Selon des indications fournies par les services de la wilaya, il y a 27 décharges sauvages non contrôlées au niveau de Jijel, s'étalant sur une superficie de quelque 15 ha. Selon des indications fournies par les services de la wilaya, il y a 27 décharges sauvages non contrôlées au niveau de Jijel, s'étalant sur une superficie de quelque 15 ha. La prolifération des déchets ménagers, qui polluent en permanence l'environnement de l'ensemble des 28 communes de la wilaya de Jijel, offre un tableau des plus malsains. Le phénomène d'urbanisation anarchique de ces dernières années, auquel il faut ajouter l'exode massif des populations vers les centres urbains et une démographie qui reprend la courbe ascendante ont engendré un véritable problème d'hygiène publique. La gestion de cette problématique demeure un casse-tête pour les élus locaux des communes qui n'arrivent plus à suivre la dégradation effrénée du cadre de vie. Les populations de plusieurs localités, comme celles d'El-Milia, Settara et Oudjana, n'ont cessé d'attirer l'attention, à qui veut les entendre, sur les retombées négatives des émanations de fumée et de gaz échappant des décharges non contrôlées se trouvant à proximité de leurs lieux de résidences. Selon des indications fournies par les services de la wilaya, il y a 27 décharges sauvages non contrôlées au niveau de Jijel, s'étalant sur une superficie de quelque 15 ha. A l'opposé de cela, seul le chef-lieu de wilaya dispose, depuis le 14 novembre 2008, d'un centre d'enfouissement technique opérationnel au niveau du lieu-dit Zkalba. La décharge sauvage de Mezghitane, d'une superficie de 12 ha, surplombant les hauteurs de la commune de Jijel, n'est plus en service, après sa fermeture, depuis maintenant près de deux ans. Pour les deux autres projets similaires implantés dans les communes d'El-Milia (Zerzour) et Taher (D'mina), qui devront prendre en charge les déchets de 10 communes limitrophes, leur mise en service tarde à voir le jour. Un retard qui cause davantage de tort à l'environnement et au cadre de vie des populations. Quant à la quantité de déchets générés par la wilaya, elle avoisine les 518,65 tonnes par jour de déchets ménagers, dont 70,3% de matière organique, 9,9% de papier et 8,3% de plastique, entre autres. A la problématique des déchets ménagers, la wilaya de Jijel est confrontée à la gestion des déchets agricoles (solides et liquides).De l'autre côté, le traitement de certains types de déchets se fait actuellement en partie au niveau des incinérateurs des villes de Jijel, Taher et El-Milia, au nombre de six, dont deux se trouvaient au début de cette année en panne. La prolifération des déchets ménagers, qui polluent en permanence l'environnement de l'ensemble des 28 communes de la wilaya de Jijel, offre un tableau des plus malsains. Le phénomène d'urbanisation anarchique de ces dernières années, auquel il faut ajouter l'exode massif des populations vers les centres urbains et une démographie qui reprend la courbe ascendante ont engendré un véritable problème d'hygiène publique. La gestion de cette problématique demeure un casse-tête pour les élus locaux des communes qui n'arrivent plus à suivre la dégradation effrénée du cadre de vie. Les populations de plusieurs localités, comme celles d'El-Milia, Settara et Oudjana, n'ont cessé d'attirer l'attention, à qui veut les entendre, sur les retombées négatives des émanations de fumée et de gaz échappant des décharges non contrôlées se trouvant à proximité de leurs lieux de résidences. Selon des indications fournies par les services de la wilaya, il y a 27 décharges sauvages non contrôlées au niveau de Jijel, s'étalant sur une superficie de quelque 15 ha. A l'opposé de cela, seul le chef-lieu de wilaya dispose, depuis le 14 novembre 2008, d'un centre d'enfouissement technique opérationnel au niveau du lieu-dit Zkalba. La décharge sauvage de Mezghitane, d'une superficie de 12 ha, surplombant les hauteurs de la commune de Jijel, n'est plus en service, après sa fermeture, depuis maintenant près de deux ans. Pour les deux autres projets similaires implantés dans les communes d'El-Milia (Zerzour) et Taher (D'mina), qui devront prendre en charge les déchets de 10 communes limitrophes, leur mise en service tarde à voir le jour. Un retard qui cause davantage de tort à l'environnement et au cadre de vie des populations. Quant à la quantité de déchets générés par la wilaya, elle avoisine les 518,65 tonnes par jour de déchets ménagers, dont 70,3% de matière organique, 9,9% de papier et 8,3% de plastique, entre autres. A la problématique des déchets ménagers, la wilaya de Jijel est confrontée à la gestion des déchets agricoles (solides et liquides).De l'autre côté, le traitement de certains types de déchets se fait actuellement en partie au niveau des incinérateurs des villes de Jijel, Taher et El-Milia, au nombre de six, dont deux se trouvaient au début de cette année en panne.