A Timezrite, plusieurs villages n'ont pas été alimentés en eau potable depuis des semaines. Les responsables locaux imputent cette carence aux piquages illicites de la conduite par des citoyens. Plusieurs localités de Boumerdès souffrent depuis des mois de la pénurie d'eau potable. Les habitants des dites localités demeurent sans eau et leur calvaire s'est accentué durant le mois de Ramadhan dernier. Ils recouraient à l'achat de ce précieux liquide que dame nature offre gracieusement. A Timezrite, plusieurs villages n'ont pas été alimentés en eau potable depuis des semaines. Les responsables locaux imputent cette carence aux piquages illicites de la conduite par des citoyens. Plusieurs localités de Boumerdès souffrent depuis des mois de la pénurie d'eau potable. Les habitants des dites localités demeurent sans eau et leur calvaire s'est accentué durant le mois de Ramadhan dernier. Ils recouraient à l'achat de ce précieux liquide que dame nature offre gracieusement. Dans la commune rurale d'Afir, à une cinquantaine de kilomètres à l'est de la wilaya, le problème se pose avec acuité. Les habitants qui y vivotent endurent d'énormes difficultés pour s'approvisionner en ce liquide vital. « Nous achetons la citerne d'eau non potable à 600 DA et la potable à 800 DA. Au bout d'à peine une semaine, elle estconsommée» déplorera un habitant du chef-lieu d'Afir. Les foyers sont rarement alimentés en eau potable notamment en été où l'eau se fait rare. Les citoyens habitant les zones rurales sont durement touchés par la rareté du liquide. Ils trouvent leur salut dans les fontaines et les ressources se trouvant sur les hauteurs et les massifs forestiers de leurs localités. Malgré qu' ils rencontrent des difficultés dans l'approvisionnement de l'eau, les villageois arrivent toutefois à étancher leur soif. Ici, le recours aux animaux domestiques, notamment les ânes, est légion en raison du caractère abrupt des régions ainsi que les sentiers accidentés menant vers les fontaines. A Timezrite, plusieurs villages n'ont pas été alimentés en eau potable depuis des semaines. Les responsables locaux imputent cette carence aux piquages illicites de la conduite par des citoyens. En été dernier, une réunion s'est tenue au siège de ladite APC entre les élus locaux, les élus de la commune de Chabet El Ameur et des représentant de l'ADE afin de trouver une issue favorable au problème d'alimentation en eau potable causé par les piquages illicites de la conduite principale au niveau du village Mesguida. Les habitants dudit village avaient signifié leurs opposition à la suppression des piquages illicites et refusent d'obtempérer. Et depuis, rien n'a été fait par les responsables afin d'assurer l'alimentation de plusieurs citoyens en eau potable depuis la chaîne AEP Timezrite-Naciria. Laquelle chaîne souffre depuis des années de plusieurs lacunes liées aux piquages illicites, aux pannes des stations de refoulement ainsi qu'au problème d'électricité. Ladite chaîne est longue de 55 km, elle traverse plusieurs localités rurales telles que Naciria, Timezrite, Issers et Chabet El Ameur. Les régions situées au bout de chaîne, notamment des villages relevant de la commune de Chabet El Ameur, souffrent le martyr. Ils n'ont pas d'eau potable depuis plus de cinq mois. Ils s'approvisionnent depuis des sources qui ne sont pas aussi épargnées du phénomène du piquage illicites par certains citoyens. Au village Ouled Ali, dans la commune de Thénia, les quelques habitants qui ont résisté au phénomène de l'exode rural ne sont pas alimentés en eau potable depuis plusieurs semaines. Ceux habitant le village voisin de Béni Arab, particulièrement ceux situés sur le sommet du village, continuent toujours de s'approvisionner depuis des sources et fontaines. Mais selon un villageois, l'eau de fontaine n'est pas en mesure de répondre aux besoins journaliers des habitants qui ne cessent d'accroître. Malgré les enveloppes financières colossales injectées dans le secteur de l'hydraulique ainsi que le plan d'alimentation et de raccordement de la wilaya au réseau de Taksebt, le problème d'eau potable n'est toujours pas résolu. Car, parallèlement, plusieurs réseaux AEP nécessitent des réfections et parfois de renouvellement en raison de leurs défectuosités. T.O. Dans la commune rurale d'Afir, à une cinquantaine de kilomètres à l'est de la wilaya, le problème se pose avec acuité. Les habitants qui y vivotent endurent d'énormes difficultés pour s'approvisionner en ce liquide vital. « Nous achetons la citerne d'eau non potable à 600 DA et la potable à 800 DA. Au bout d'à peine une semaine, elle estconsommée» déplorera un habitant du chef-lieu d'Afir. Les foyers sont rarement alimentés en eau potable notamment en été où l'eau se fait rare. Les citoyens habitant les zones rurales sont durement touchés par la rareté du liquide. Ils trouvent leur salut dans les fontaines et les ressources se trouvant sur les hauteurs et les massifs forestiers de leurs localités. Malgré qu' ils rencontrent des difficultés dans l'approvisionnement de l'eau, les villageois arrivent toutefois à étancher leur soif. Ici, le recours aux animaux domestiques, notamment les ânes, est légion en raison du caractère abrupt des régions ainsi que les sentiers accidentés menant vers les fontaines. A Timezrite, plusieurs villages n'ont pas été alimentés en eau potable depuis des semaines. Les responsables locaux imputent cette carence aux piquages illicites de la conduite par des citoyens. En été dernier, une réunion s'est tenue au siège de ladite APC entre les élus locaux, les élus de la commune de Chabet El Ameur et des représentant de l'ADE afin de trouver une issue favorable au problème d'alimentation en eau potable causé par les piquages illicites de la conduite principale au niveau du village Mesguida. Les habitants dudit village avaient signifié leurs opposition à la suppression des piquages illicites et refusent d'obtempérer. Et depuis, rien n'a été fait par les responsables afin d'assurer l'alimentation de plusieurs citoyens en eau potable depuis la chaîne AEP Timezrite-Naciria. Laquelle chaîne souffre depuis des années de plusieurs lacunes liées aux piquages illicites, aux pannes des stations de refoulement ainsi qu'au problème d'électricité. Ladite chaîne est longue de 55 km, elle traverse plusieurs localités rurales telles que Naciria, Timezrite, Issers et Chabet El Ameur. Les régions situées au bout de chaîne, notamment des villages relevant de la commune de Chabet El Ameur, souffrent le martyr. Ils n'ont pas d'eau potable depuis plus de cinq mois. Ils s'approvisionnent depuis des sources qui ne sont pas aussi épargnées du phénomène du piquage illicites par certains citoyens. Au village Ouled Ali, dans la commune de Thénia, les quelques habitants qui ont résisté au phénomène de l'exode rural ne sont pas alimentés en eau potable depuis plusieurs semaines. Ceux habitant le village voisin de Béni Arab, particulièrement ceux situés sur le sommet du village, continuent toujours de s'approvisionner depuis des sources et fontaines. Mais selon un villageois, l'eau de fontaine n'est pas en mesure de répondre aux besoins journaliers des habitants qui ne cessent d'accroître. Malgré les enveloppes financières colossales injectées dans le secteur de l'hydraulique ainsi que le plan d'alimentation et de raccordement de la wilaya au réseau de Taksebt, le problème d'eau potable n'est toujours pas résolu. Car, parallèlement, plusieurs réseaux AEP nécessitent des réfections et parfois de renouvellement en raison de leurs défectuosités. T.O.