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Des ralentisseurs hors normes à Alger
Ils sont posés de manière anarchique
Publié dans Le Midi Libre le 24 - 10 - 2010

Un ralentisseur est un aménagement censé être placé en agglomération, aux endroits où la circulation des véhicules présenterait un danger pour les autres usagers, surtout pour les piétons, pour modérer la vitesse des véhicules.
Un ralentisseur est un aménagement censé être placé en agglomération, aux endroits où la circulation des véhicules présenterait un danger pour les autres usagers, surtout pour les piétons, pour modérer la vitesse des véhicules.
Ceci ne semble être le cas dans la wilaya d'Alger. En effet, des ralentisseurs hors normes et non conformes à la réglementation, a-t-on constaté, sont posés dans les impasses, les routes de campagne et même ceux menant vers des hôpitaux. Ce genre de « dos d'âne » se trouve, malheureusement, partout dans l'Algérois. Ainsi, pour se rendre à... n'importe quel partie de la capitale, l'automobiliste se voit contraint de traverser ces « briseurs de suspension ». Certaines communes et mêmes des particuliers, faut-il le dire, osent poser des ralentisseurs comme bon leur semble. A l'avenue Khlalfa Adb El Aziz à Ben Aknoun, juste après l'accident d'un véhicule, mardi passé, ayant heurté une jeune étudiante, plusieurs dos d'âne ont été posés sur l'artère. Il faut dire que ledit chemin mène à plusieurs établissements fréquentés à l'instar de la faculté des Sciences juridiques et administratives, le lycée international Albert Camus et différentes administrations. Un habitué de cette voie nous dira à ce propos : « la route est encombrée tout au long de la journée, même si on veut faire de la vitesse on ne peut pas ». Il est toutefois utile de préciser que l'accident s'est produit, a-t-on appris par des sources locales, sur le tronçon où les trottoirs n'existent pas. En outre, il y a lieu de rappeler que l'installation des 14 ralentisseurs, suite à un accident de la circulation, sur la route menant de Ouled Fayet vers Baba Hassan et qui est de 4 Km, n'avait fait que créer des bouchons. Même les routes menant vers les hôpitaux ne sont pas àen reste. Le chemin principal conduisant vers l'Hôpital Issaâd Hassani de Béni Messous n'échappe pas à la «règle».
Les ambulances et ceux se dirigeant « en urgence » vers le CHU se retrouvent devant ces ralentisseurs, alors que la fluidité est impérativement recommandée sur cet axe routier. Dans le quartier Parc Miremont à Bouzaréah, les ralentisseurs mettent les mécaniques à rude épreuve. Le nombre, le mode et les endroits choisis pour installer ces « dos d'âne » ne semblent préoccuper « les responsables ». Un rond point dans la dite localité, à titre d'exemple, est « cerclé » par plusieurs ralentisseurs. Autrement dit, tous ceux qui font le rond point tombent à pic sur ces « briseurs d'amortisseurs ». Par ailleurs, ces dos d'âne causent du un retard supplémentaire, soulignent les automobilistes. « D'habitude je sors de chez moi à 7h, mais après l'installation des ralentisseurs qui mènent à mon lieu de travail, je sors dix minutes en avance » dira un habitant à la cité des 720 logements de Ain Naâdja, se plaignant de la situation.
Ceci ne semble être le cas dans la wilaya d'Alger. En effet, des ralentisseurs hors normes et non conformes à la réglementation, a-t-on constaté, sont posés dans les impasses, les routes de campagne et même ceux menant vers des hôpitaux. Ce genre de « dos d'âne » se trouve, malheureusement, partout dans l'Algérois. Ainsi, pour se rendre à... n'importe quel partie de la capitale, l'automobiliste se voit contraint de traverser ces « briseurs de suspension ». Certaines communes et mêmes des particuliers, faut-il le dire, osent poser des ralentisseurs comme bon leur semble. A l'avenue Khlalfa Adb El Aziz à Ben Aknoun, juste après l'accident d'un véhicule, mardi passé, ayant heurté une jeune étudiante, plusieurs dos d'âne ont été posés sur l'artère. Il faut dire que ledit chemin mène à plusieurs établissements fréquentés à l'instar de la faculté des Sciences juridiques et administratives, le lycée international Albert Camus et différentes administrations. Un habitué de cette voie nous dira à ce propos : « la route est encombrée tout au long de la journée, même si on veut faire de la vitesse on ne peut pas ». Il est toutefois utile de préciser que l'accident s'est produit, a-t-on appris par des sources locales, sur le tronçon où les trottoirs n'existent pas. En outre, il y a lieu de rappeler que l'installation des 14 ralentisseurs, suite à un accident de la circulation, sur la route menant de Ouled Fayet vers Baba Hassan et qui est de 4 Km, n'avait fait que créer des bouchons. Même les routes menant vers les hôpitaux ne sont pas àen reste. Le chemin principal conduisant vers l'Hôpital Issaâd Hassani de Béni Messous n'échappe pas à la «règle».
Les ambulances et ceux se dirigeant « en urgence » vers le CHU se retrouvent devant ces ralentisseurs, alors que la fluidité est impérativement recommandée sur cet axe routier. Dans le quartier Parc Miremont à Bouzaréah, les ralentisseurs mettent les mécaniques à rude épreuve. Le nombre, le mode et les endroits choisis pour installer ces « dos d'âne » ne semblent préoccuper « les responsables ». Un rond point dans la dite localité, à titre d'exemple, est « cerclé » par plusieurs ralentisseurs. Autrement dit, tous ceux qui font le rond point tombent à pic sur ces « briseurs d'amortisseurs ». Par ailleurs, ces dos d'âne causent du un retard supplémentaire, soulignent les automobilistes. « D'habitude je sors de chez moi à 7h, mais après l'installation des ralentisseurs qui mènent à mon lieu de travail, je sors dix minutes en avance » dira un habitant à la cité des 720 logements de Ain Naâdja, se plaignant de la situation.


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