pays ainsi que des représentants des familles des disparus et des membres de l'association SOS disparus auxquelles le FFS a exprimé son soutien et sa détermination à les accompagner dans leur combat «afin que la vérité éclate au sujet de ces disparitions». Karim Tabou, premier secrétaire du Front des forces socialistes était, hier, à Tizi Ouzou pour marquer le quarante-septième anniversaire de la création du parti, né le 29 septembre 1963. C'est à la maison de la culture que Karim Tabou s'est exprimé devant ses militants en développant presque le même discours auquel il nous a habitués. Le N°2 du FFS a d'abord adressé des critiques acerbes à l'encontre de son frère ennemi de toujours, à savoir le Rassemblement pour la culture et la démocratie, RCD. Ce dernier est accusé par Tabou de manipuler la religion en créant des conflits et tout cela pour des intérêts personnels. L'orateur, en abordant cette question, a cité l'affaire de la mosquée d'Aghrib qui a fait couler beaucoup d'encre et de salive. Ensuite, Tabou s'est attaqué au Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie le MAK. Il a affirmé que son parti s'oppose farouchement au projet d'autonomie prôné par le mouvement en question. Par ailleurs, Karim Tabou a encore affirmé que « les responsables en place usent de toutes formes de violences pour pousser les citoyens à revendiquer leurs droits». Quant à la situation prévalant dans la région, il a dénoncé le «processus de manipulation et de provocation ayant pour objectif d'empêcher la région de jouer son véritable rôle dans l'instauration de la démocratie». L'orateur a encore déploré « le chantage qui règne dans nos structures publiques qui piège la vie de la société et la prive de son existence». Tabou a estimé qu'il n'y a toujours pas de sécurité en Kabylie. Il a conclu en affirmant que « le FFS est porteur d'un projet national et maghrébin». La commémoration de l'anniversaire du FFS, bien qu'ayant eu lieu à Tizi Ouzou, a vu la présence des militants des autres wilayas du pays ainsi que des représentants des familles des disparus et des membres de l'association SOS disparus auxquelles le FFS a exprimé son soutien et sa détermination à les accompagner dans leur combat «afin que la vérité éclate au sujet de ces disparitions».