Depuis 1945, date de la création de la ligue arabe, les souverains et chefs d'Etat arabes ont tenu plus de 30 réunions au sommet, dont 23 sommets ordinaires, 9 extraordinaires et 01 sommet économique. Ainsi, les 27 et 28 mars 2010 à Syrte en Libye s'est tenu le 22e sommet ordinaire arabe. Les dirigeants arabes avaient alors affirmé leur volonté de mettre fin à tout conflit interarabe "par la consécration du dialogue pour enrayer les causes du conflit et de la division et faire face à l'intervention étrangère". Le 30 mars 2009 à Doha à Qatar, il y'a eu la déclaration du sommet de Doha qui souligne le rejet par les pays membres de la décision de la cour pénale qui avait émis un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar El Bachir. S'agissant de la paix arabo-israélienne, la déclaration de Doha a insisté sur "la nécessite pour Israël de fixer un échéancier pour la mise en œuvre de ses engagements envers le processus de paix". Lors du sommet de Riyad en Arabie saoudite les 28 et 29 mars 2007, il a été décidé une nouvelle fois de redynamiser l'initiative de paix arabe, cinq ans après son lancement appelant Israël à l'accepter. Une année plus tôt, soit les 28 et 29 mars 2006 à Khartoum un communiqué faisant de la région du Moyen-Orient une région exempte d'armes de destruction massive a été rédigé. En 2005, et plus exactement lors du sommet d'Alger, dans la déclaration qui a sanctionné cette rencontre intitulée d'ailleurs «Déclaration d'Alger", les arabes ont réitéré la nécessité de redynamiser l'initiative de paix arabe. A Tunis en 2004, les dirigeants arabes relèvent l'importance de l'initiative arabe et de la feuille de route élaborée par le quartette sur le Moyen-Orient. Les dirigeants arabes ont convenu également le 01 mars 2003 à Charm Echeikh du "rejet total" des frappes contre l'Irak et de la nécessité de résoudre la crise irakienne par les voies pacifiques. Le début de l'actuelle décennie a été marqué par un sommet extraordinaire le 27 octobre 2000 au Caire convoqué un mois après le déclenchement de la seconde intifadha. Il a été décidé lors de cette rencontre de la création d'un fonds de soutien à l'intifadha dénommé 'Fonds de l'intifadha d'El Aqsa" et un autre pour la protection de la mosquée d'El Aqsa (Fonds d'El Aqsa). Durant les années 90, seulement deux sommets ont été tenus. Il s'agit de celui des 9 et 10 août 1990 au Caire (Egypte) tenu une une semaine après l'invasion du koweit par l'Irak et les 28 et 30 mai 1990 à Baghdad lors d'un sommet extraordinaire dénonçant l'intensification de l'émigration juive vers Israël. De 1981 à 1989, les dirigents arabes se sont rencontrés trois fois. Une fois à Dar El Beida, au Maroc en 1981 marqué par le retour de l'Egypte à la Ligue arabe, le deuxième le 11 novembre 1987 à Amman pour l'examen de la guerre entre l'Irak et l'Iran et aussi le 25 novembre 1981 à Fès au Maroc où le sommet a adopté l'initiative de paix israélo-palestinienne, présentée par le prince héritier saoudien, Fahd Ben Abdelaziz. Entre 1970 et 1979, six sommets de la ligue arabe ont été tenus dont le plus important était celui tenu à Alger en novembre 1973. Organisé à la demande de la Syrie et de l'Egypte après la guerre d'octobre, ce sommet avait souligné la nécessité de libérer les terres occupées par Israël en 1967 "et rejette toute situation pouvant porter préjudice à la souveraineté totale des arabes sur El-Qods". Deux sommets se sont tenus durant les années soixante, un seul durant les années cinquante. Le tout premier coup de starter de toute cette série de sommets a été donné les 28 et 29 mai 1946 Anshass en Egypte ou les souverains et dirigeants arabes s'était rencontrés pour appeller à mettre fin à l'immigration juive, à l'indépendance de la Palestine et à la formation d'un gouvernement garantissant les droits à l'ensemble de ses habitants légaux, sans discrimination. Plus de Soixante ans après, cette revendication revient encore tel un leitmotiv dans la majorités des rencontres au sommet de la ligue