L'ambassadeur de France en Algérie, Son Excellence Xavier Driencourt qui était hier à Jijel, a laissé entendre, lors d'un point de presse, qu' « il y a une nouvelle étape et un nouveau rythme dans les relations entre les deux pays ». « Le règlement d'un certains nombres de points d'achoppement entre la France et l'Algérie, ont été derrière le réchauffement des relations», a indiqué M.Driencourt. A la question sur la mémoire et les relations tumultueuses qui ont toujours connu des hauts et des bas, l'ambassadeur de France en Algérie a textuellement répondu qu' « Il faut regarder le passé lucidement et en même temps construire l'avenir avec des projets communs». Interrogé sur les restrictions opérées par les autorités algériennes en matière d'investissement étranger, depuis l'élaboration de la loi de finances complémentaire 2009, M. Driencourt estime que « c'est un choix de l'Algérie, et que les entreprises françaises économiques doivent s'adapter à l'environnement économique dans lequel elles travaillent ». Le diplomate tient à préciser dans ce sens que «les entreprises françaises présentent en Algérie sont contentes, sinon elles se seraient installées ailleurs». L'état des relations franco-algériennes, « c'est comme la Bourse de Paris », a-t-il ajouté. Au sujet de la question des sept otages français détenus au Niger, l'hôte de la wilaya a reconnu l'excellente relation de coopération en matière de sécurité, lorsqu'on sait que «l'Algérie a un rôle de leader dans la région». L'ambassadeur de France en Algérie, Son Excellence Xavier Driencourt qui était hier à Jijel, a laissé entendre, lors d'un point de presse, qu' « il y a une nouvelle étape et un nouveau rythme dans les relations entre les deux pays ». « Le règlement d'un certains nombres de points d'achoppement entre la France et l'Algérie, ont été derrière le réchauffement des relations», a indiqué M.Driencourt. A la question sur la mémoire et les relations tumultueuses qui ont toujours connu des hauts et des bas, l'ambassadeur de France en Algérie a textuellement répondu qu' « Il faut regarder le passé lucidement et en même temps construire l'avenir avec des projets communs». Interrogé sur les restrictions opérées par les autorités algériennes en matière d'investissement étranger, depuis l'élaboration de la loi de finances complémentaire 2009, M. Driencourt estime que « c'est un choix de l'Algérie, et que les entreprises françaises économiques doivent s'adapter à l'environnement économique dans lequel elles travaillent ». Le diplomate tient à préciser dans ce sens que «les entreprises françaises présentent en Algérie sont contentes, sinon elles se seraient installées ailleurs». L'état des relations franco-algériennes, « c'est comme la Bourse de Paris », a-t-il ajouté. Au sujet de la question des sept otages français détenus au Niger, l'hôte de la wilaya a reconnu l'excellente relation de coopération en matière de sécurité, lorsqu'on sait que «l'Algérie a un rôle de leader dans la région».