Promouvoir la lecture dans le milieu des enfants est une mission assez difficile pourtant très nécessaire «si on veut obtenir une génération future d'intellectuels et créative». Une mission que prend au sérieux l'association «Génération de demain» de la wilaya de Tipasa qui est une filiale de celle de Constantine. Promouvoir la lecture dans le milieu des enfants est une mission assez difficile pourtant très nécessaire «si on veut obtenir une génération future d'intellectuels et créative». Une mission que prend au sérieux l'association «Génération de demain» de la wilaya de Tipasa qui est une filiale de celle de Constantine. Une association créée, il y a près d un an maintenant dans la wilaya de Tipasa. C'est simplement une continuité de l'association génération future de la commune de Didouch Mourad dans la wilaya de Constantine, créée, il y a près de trois ans maintenant, créée elle par deux mamans enseignantes de profession et toutes les deux amoureuses de la lecture en général et de la littérature en particulier. Elles ont tout simplement voulu transmettre cette passion magnifique à leurs enfants et à la génération future en général d'où vient l'appellation de l'association, nous a dit , Mme Noura Ben Touba, présidente de l'association «mère» –celle de Constantine- et son adjointe Mme Chouali Hamida. «Il est important d'apprendre à nos enfants à aimer la lecture même s'ils ont d'autres passion et leur expliquer qu'à travers la lecture ont peut découvrir le monde et ouvrir nos horizons vers toute autres passion et hobbies». L'idée de créer une autre association ou plutôt une filiale de ladite association dans la wilaya de Tipasa est venue des membres lors d'une rencontre avec l'association du développement de la femme rurale de la commune de Cherchell, l'été 2009 où les membres de l'association mère se sont déplacés à Tipasa à l'occasion de la semaine culturelle de Constantine à Tipasa. Après l'échange des idées et des visions à propos de la lecture et la nécessité de sa promotion notamment au milieu des jeunes et des enfants, le mouvement associatif de la wilaya de Tipasa s'est montré alors très intéressé par l'idée et, en collaboration avec la bibliothèque de la wilaya, le rêve est devenu réalité l'idée s'est concrétisée. Aujourd'hui près de 50 membres forment l'association. A la Génération future de Tipasa très nombreux sont les enfants ainsi que leurs parents qui y ont adhéré. Ils ont organisé plusieurs activités durant la rentrée scolaire précédente. «Nous avons pu créer un petit endroit de rencontre et de lecture à des dizaines de parents accompagnés de leurs enfants qui sont aujourd'hui permanents ou même des gens qui viennent durant les week-ends seulement. En tout cas, l'endroit est ouvert à tout le monde et les participations symboliques. Une ambiance familiale Présidé par une jeune femme, Laila Ben Aouda, «l'association attire de plus en plus d' »écoliers et de collégiens qui y trouvent leur refuge préféré puisque ici, ils peuvent lire tranquillement et dans une ambiance plutôt familiale». Nous faisons aujourd'hui des collectes de livres usagers ou neufs et les gens sont de plus en plus nombreux à y contribuer. Ils trouvent l'idée magnifique puisque plusieurs personnes peuvent désormais bénéficier de ces livres», nous a dit Mlle Ben Aouda, enseignante de formation aujourd'hui en chômage mais qui trouve dans son association, « occupation passionnante,de transmettre le savoir, une merveilleuse passion et habitude qu'est la lecture Quand j'étais encore petite, j'avais pas la chance d'avoir des centaines de milliers de livres dans une bibliothèque dont le prix d'adhésion est encore symbolique», dira la jeune présidente soutenant les propos de la présidente de l'association de Constantine Mme Noura Ben Touba, lors d'une assemblée qui a réuni plus de dix associations de différentes régions du pays dans la commune de Cherchell, dimanche dernier. «Nos enfants sont pris aujourd'hui par les nouvelles technologies et le Net a occupé tout leur temps, de nos jours les