Voilà à peine quelques années, les bijoux en or étaient à la portée du public puisque le gramme de "casse" se négociait aux alentours de 800 DA et celui des produits finis à 1.200 DA. Passage obligé pour les futurs couples, la mariée recevait à titre de cadeau une paire de bracelets en métal précieux d'une valeur oscillant entre huit à douze millions de centimes, selon le poids. La ceinture en louis d'or, les colliers, les parures, boucles d'oreilles et bagues se négociaient à des prix jugés raisonnables puisque les bijoutiers faisaient des affaires juteuses et récoltaient de substantiels dividendes. Le chef-lieu de wilaya abrite des dizaines de bijouteries implantées essentiellement au centre-ville et à l'emblématique rue d'Announa, réputée pour ses magasins et ses commerces qui attirent quotidiennement des milliers d'acheteurs, notamment du sexe féminin. Leurs vitrines abondamment garnies de bijoux rutilants suscitent la curiosité, l'intérêt et le désir d'acheter des jeunes filles, femmes travailleuses ou au foyer. Cependant, la valeur de l'or ayant flambé dans les Bourses des pays étrangers, notre pays a subi les contrecoups puisque le gramme de "casse" est estimé par les professionnels entre 2.500 et 3 mille dinars et celui des bijoux à 4 mille dinars. En conséquence, ces derniers sont devenus très onéreux, et à titre illustratif, la paire de bracelets qui fait partie de la dot de la mariée se négocie entre 24 et 40 millions de centimes ! Cette situation a engendré une baisse d'activité des bijoutiers car rares sont ceux qui se permettent d'acheter cash ! Des mères de familles, conscientes de la cherté de la vie, sont devenues très raisonnables et deviennent indulgentes quant à l'achat de bijoux pour leurs filles qui sont demandées en mariage car le malheureux prétendant ne sait plus où donner de la tête ! Actuellement, les bijoux en argent ou plaqués or sont privilégiés par les familles modestes et qui ne veulent pas et ne peuvent pas se permettre le luxe d'imiter les gens nantis et pleins aux as ! Voilà à peine quelques années, les bijoux en or étaient à la portée du public puisque le gramme de "casse" se négociait aux alentours de 800 DA et celui des produits finis à 1.200 DA. Passage obligé pour les futurs couples, la mariée recevait à titre de cadeau une paire de bracelets en métal précieux d'une valeur oscillant entre huit à douze millions de centimes, selon le poids. La ceinture en louis d'or, les colliers, les parures, boucles d'oreilles et bagues se négociaient à des prix jugés raisonnables puisque les bijoutiers faisaient des affaires juteuses et récoltaient de substantiels dividendes. Le chef-lieu de wilaya abrite des dizaines de bijouteries implantées essentiellement au centre-ville et à l'emblématique rue d'Announa, réputée pour ses magasins et ses commerces qui attirent quotidiennement des milliers d'acheteurs, notamment du sexe féminin. Leurs vitrines abondamment garnies de bijoux rutilants suscitent la curiosité, l'intérêt et le désir d'acheter des jeunes filles, femmes travailleuses ou au foyer. Cependant, la valeur de l'or ayant flambé dans les Bourses des pays étrangers, notre pays a subi les contrecoups puisque le gramme de "casse" est estimé par les professionnels entre 2.500 et 3 mille dinars et celui des bijoux à 4 mille dinars. En conséquence, ces derniers sont devenus très onéreux, et à titre illustratif, la paire de bracelets qui fait partie de la dot de la mariée se négocie entre 24 et 40 millions de centimes ! Cette situation a engendré une baisse d'activité des bijoutiers car rares sont ceux qui se permettent d'acheter cash ! Des mères de familles, conscientes de la cherté de la vie, sont devenues très raisonnables et deviennent indulgentes quant à l'achat de bijoux pour leurs filles qui sont demandées en mariage car le malheureux prétendant ne sait plus où donner de la tête ! Actuellement, les bijoux en argent ou plaqués or sont privilégiés par les familles modestes et qui ne veulent pas et ne peuvent pas se permettre le luxe d'imiter les gens nantis et pleins aux as !