Christopher Ross est arrivé hier à Alger, dans une première étape d'une tournée dans le Maghreb, où il devait rencontrer les parties directement concernées dans le conflit au Sahara Occidental en plus des pays voisins, l'Algérie et la Mauritanie. Cette tournée, entre dans le cadre des préparatifs du prochain round de négociations informelles prévues en novembre prochain entre la Front Polisario et le Maroc. Christopher Ross est arrivé hier à Alger, dans une première étape d'une tournée dans le Maghreb, où il devait rencontrer les parties directement concernées dans le conflit au Sahara Occidental en plus des pays voisins, l'Algérie et la Mauritanie. Cette tournée, entre dans le cadre des préparatifs du prochain round de négociations informelles prévues en novembre prochain entre la Front Polisario et le Maroc. L'envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies pour le Sahara Occidental a qualifié d' «intenable» le statu quo qui caractérise la question, appelant les deux parties en conflit à faire preuve de volonté politique pour parvenir à une solution. «Il n'y a pas de doute que le statu quo dans la question du Sahara Occidental est intenable à long terme étant donné les coûts et les dangers qu'il entraîne», a déclaré hier, Christopher Ross, au terme de l'audience que lui a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Tout en appelant les parties belligérantes, le Maroc et le Front Polisario en l'occurrence, «à faire preuve de volonté politique nécessaire pour surmonter ce statu quo», l'envoyé spécial onusien a soutenu que «cela exige des négociations sans conditions préalables», dans une allusion manifeste à la position marocaine sur la question qui persiste dans son plan d'autonomie sous la chapelle du Royaume. Christopher Ross est arrivé hier à Alger, dans une première étape d'une tournée dans le Maghreb, où il devait rencontrer les parties directement concernées dans le conflit au Sahara Occidental en plus des pays voisins, l'Algérie et la Mauritanie. Cette tournée, la quatrième du genre dans la région, entre dans le cadre des préparatifs du prochain round de négociations informelles prévues en novembre prochain entre la Front Polisario et le Maroc. Rappelant dans ce sens que les deux parties avaient engagé en juin 2007 des pourparlers directs sous l'égide des Nations unies, sans pour autant parvenir à une «solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui pourvoie à l'autodétermination du peuple du Sahara Occidental» telle que souhaitée par l'ONU. La dernière réunion informelle sur le Sahara Occidental a eu lieu à New York, en février dernier, date à laquelle les parties ont réaffirmé leur engagement à poursuivre leurs négociations dès que possible. L'envoyé personnel du SG des Nations unies pour le Sahara Occidental se rendra demain dans les camps de réfugiés sahraouis dans le cadre de sa tournée maghrébine, selon une source officielle citée par l'agence de presse sahraouie. La partie sahraouie, par la voix de son Premier ministre, Abdelkader Taleb Omar, s'est dit optimiste quant à la venue de Christopher Ross, et réitéré de là même sa volonté de faire tout son possible pour aider l'envoyé onusien dans sa mission. Il a exprimé par ailleurs les attentes du peuple sahraoui qui espèrent que l'ONU fasse des pressions sur le Maroc afin de « revenir sur sa position intransigeante (d'autonomie) et à se conformer au droit et à la légalité internationale ». L'envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies pour le Sahara Occidental a qualifié d' «intenable» le statu quo qui caractérise la question, appelant les deux parties en conflit à faire preuve de volonté politique pour parvenir à une solution. «Il n'y a pas de doute que le statu quo dans la question du Sahara Occidental est intenable à long terme étant donné les coûts et les dangers qu'il entraîne», a déclaré hier, Christopher Ross, au terme de l'audience que lui a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Tout en appelant les parties belligérantes, le Maroc et le Front Polisario en l'occurrence, «à faire preuve de volonté politique nécessaire pour surmonter ce statu quo», l'envoyé spécial onusien a soutenu que «cela exige des négociations sans conditions préalables», dans une allusion manifeste à la position marocaine sur la question qui persiste dans son plan d'autonomie sous la chapelle du Royaume. Christopher Ross est arrivé hier à Alger, dans une première étape d'une tournée dans le Maghreb, où il devait rencontrer les parties directement concernées dans le conflit au Sahara Occidental en plus des pays voisins, l'Algérie et la Mauritanie. Cette tournée, la quatrième du genre dans la région, entre dans le cadre des préparatifs du prochain round de négociations informelles prévues en novembre prochain entre la Front Polisario et le Maroc. Rappelant dans ce sens que les deux parties avaient engagé en juin 2007 des pourparlers directs sous l'égide des Nations unies, sans pour autant parvenir à une «solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui pourvoie à l'autodétermination du peuple du Sahara Occidental» telle que souhaitée par l'ONU. La dernière réunion informelle sur le Sahara Occidental a eu lieu à New York, en février dernier, date à laquelle les parties ont réaffirmé leur engagement à poursuivre leurs négociations dès que possible. L'envoyé personnel du SG des Nations unies pour le Sahara Occidental se rendra demain dans les camps de réfugiés sahraouis dans le cadre de sa tournée maghrébine, selon une source officielle citée par l'agence de presse sahraouie. La partie sahraouie, par la voix de son Premier ministre, Abdelkader Taleb Omar, s'est dit optimiste quant à la venue de Christopher Ross, et réitéré de là même sa volonté de faire tout son possible pour aider l'envoyé onusien dans sa mission. Il a exprimé par ailleurs les attentes du peuple sahraoui qui espèrent que l'ONU fasse des pressions sur le Maroc afin de « revenir sur sa position intransigeante (d'autonomie) et à se conformer au droit et à la légalité internationale ».