enfants sont beaucoup plus accrochés à leurs écrans et laissent leurs livres à la poussière et l'oubli», ajoute-t-elle. Donc en tant que mamans, les deux dames, initiatrices du projet de l'association de promotion de la lecture, ont cherché à trouver les meilleurs moyens afin d'attirer les enfants vers l'ancienne passion ; la lecture et ce en introduisant des dizaines d'autres hobbies dans les programmes de leurs association. Lecture, expression artistique et sports sont toutes des activités que proposent les membres de l'association à leurs petits adhérents. Chose que font aujourd'hui aussi les responsables de l'association de Tipasa. Et les responsables de ladite organisation ont été très surpris, tout comme ceux de Constantine, «d'apprendre que les petits Tipasiens vouent eux aussi , une forte passion pour la lecture et l'expression artistique, à en juger par leur affluence vers le siège de l'association qui a organisé pour les dernières vacances scolaires plusieurs ateliers aux profit des petits lecteurs et des jeunes artistes dans différents genres d'art à savoir le dessin, le chant et les petits travaux manuels. Il faut dire que les deux ateliers réservés à la lecture «drainent un grand nombre d'enfants de différents âges». Mais pour rester dans la complexité du monde actuel, les responsables de l'association mère ont conseillé à ceux de Tipasa de faire comme à Constantine et d'ajouter une touche de technologie à leur siège et ce en ouvrant un atelier informatique, toujours dans le but de promouvoir la lecture en introduisant des livres numériques. Ce que font les membres de l'association pourtant «à contre cœur» parce que selon la présidente, "ce genre de livre attache toujours l'enfant à l'écran et l'éloigne de la bonne compagnie des livres». Bannir les longues heures devant la télé "Il n'y a pas plus beau que de voir un enfant qui tient entre ses mains un petit livre en essayant de voyager dans son imagination et ouvrir ses horizons devant son esprit et même lire entre les lignes et se poser autant de questions même en lisant une petites histoire imaginaire». Tout comme Mme Ben Touba, la jeune présidente de l'association de Tipasa, a toujours eu «ce penchant vers la lecture» . chez elle, elle s'est toujours intéressée aux livres des grands comme ceux de son père, professeur de philosophie au lycée. "J'ai toujours adoré la lecture et c'est pour ça d'ailleurs que je me suis vite intéressée à l'idée de fonder une association semblable à celle de Mme Touba qui partage avec moi cette même passion et de laquelle j'ai beaucoup et je continue à apprendre», dira la présidente de ladite association. Mme Ben de son côté n'a pas hésité à rappeler son faible et son amour infini à la lecture ; «je vous ai déjà dit qu' avant d'avoir l'idée de créer une association, j'incitais mes enfants et mais élèves à lire. Je passais des heures à leur lire des livres, de petits bouquins et dans tous les domaines, chacun dans le secteur qui le passionne, science, littérature, arts où l'on traite différents thèmes, voyage, expression artistique, environnement, informatique, histoire, géographie patrimoine et ce en vue d'enrichir les connaissances des enfants dans tous les domaines». Il faut rappeler que les enfants venant de différents quartiers de la commune de Didouche Mourad à Constantine, trouvent tout le plaisir, dans les différents ateliers notamment ceux de la lecture où ils «voyagent dans les temps et les endroits du fameux livre «Mille et une nuits» et Les aventures de Sindbad le Marin», «le voyageur Ibn Batouta» et bien d'autres. Désormais des dizaines d'enfants de la wilaya de Tipasa ont pu rejoindre ce monde magique et pu ainsi élargir leurs horizons. Les enfants adorant le voyage et l'aventure se confient à leurs petites histoire et deviennent eux-mêmes les héros de leur inquent les ennemies et les forces du mal ; «cet espace que nous avons créé pour nos enfants devient un espace d'évasion et aussi d'ouverture sur les cultures du monde et même celle de notre pays puisque hélas nous