Depuis la rentrée sociale, le climat socio-professionnel pour certains travailleurs à Constantine est devenu délètère. Plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer des conditions de travail qualifiée de précaires, particulièrement au sein des entreprises étrangères. Les dernières en date sont celles des travailleurs du projet autoroute Est-Ouest, affiliés à l'entreprise japonaise COJAAL. Des centaines de travailleurs observent depuis le 26 du mois de septembre, des sit-in quotidiens pour tirer la sonnette d'alarme sur leur situation professionnelle. Ils interpellent et sollicitent l'intervention l'union de wilaya UGTA ainsi que celle de l'Inspection du travail. Les protestataires qui dénoncent la gestion des œuvres sociales pointent du doigt le syndicat de l'entreprise et l'accuse d'inertie. Ce dernier dans un communiqué rendu public rejette en bloc ces « dénégations ».Le climat demeure, pour l'heure, très tendu et la contestation semble aller crescendo. Le bal de la protesta à Constantine a été inauguré par les 700 travailleurs des chantiers du tramway dont l'employeur n'est autre que l'entreprise italienne Pizzarotti. Au bout de trois jours de débrayage où tous les sites du projet étaient totalement à l'arrêt, les contestataires ont repris le travail après des promesses de négociations autour de la liste revendicative,laquelle liste comporte plusieurs points dont ceux relatifs aux primes de panier et de risque ainsi que l'augmentation salariale, entre autres. Aux dernières nouvelles, l'inspection du travail est intervenue dans le cadre de ses prérogatives et a sommé l'entreprise italienne d'établir une convention collective à même de préserver les droits des effectifs employés et ultime rempart contre toute violation du code de travail algérien. Cela intervient à un moment la représentation UGTA est totalement absente de la scène locale. Depuis l'éviction du secrétaire de wilaya, par Sidi Said, il y a quelques mois, elle est en proie à des tumultes qui desservent le monde du travail. N. D. Depuis la rentrée sociale, le climat socio-professionnel pour certains travailleurs à Constantine est devenu délètère. Plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer des conditions de travail qualifiée de précaires, particulièrement au sein des entreprises étrangères. Les dernières en date sont celles des travailleurs du projet autoroute Est-Ouest, affiliés à l'entreprise japonaise COJAAL. Des centaines de travailleurs observent depuis le 26 du mois de septembre, des sit-in quotidiens pour tirer la sonnette d'alarme sur leur situation professionnelle. Ils interpellent et sollicitent l'intervention l'union de wilaya UGTA ainsi que celle de l'Inspection du travail. Les protestataires qui dénoncent la gestion des œuvres sociales pointent du doigt le syndicat de l'entreprise et l'accuse d'inertie. Ce dernier dans un communiqué rendu public rejette en bloc ces « dénégations ».Le climat demeure, pour l'heure, très tendu et la contestation semble aller crescendo. Le bal de la protesta à Constantine a été inauguré par les 700 travailleurs des chantiers du tramway dont l'employeur n'est autre que l'entreprise italienne Pizzarotti. Au bout de trois jours de débrayage où tous les sites du projet étaient totalement à l'arrêt, les contestataires ont repris le travail après des promesses de négociations autour de la liste revendicative,laquelle liste comporte plusieurs points dont ceux relatifs aux primes de panier et de risque ainsi que l'augmentation salariale, entre autres. Aux dernières nouvelles, l'inspection du travail est intervenue dans le cadre de ses prérogatives et a sommé l'entreprise italienne d'établir une convention collective à même de préserver les droits des effectifs employés et ultime rempart contre toute violation du code de travail algérien. Cela intervient à un moment la représentation UGTA est totalement absente de la scène locale. Depuis l'éviction du secrétaire de wilaya, par Sidi Said, il y a quelques mois, elle est en proie à des tumultes qui desservent le monde du travail. N. D.