"Waqti" est un projet algérien innovant et mobile qui s‘inscrit dans le cadre de la gestion numérique du stationnement dans les rues les grandes villes d‘Algérie squattées actuellement par de jeunes chômeurs. Le brevet est déposé au niveau de l‘Inapi avec toutes les garanties et normes requises. Abderahmane Trabelsi, porteur du projet, est actuellement hébergé au niveau de l‘incubateur du centre de recherche du Cyberparc de Sidi Abdellah, inauguré l‘année dernière par le ministre de la Poste et des Technologies de l‘Information et de la Communication. Rencontré, hier, à l‘occasion de la rencontre B to B organisée à la salle de conférence de la Safex entre les hommes d‘affaires polonais et leurs homologues algériens, Trabelsi n‘a pas manqué de souligner les efforts consentis par l‘Etat à l‘endroit des porteurs de projets, des chercheurs et des entrepreneurs en général. "Je tiens d‘abord à souligner les efforts que développe l‘Etat dans l‘innovation et la recherche ainsi que l‘entreprenariat au niveau notamment du Cyberparc de Sidi Abdellah" , a-t-il ajouté, mettant en évidence l‘accompagnement et l‘assitance technique des chercheurs dans la mise en pratique de son projet. Il a participé à cette rencontre d‘affaires pour dénicher, a-t-il ajouté, une relation de partenariat avec un investisseur polonais en vue de mettre en pratique son projet validé et prêt à la réalisation. Le centre de recherche recèle déjà vingt porteurs de projets et vingt entreprises start up. "Parmi les participants je n‘ai pas trouvé de partenaires en mesure de réaliser mon projet. Mais un responsable de la mission économique m‘a promis de trouver un partenaire spécialisé dans le domaine", a-t-il ajouté. Il s‘agit d‘une "solution globale de gestion du stationnement prépayé de voierie et de parkings" pour mettre fin au stationnement anarchique dans les rues qui sont actuellement livrées au diktat des jeunes sans aucune organisation. C‘est une question de sécurité qui sera réglée avec ce projet qui permetta aussi une forte création d‘emplois réguliers, selon le porteur de projet lequel met l‘accent sur la mobilité du projet disant : "Il ne s‘agit pas d‘une solution fixe de stationnement comme cela se passe en France et ailleurs où les stationnements payants sont réglementés dans les rues réservées. Nous, nous permettons une mobilité à nos futurs clients en leur offrant une carte à puce. Ils peuvent ainsi stationner dans n‘importe quel quartier ou grande ville d‘Algérie dont nous gérerons le stationnement public". Ce procédé technologique, explique l‘auteur, n‘exige que deux à trois mois pour être mis en place et un investissement de quelque 200 millions de dinars. Faut-il indiquer que le projet, s‘il venait à être finalisé, mettra fin à la situation «d‘arnaque» dont sont victimes les automobilistes, quotidiennement pour stationner leurs véhicules aussi bien à Alger que dans d‘autres grandes villes d‘Algérie. "Waqti" est un projet algérien innovant et mobile qui s‘inscrit dans le cadre de la gestion numérique du stationnement dans les rues les grandes villes d‘Algérie squattées actuellement par de jeunes chômeurs. Le brevet est déposé au niveau de l‘Inapi avec toutes les garanties et normes requises. Abderahmane Trabelsi, porteur du projet, est actuellement hébergé au niveau de l‘incubateur du centre de recherche du Cyberparc de Sidi Abdellah, inauguré l‘année dernière par le ministre de la Poste et des Technologies de l‘Information et de la Communication. Rencontré, hier, à l‘occasion de la rencontre B to B organisée à la salle de conférence de la Safex entre les hommes d‘affaires polonais et leurs homologues algériens, Trabelsi n‘a pas manqué de souligner les efforts consentis par l‘Etat à l‘endroit des porteurs de projets, des chercheurs et des entrepreneurs en général. "Je tiens d‘abord à souligner les efforts que développe l‘Etat dans l‘innovation et la recherche ainsi que l‘entreprenariat au niveau notamment du Cyberparc de Sidi Abdellah" , a-t-il ajouté, mettant en évidence l‘accompagnement et l‘assitance technique des chercheurs dans la mise en pratique de son projet. Il a participé à cette rencontre d‘affaires pour dénicher, a-t-il ajouté, une relation de partenariat avec un investisseur polonais en vue de mettre en pratique son projet validé et prêt à la réalisation. Le centre de recherche recèle déjà vingt porteurs de projets et vingt entreprises start up. "Parmi les participants je n‘ai pas trouvé de partenaires en mesure de réaliser mon projet. Mais un responsable de la mission économique m‘a promis de trouver un partenaire spécialisé dans le domaine", a-t-il ajouté. Il s‘agit d‘une "solution globale de gestion du stationnement prépayé de voierie et de parkings" pour mettre fin au stationnement anarchique dans les rues qui sont actuellement livrées au diktat des jeunes sans aucune organisation. C‘est une question de sécurité qui sera réglée avec ce projet qui permetta aussi une forte création d‘emplois réguliers, selon le porteur de projet lequel met l‘accent sur la mobilité du projet disant : "Il ne s‘agit pas d‘une solution fixe de stationnement comme cela se passe en France et ailleurs où les stationnements payants sont réglementés dans les rues réservées. Nous, nous permettons une mobilité à nos futurs clients en leur offrant une carte à puce. Ils peuvent ainsi stationner dans n‘importe quel quartier ou grande ville d‘Algérie dont nous gérerons le stationnement public". Ce procédé technologique, explique l‘auteur, n‘exige que deux à trois mois pour être mis en place et un investissement de quelque 200 millions de dinars. Faut-il indiquer que le projet, s‘il venait à être finalisé, mettra fin à la situation «d‘arnaque» dont sont victimes les automobilistes, quotidiennement pour stationner leurs véhicules aussi bien à Alger que dans d‘autres grandes villes d‘Algérie.