sommes encore loin de la promotion du tourisme intérieur dans notre pays», soutient Mlle Ben Aouda. Le problème des financements L'association de Tipasa, récente elle aussi, souffre de son côté de l'absence du financement et active tout comme celle de Constantine, avec ces propres moyens puisque elle ne reçoit pas de subventions de la part des pouvoirs publics. «Nous comptons plus sur les contributions des membres et de plusieurs autres organisations nationales et même internationales aujourd'hui pour avoir plus de livres dans nos petites bibliothèques et jusqu'à aujourd'hui, nous nous en sortons assez bien», ajouteront les deux présidentes. Il faut noter que les deux bureaux contribuent dans plusieurs activités et tracent de plus en plus de programmes pour non seulement promouvoir la lecture mais aussi pour apporter de l'aide aux personnes nécessiteuses surtout les enfants scolarisés. Elles proposent aujourd'hui des cours de soutien, mais aussi des cours d'alphabétisation aux femmes notamment celles adhérentes dans l'association d'aides et de développement de la femme rurale dans les deux wilayas de Tipasa et Constantine. «On met à la disposition des enfants des cahiers d'activités et des jeux éducatifs pour stimuler l'observation et susciter la réflexion chez eux». L'association de Tipasa qui active sous l'égide de celle de Constantine a aussi plusieurs autres activités :elle défend aussi l'environnement et la créativité. Nous incitons toujours la tranche juvénile notamment les enfants puisque des ateliers de création existent ; «nous encourageons dans notre association les enfants qui ont une passion vers la rédaction et l'écriture, d'écrire de petites histoires que nous mettons après à la bibliothèque de l'association pour justement mettre en valeur leur travail, chose qui les incite à produire plus et à fournir beaucoup plus d'efforts afin d'élargir leur sens de créativité», dira la présidente de l'association. L'art avec tous ces genres est aussi présent en force dans l'association et les enfants ont le droit de former leurs petites chorales, groupes, dessinateurs et petits menuisiers et même sculpteurs et ils sont souvent présents dans les différentes manifestations de la commune et même de la wilaya et les wilayaq voisines où ils chantent ou organisent fièrement leurs petites expositions. Une association créée, il y a près d un an maintenant dans la wilaya de Tipasa. C'est simplement une continuité de l'association génération future de la commune de Didouch Mourad dans la wilaya de Constantine, créée, il y a près de trois ans maintenant, créée elle par deux mamans enseignantes de profession et toutes les deux amoureuses de la lecture en général et de la littérature en particulier. Elles ont tout simplement voulu transmettre cette passion magnifique à leurs enfants et à la génération future en général d'où vient l'appellation de l'association, nous a dit , Mme Noura Ben Touba, présidente de l'association «mère» –celle de Constantine- et son adjointe Mme Chouali Hamida. «Il est important d'apprendre à nos enfants à aimer la lecture même s'ils ont d'autres passion et leur expliquer qu'à travers la lecture ont peut découvrir le monde et ouvrir nos horizons vers toute autres passion et hobbies». L'idée de créer une autre association ou plutôt une filiale de ladite association dans la wilaya de Tipasa est venue des membres lors d'une rencontre avec l'association du développement de la femme rurale de la commune de Cherchell, l'été 2009 où les membres de l'association mère se sont déplacés à Tipasa à l'occasion de la semaine culturelle de Constantine à Tipasa. Après l'échange des idées et des visions à propos de la lecture et la nécessité de sa promotion notamment au milieu des jeunes et des enfants, le mouvement associatif de la wilaya de Tipasa s'est montré alors très intéressé par l'idée et, en collaboration avec la bibliothèque de la wilaya, le rêve est devenu réalité l'idée s'est concrétisée. Aujourd'hui près de 50 membres forment l'association. A la Génération