Le procureur général près le tribunal de Boudouaou (Boumerdès) a requis, en fin de journée d'avant-hier, des peines de trois ans de prison ferme à l'encontre des cinq émeutiers du la localité de Ben Merzouga, arrêtés dans la soirée de dimanche dernier suite aux affrontements les ayant opposés aux forces de l'ordre. Ils ont été poursuivis pour «attroupement illégal, atteinte à l'ordre public et coups et blessures». Notons que les cinq émeutiers arrêtés ont été placés, mardi dernier, sous mandat de dépôt par la même instance judiciaire. Par ailleurs, une peine de deux ans de prison a été requise à l'encontre des vingt trois autres émeutiers pour atteinte à l'ordre public. Le juge d'instruction avait mis, lors de l'audience de mardi dernier, ces émeutiers en liberté provisoire. Les mis en cause ont nié les faits qui leur sont reprochés. Le verdict sera prononcé le 8 novembre prochain. Le procureur général près le tribunal de Boudouaou (Boumerdès) a requis, en fin de journée d'avant-hier, des peines de trois ans de prison ferme à l'encontre des cinq émeutiers du la localité de Ben Merzouga, arrêtés dans la soirée de dimanche dernier suite aux affrontements les ayant opposés aux forces de l'ordre. Ils ont été poursuivis pour «attroupement illégal, atteinte à l'ordre public et coups et blessures». Notons que les cinq émeutiers arrêtés ont été placés, mardi dernier, sous mandat de dépôt par la même instance judiciaire. Par ailleurs, une peine de deux ans de prison a été requise à l'encontre des vingt trois autres émeutiers pour atteinte à l'ordre public. Le juge d'instruction avait mis, lors de l'audience de mardi dernier, ces émeutiers en liberté provisoire. Les mis en cause ont nié les faits qui leur sont reprochés. Le verdict sera prononcé le 8 novembre prochain.