arabe. Depuis 1945, date de la création de la ligue arabe, les souverains et chefs d'Etat arabes ont tenu plus de 30 réunions au sommet, dont 23 sommets ordinaires, 9 extraordinaires et 01 sommet économique. Ainsi, les 27 et 28 mars 2010 à Syrte en Libye s'est tenu le 22e sommet ordinaire arabe. Les dirigeants arabes avaient alors affirmé leur volonté de mettre fin à tout conflit interarabe "par la consécration du dialogue pour enrayer les causes du conflit et de la division et faire face à l'intervention étrangère". Le 30 mars 2009 à Doha à Qatar, il y'a eu la déclaration du sommet de Doha qui souligne le rejet par les pays membres de la décision de la cour pénale qui avait émis un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar El Bachir. S'agissant de la paix arabo-israélienne, la déclaration de Doha a insisté sur "la nécessite pour Israël de fixer un échéancier pour la mise en œuvre de ses engagements envers le processus de paix". Lors du sommet de Riyad en Arabie saoudite les 28 et 29 mars 2007, il a été décidé une nouvelle fois de redynamiser l'initiative de paix arabe, cinq ans après son lancement appelant Israël à l'accepter. Une année plus tôt, soit les 28 et 29 mars 2006 à Khartoum un communiqué faisant de la région du Moyen-Orient une région exempte d'armes de destruction massive a été rédigé. En 2005, et plus exactement lors du sommet d'Alger, dans la déclaration qui a sanctionné cette rencontre intitulée d'ailleurs «Déclaration d'Alger", les arabes ont réitéré la nécessité de redynamiser l'initiative de paix arabe. A Tunis en 2004, les dirigeants arabes relèvent l'importance de l'initiative arabe et de la feuille de route élaborée par le quartette sur le Moyen-Orient. Les dirigeants arabes ont convenu également le 01 mars 2003 à Charm Echeikh du "rejet total" des frappes contre l'Irak et de la nécessité de résoudre la crise irakienne par les voies pacifiques. Le début de l'actuelle décennie a été marqué par un sommet extraordinaire le 27 octobre 2000 au Caire convoqué un mois après le déclenchement de la seconde intifadha. Il a été décidé lors de cette rencontre de la création d'un fonds de soutien à l'intifadha dénommé 'Fonds de l'intifadha d'El Aqsa" et un autre pour la protection de la mosquée d'El Aqsa (Fonds d'El Aqsa). Durant les années 90, seulement deux sommets ont été tenus. Il s'agit de celui des 9 et 10 août 1990 au Caire (Egypte) tenu une une semaine après l'invasion du koweit par l'Irak et les 28 et 30 mai 1990 à Baghdad lors d'un sommet extraordinaire dénonçant l'intensification de l'émigration juive vers Israël. De 1981 à 1989, les dirigents arabes se sont rencontrés trois fois. Une fois à Dar El Beida, au Maroc en 1981 marqué par le retour de l'Egypte à la Ligue arabe, le deuxième le 11 novembre 1987 à Amman pour l'examen de la guerre entre l'Irak et l'Iran et aussi le 25 novembre 1981 à Fès au Maroc où le sommet a adopté l'initiative de paix israélo-palestinienne, présentée par le prince héritier saoudien, Fahd Ben Abdelaziz. Entre 1970 et 1979, six sommets de la ligue arabe ont été tenus dont le plus important était celui tenu à Alger en novembre 1973. Organisé à la demande de la Syrie et de l'Egypte après la guerre d'octobre, ce sommet avait souligné la nécessité de libérer les terres occupées par Israël en 1967 "et rejette toute situation pouvant porter préjudice à la souveraineté totale des arabes sur El-Qods". Deux sommets se sont tenus durant les années soixante, un seul durant les années cinquante. Le tout premier coup de starter de toute cette série de sommets a été donné les 28 et 29 mai 1946 Anshass en Egypte ou les souverains et dirigeants arabes s'était rencontrés pour appeller à mettre fin à l'immigration juive, à l'indépendance de la Palestine et à la formation d'un gouvernement garantissant les droits à l'ensemble de ses habitants légaux, sans discrimination. Plus de Soixante ans après, cette revendication revient encore tel un leitmotiv dans la majorités des rencontres au sommet de la ligue arabe.