future de Tipasa très nombreux sont les enfants ainsi que leurs parents qui y ont adhéré. Ils ont organisé plusieurs activités durant la rentrée scolaire précédente. «Nous avons pu créer un petit endroit de rencontre et de lecture à des dizaines de parents accompagnés de leurs enfants qui sont aujourd'hui permanents ou même des gens qui viennent durant les week-ends seulement. En tout cas, l'endroit est ouvert à tout le monde et les participations symboliques. Une ambiance familiale Présidé par une jeune femme, Laila Ben Aouda, «l'association attire de plus en plus d' »écoliers et de collégiens qui y trouvent leur refuge préféré puisque ici, ils peuvent lire tranquillement et dans une ambiance plutôt familiale». Nous faisons aujourd'hui des collectes de livres usagers ou neufs et les gens sont de plus en plus nombreux à y contribuer. Ils trouvent l'idée magnifique puisque plusieurs personnes peuvent désormais bénéficier de ces livres», nous a dit Mlle Ben Aouda, enseignante de formation aujourd'hui en chômage mais qui trouve dans son association, « occupation passionnante,de transmettre le savoir, une merveilleuse passion et habitude qu'est la lecture Quand j'étais encore petite, j'avais pas la chance d'avoir des centaines de milliers de livres dans une bibliothèque dont le prix d'adhésion est encore symbolique», dira la jeune présidente soutenant les propos de la présidente de l'association de Constantine Mme Noura Ben Touba, lors d'une assemblée qui a réuni plus de dix associations de différentes régions du pays dans la commune de Cherchell, dimanche dernier. «Nos enfants sont pris aujourd'hui par les nouvelles technologies et le Net a occupé tout leur temps, de nos jours les enfants sont beaucoup plus accrochés à leurs écrans et laissent leurs livres à la poussière et l'oubli», ajoute-t-elle. Donc en tant que mamans, les deux dames, initiatrices du projet de l'association de promotion de la lecture, ont cherché à trouver les meilleurs moyens afin d'attirer les enfants vers l'ancienne passion ; la lecture et ce en introduisant des dizaines d'autres hobbies dans les programmes de leurs association. Lecture, expression artistique et sports sont toutes des activités que proposent les membres de l'association à leurs petits adhérents. Chose que font aujourd'hui aussi les responsables de l'association de Tipasa. Et les responsables de ladite organisation ont été très surpris, tout comme ceux de Constantine, «d'apprendre que les petits Tipasiens vouent eux aussi , une forte passion pour la lecture et l'expression artistique, à en juger par leur affluence vers le siège de l'association qui a organisé pour les dernières vacances scolaires plusieurs ateliers aux profit des petits lecteurs et des jeunes artistes dans différents genres d'art à savoir le dessin, le chant et les petits travaux manuels. Il faut dire que les deux ateliers réservés à la lecture «drainent un grand nombre d'enfants de différents âges». Mais pour rester dans la complexité du monde actuel, les responsables de l'association mère ont conseillé à ceux de Tipasa de faire comme à Constantine et d'ajouter une touche de technologie à leur siège et ce en ouvrant un atelier informatique, toujours dans le but de promouvoir la lecture en introduisant des livres numériques. Ce que font les membres de l'association pourtant «à contre cœur» parce que selon la présidente, "ce genre de livre attache toujours l'enfant à l'écran et l'éloigne de la bonne compagnie des livres». Bannir les longues heures devant la télé "Il n'y a pas plus beau que de voir un enfant qui tient entre ses mains un petit livre en essayant de voyager dans son imagination et ouvrir ses horizons devant son esprit et même lire entre les lignes et se poser autant de questions même en lisant une petites histoire imaginaire». Tout comme Mme Ben Touba, la jeune présidente de l'association de Tipasa, a toujours eu «ce penchant vers la lecture» . chez elle, elle s'est toujours intéressée aux livres des grands comme ceux de son père, professeur de philosophie au