Les participants à la journée d'étude portant sur le projet de loi sur la profession d'avocat, clôturé tard dans la journée de samedi à Tlemcen se sont félicités des «efforts consentis par le ministre de la Justice, Garde des sceaux, pour activer la promulgation de la loi portant sur la profession d'avocat». Ainsi, les participants ont, dans un communiqué final, rapporté par l'APS, contenant les recommandations de cette rencontre organisée par l'Union nationale des barreaux d'Algérie (UNBA), appelé les membres de l'Assemblée populaire nationale (APN) et du Conseil de la nation, à prendre en considération, dans le débat de ce projet, les préoccupations soulevées à l'occasion de cette journée de sensibilisation. Par ailleurs, les travaux de cette rencontre ont été marqués par une conférence de Me Benmansour Benali, ex bâtonnier de Tlemcen sur "l'histoire de la profession d'avocat en Algérie». Il donne à cet effet, un aperçu sur l'évolution de la pratique de ce métier, en s'appuyant sur des dates historiques qui ont caractérisé les mutations et les conditions d'accès à cette profession. Une deuxième conférence, abordant des articles du projet de loi portant sur la profession d'avocat, a été animée par Me Msirdi Abdelhak, bâtonnier à Tlemcen, qui a cité entre autres l'article 24 stipulant "le dysfonctionnement que peut provoquer l'avocat lors de la séance", en s'interrogeant sur la nature et le type de ce dysfonctionnement. Celui-ci a également estimé, lors de cette journée d'étude marquée par la participation de bâtonniers et avocats de différentes régions du pays, que le projet actuel même s'il arrange à un certain degré les "hommes en robenoire", il contient "des vides juridiques" qu'on peut pallier, en clarifiant certains articles. Lors des débats, des bâtonniers ont souligné que le projet de loi sur la profession d'avocat est venu pour réviser la loi actuelle, afin d'assurer une cohésion avec les principes constitutionnels et les nouveautés qu'a connues l'Algérie à tous les niveaux, et avec les traités et les conventions internationaux. Pour les robes noires, ce nouveau texte garantit une véritable formation des avocats, étant donné que le parcours de formation commencera au niveau de l'école supérieure des avocats, pour une durée de deux années, suivi d'un stage d'une année supplémentaire pour que l'avocat puisse exercer effectivement sa profession. Les participants à la journée d'étude portant sur le projet de loi sur la profession d'avocat, clôturé tard dans la journée de samedi à Tlemcen se sont félicités des «efforts consentis par le ministre de la Justice, Garde des sceaux, pour activer la promulgation de la loi portant sur la profession d'avocat». Ainsi, les participants ont, dans un communiqué final, rapporté par l'APS, contenant les recommandations de cette rencontre organisée par l'Union nationale des barreaux d'Algérie (UNBA), appelé les membres de l'Assemblée populaire nationale (APN) et du Conseil de la nation, à prendre en considération, dans le débat de ce projet, les préoccupations soulevées à l'occasion de cette journée de sensibilisation. Par ailleurs, les travaux de cette rencontre ont été marqués par une conférence de Me Benmansour Benali, ex bâtonnier de Tlemcen sur "l'histoire de la profession d'avocat en Algérie». Il donne à cet effet, un aperçu sur l'évolution de la pratique de ce métier, en s'appuyant sur des dates historiques qui ont caractérisé les mutations et les conditions d'accès à cette profession. Une deuxième conférence, abordant des articles du projet de loi portant sur la profession d'avocat, a été animée par Me Msirdi Abdelhak, bâtonnier à Tlemcen, qui a cité entre autres l'article 24 stipulant "le dysfonctionnement que peut provoquer l'avocat lors de la séance", en s'interrogeant sur la nature et le type de ce dysfonctionnement. Celui-ci a également estimé, lors de cette journée d'étude marquée par la participation de bâtonniers et avocats de différentes régions du pays, que le projet actuel même s'il arrange à un certain degré les "hommes en robenoire", il contient "des vides juridiques" qu'on peut pallier, en clarifiant certains articles. Lors des débats, des bâtonniers ont souligné que le projet de loi sur la profession d'avocat est venu pour réviser la loi actuelle, afin d'assurer une cohésion avec les principes constitutionnels et les nouveautés qu'a connues l'Algérie à tous les niveaux, et avec les traités et les conventions internationaux. Pour les robes noires, ce nouveau texte garantit une véritable formation des avocats, étant donné que le parcours de formation commencera au niveau de l'école supérieure des avocats, pour une durée de deux années, suivi d'un stage d'une année supplémentaire pour que l'avocat puisse exercer effectivement sa profession.