lycée. "J'ai toujours adoré la lecture et c'est pour ça d'ailleurs que je me suis vite intéressée à l'idée de fonder une association semblable à celle de Mme Touba qui partage avec moi cette même passion et de laquelle j'ai beaucoup et je continue à apprendre», dira la présidente de ladite association. Mme Ben de son côté n'a pas hésité à rappeler son faible et son amour infini à la lecture ; «je vous ai déjà dit qu' avant d'avoir l'idée de créer une association, j'incitais mes enfants et mais élèves à lire. Je passais des heures à leur lire des livres, de petits bouquins et dans tous les domaines, chacun dans le secteur qui le passionne, science, littérature, arts où l'on traite différents thèmes, voyage, expression artistique, environnement, informatique, histoire, géographie patrimoine et ce en vue d'enrichir les connaissances des enfants dans tous les domaines». Il faut rappeler que les enfants venant de différents quartiers de la commune de Didouche Mourad à Constantine, trouvent tout le plaisir, dans les différents ateliers notamment ceux de la lecture où ils «voyagent dans les temps et les endroits du fameux livre «Mille et une nuits» et Les aventures de Sindbad le Marin», «le voyageur Ibn Batouta» et bien d'autres. Désormais des dizaines d'enfants de la wilaya de Tipasa ont pu rejoindre ce monde magique et pu ainsi élargir leurs horizons. Les enfants adorant le voyage et l'aventure se confient à leurs petites histoire et deviennent eux-mêmes les héros de leur inquent les ennemies et les forces du mal ; «cet espace que nous avons créé pour nos enfants devient un espace d'évasion et aussi d'ouverture sur les cultures du monde et même celle de notre pays puisque hélas nous sommes encore loin de la promotion du tourisme intérieur dans notre pays», soutient Mlle Ben Aouda. Le problème des financements L'association de Tipasa, récente elle aussi, souffre de son côté de l'absence du financement et active tout comme celle de Constantine, avec ces propres moyens puisque elle ne reçoit pas de subventions de la part des pouvoirs publics. «Nous comptons plus sur les contributions des membres et de plusieurs autres organisations nationales et même internationales aujourd'hui pour avoir plus de livres dans nos petites bibliothèques et jusqu'à aujourd'hui, nous nous en sortons assez bien», ajouteront les deux présidentes. Il faut noter que les deux bureaux contribuent dans plusieurs activités et tracent de plus en plus de programmes pour non seulement promouvoir la lecture mais aussi pour apporter de l'aide aux personnes nécessiteuses surtout les enfants scolarisés. Elles proposent aujourd'hui des cours de soutien, mais aussi des cours d'alphabétisation aux femmes notamment celles adhérentes dans l'association d'aides et de développement de la femme rurale dans les deux wilayas de Tipasa et Constantine. «On met à la disposition des enfants des cahiers d'activités et des jeux éducatifs pour stimuler l'observation et susciter la réflexion chez eux». L'association de Tipasa qui active sous l'égide de celle de Constantine a aussi plusieurs autres activités :elle défend aussi l'environnement et la créativité. Nous incitons toujours la tranche juvénile notamment les enfants puisque des ateliers de création existent ; «nous encourageons dans notre association les enfants qui ont une passion vers la rédaction et l'écriture, d'écrire de petites histoires que nous mettons après à la bibliothèque de l'association pour justement mettre en valeur leur travail, chose qui les incite à produire plus et à fournir beaucoup plus d'efforts afin d'élargir leur sens de créativité», dira la présidente de l'association. L'art avec tous ces genres est aussi présent en force dans l'association et les enfants ont le droit de former leurs petites chorales, groupes, dessinateurs et petits menuisiers et même sculpteurs et ils sont souvent présents dans les différentes manifestations de la commune et même de la wilaya et les wilayaq voisines où ils chantent ou organisent fièrement leurs petites expositions.